Make a wish, little guy... | Pv. Joao

Heidi & Joao

ROMEO

HEIDI

ROMEO

tout d'un coup silencieux

HEIDI

pensais-je

ROMEO

HEIDI

ROMEO

Incarnation Air

Je suis la beauté de le terre verte,
Et la lune blanche parmi les étoiles.
Je suis le mystère des eaux
Et le désir au sein des hommes.
Invitez-moi à venir en vous:
Levez-vous et venez à moi !
Car je suis l'esprit de la nature
Celui par qui l'univers prends vie.
De moi tout vient
Et vers moi tout retourne.

Ce poème trottait dans sa tête. Il avait beau essayer de chercher la faille de ces phrases, de ces mots, il n'y arrivait pas. Il était entièrement d'accord avec ces principes. La nature était tout et rien à la fois. Elle était grande et petite. Elle était le début et la fin. C'était elle qui régissait nos vies dans son intégralité. Et nous subissons encore ses caprices. Chaque personne ici présente en était conscient, mais connaissaient-il les vrais pouvoirs et la véritable apparence de la nature ? Il en doutais. Avant, on la respectait, parce qu'elle nous terrorisait, mais aussi parce qu'elle nous permettait de vivre grâce à l'agriculture, mais aussi grâce aux cours d'eau. On la respectait parce qu'elle était l'essence même de toute chose vitale, elle était donc la reine mère de toute croyance de toute société digne de ce nom. Mais aujourd'hui, la nature n'est qu'un élément du décors. Plus personne ne fait attention à elle. Ils l'utilisent lorsqu'ils en ont besoin, puis après, la dégradent sans en éprouver le moindre remords. Certaine civilisation pensent toujours à ces anciens rites et les respectent même quelques fois, mais ... Elle ne mérite pas ce que nous 'homo sapiens' nous lui faisons subirent.

Il avait été élevé ainsi. Dans le respect de la nature. Il pensait même que certains éléments de cette reine mère - Gaïa - étaient des sortes de dieux invisibles, veillant à ce que chacun respecte la dame verte. Au plus profond de son être il la respectait, mais comme tout à chacun, il ne faisait plus vraiment attention à elle. Mise à part dans des conditions comme celle-ci. Il était là, assis sur l'un des bancs. Les temps était véritablement clément pour une fois. Le ciel était plutôt dégagé. Bien sûr quelques nuages étaient parsemés çà et là. Mais rien de bien menaçant. Son regard, pouvait apparaître vide et pourtant, il se concentrait à observer de façon experte, chaque élément de cette nature. Chaque arbre étaient différents, chaque feuille avaient sa particularité qui la différenciait d'une autre. Il était véritablement absorbé par son travail d'observation et ne semblait pas s'intéresser à ce qui pouvait bien se passer autour de lui.

Après un bon moment, d'observation des éléments appartenant à la terre, il voulut observer l'eau. Cet élément lui posait plus problème, car aucun élément ne pouvait différencier une eau d'une autre, comme cela à la vue. Mise à par bien sûr la couleur, mais bon ce n'était qu'un détail. Il posait alors ses yeux noirs, sur la fontaine qui trônait au milieu de cette cour. L'eau était d'un bleu presque identique à celui du ciel. Mais cette observation se révéla beaucoup moins instructif, comme il l'avait deviné. Chaque particules d'eau, sortant de la fontaine pour aller rejoindre ses congénères dans l'appareil servant à recycler l'élément, paraissait totalement identique les unes des autres. C'était lassant. Mais avant qu'il ait pu changer son regard sur l'un des deux derniers éléments, une jeune fille attira son regard. Elle paraissait belle, tout du moins de la distance à laquelle Joao était. Elle appartenait sans aucun doute à la tour du feu. Ses cheveux étaient châtains/roux. Elle semblait coquette, hautaine et surtout mesquine. Et cette observation fut très vite démontrée par son attitude envers un jeune élève de la tour d'eau. Joao, n'eut pas la possibilité de comprendre ou d'entendre ce qu'elle disait au jeune garçon, mais le jeune portugais se leva d'un seul bond. Les élèves feu, n'étaient pas connus pour leur tendresse ou même leur envie de sympathiser avec les autres et surtout avec les élèves eau. Mais ce qui alarma plus le jeune homme ce fut lorsque la jeune femme prit dans ses bras, de force, le pauvre élève.

Furacão°° « Arrêtes ! Tu vas encore t'attirer des ennuis. Elle n'en vaut pas la peine. »
Joao°° « Tu crois réellement que je vais la laisser martyriser un pauvre élèves qui lui n'a rien demandé. Et puis tu sais que ce n'est pas une feu qui va me faire peur. »
Furacão°° « Je sais très bien, mais tu vas encore ... tu es une vraie tête de mule toi. Ce n'est vraiment pas possible. Compte pas sur moi pour t'aider après. Je t'aurais prévenus. »

Le jeune homme n'écoutais même plus ce que disait son gardien. Mais il était vrai qu'il avait raison. Le jeune Hernandez avait toujours eu le chic pour se fourrer dans des situations impossibles à imaginer. À croire qu'il était un véritable aiment à problèmes et à emmerdes.

*Mais bon, si je n'avais pas toutes ces emmerdes, la vie serait véritablement ennuyante à en mourir* pensa-t-il plus pour lui que pour son gardien.

Il avançait à grand pas vers la jeune femme, qui par ailleurs n'avait toujours pas remarqué que ce dernier s'avançait vers elle. Puis il profita que le jeune prisonnier se libère de l'étreinte de la vipère pour attraper le bras de cette dernière. Elle se retourna alors, surprise de cette intervention sans doute. Joao lui fit un grand sourire, puis la relâcha. Il la toisait du regard. Ses yeux noirs, lorsqu'on ne le connaissait pas, pouvait faire peur. Sauf que là, il faisait en sorte de ne pas trop se montrer 'sévère'. Après tout, la jeune fille paraissait être un petit peu plus jeune que lui. Elle voulait sans doute s'amuser. Mais il fallait qu'elle comprenne aussi, qu'elle pouvait très bien s'amuser sans brutaliser les autres élèves de l'école. Le respect devrait se faire dans les deux sens.

Joao°° « Excuses moi d'interrompre ta petite fête, mais ton ami n'a pas l'air de vouloir jouer avec toi. Ce n'est pas bien d'obliger les gens à faire ce qu'ils ne veulent pas faire. »

Le ton de l'orphelin, était quelque peu méprisant. C'était un peu comme s'il parlait à un gamin de trois ans, pour lui expliquer que ce qu'il venait de faire n'était pas bien. De plus, le jeune homme à la peau mat, soutenait un sourire rayonnant. Il savait que la jeune fille allait pas tarder à riposter. Il était presque insolant de sa part de pousser le bouchon jusque là. Mais il en avait marre de constater que les élèves feu, se prenait pour des élèves supérieurs aux autres. Il fallait qu'ils comprennent. Tous.

ROMEO

HEIDI

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HEIDI

ROMEO

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ROMEO

HEIDI

JOAO

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HEIDI

avec gentillesse au début

HEIDI

avec un petit sourire

HEIDI

Incarnation Air

Furacão°° « Tu vois je te l'avais dit. T'aurais mieux fait de t'abstenir encore une fois. »
Joao°° « ET donc tu veux que je fasse quoi maintenant ? Que je lui fasse un beau et grand sourire et que je me casse. Et voilà, une nouvelle fois les élèves air vont s'écraser face aux élèves feu. Désolé je ne peux pas. »
Furacão°° « Ce n'est pas ce que je te demande. Juste que la prochaine fois, il vaudrait mieux que tu te la ferme. Étant donné que tu ne pourras jamais sauver tout le monde. »
Joao°° « Je sais très bien, mais tant que je pourrais faire quelque chose, je le ferais ! »
Furacão°° « C'est la seule réponse que je ne voulais pas attendre. Et pourtant je savais que tu allais dire ça. De toute façon tu es tellement têtu que je pourrais tout et n'importe quoi, tu n'en ferais qu'à ta tête ... »
Joao°° « Je veux juste qu'il y ai un peu plus de respect dans cette école. Donc oui, en ce qui concerne ce sujet, je ferais tout pour te contredire »
Furacão°° « Je n'en attendais pas moins de toi »

La relation que le jeune latino entretenais avec son gardien était vraiment très passionnelle. Même si sur de nombreux sujet, il n'était pas du même avis, ces deux compagnons, s'aimait vraiment. Ils ne se sont jamais disputé et on toujours su apprécier à sa juste valeur, chaque remarque de chacun. Et là pour l'occasion, même si l'harfang des neiges aurait préféré que le jeune homme réfléchisse à deux fois avant d'intervenir, il était tout à fait d'accord avec chaque geste, chaque parole et chaque pensée du jeune portugais. En fait, leur relation était vraiment une relation d'amour propre entre eux deux. À chaque fois que Joao parlais, ils parlaient tous les deux d'une seule et même voix. C'est assez spécial à expliquer comme relation, impossible à comprendre pour quelqu'un d'extérieur.

Le jeune métisse regardait toujours la jeune rousse qui se tenait devant lui. Elle avait répondu à la provocation comme il l'avais prédit. Cela faisait plutôt rire le jeune homme. Les personnes comme elle était vraiment trop prévisible. Orgueilleuse et tellement fière. Elle était obligée de répliquer. C'était obligé.

HEIDI, avec un petit sourire - Eh, le pigeon, si j'ai besoin de tes conseils, je te sifflerai. Mais rêve pas trop! Je ne suis pas le genre de fille à accepter que n'importe qui m'aide.

Son sourire était toujours présent sur son visage et contrairement à elle, il savait ne pas céder à la provocation. Il restait là, devant elle, à la regarder dans les yeux. Bizarrement, il eut l'impression de voir quelque chose d'autre derrière cette carapace qu'elle voulait maintenir devant les autres. Bizarrement. Parce que à la regarder et surtout à l'entendre parler, on n'avait pourtant pas cette impression. Était-elle vraiment ce qu'elle montrait ou ce forçait-elle a joué un jeu, pour rentrer comme tout le monde dans cette sois disant normalité, pour faire comme les autres, pour ne pas montrer sa différence ??

Furacão°° « Très belle théorie, mais là, comme tu l'as dit, il ne faut pas que tu fasses l'élève air passif. Envoie la dans les cordes pour de bon et après on en parle plus. »
Joao°° « Oui ... Il faut que j'arrête de divaguer. On verra ce détail plus tard ... Ou pas »
Furacão°° rire « Arrêtes de jouer les bons samaritains ... et montre à cette gamine que tu n'es pas un pigeon, mais plutôt un mec plutôt intelligent qui sait répondre intelligemment, sans laisser sa colère prendre le dessus »

Toujours avec son bon sourire sur le visage, le jeune orphelin, se mordit la lèvre inférieure avant de répondre à la première attaque de la jeune femme.

Joao°° « Ne t'inquiète pas je ne voulais pas t'aider toi » Il regardait le jeune garçon qui venait de subir les assauts de la vilaine. « Et puis, tu sais, je sais prodiguer de très bon conseil, si un jour ça te dit ... tu sais ou me trouver »

Il avait toujours cet air totalement détaché. Tout comme lors de sa première intervention. Il savait qu'ainsi, il allait réussir à mettre à bout l'élève feu qui se tenait devant elle. Elle semblait l'observer, ou alors elle réfléchissait à ce que le jeune homme venait de lui dire ? Il ne savait pas trop, mais il savait très bine qu'une nouvelle réplique cinglante allait jaser. Ce n'était plus qu'une question de seconde.

HEIDI - Oh! Je vois, monsieur se trouve plus vieux, alors il fait sa loi. Mais, écoute bien, mon mignon, j'en ai absolument rien à foutre des histoires de hiérarchie ou de aînesse. Alors ne viens pas me dire ce que je dois faire, ok le pigeon?

Là, il n'eut pas besoin de temps pour répondre. Il répondit du tac au tac, avec toujours autant de détachement que les deux premières fois.

Joao°° « N'est pas ce que tu viens de faire ? N'est-ce pas l'hôpital qui se fout de la charité ? Je n'ai pas la prétention de me dire que parce que je suis plus vieux que toi tu dois faire ce que je te dis. Je n'ai aucun droit sur toi. Et tu peux même repartir de suite, je ne te retiendrais pas. Mais à partir du moment où tu empiéteras sur les plates bandes de quelqu'un pour l'emmerder, rien que pour ton propre plaisir, pour ta propre jubilation, alors je serais là pour intervenir. Mais réfléchis bien tu te fous des histoires de hiérarchie ou de aînesse, mais oserais-tu t'attaquer à quelqu'un de plus âgé que toi ? Aurais-tu oser me faire ce que tu as fait à ce pauvre innocent ? Non sans doute pas. Alors, toi aussi tu profites de cette sois disant hiérarchie pour faire régner ta loi. Arrêtes de te foutre de ma gueule ! »

Sans vraiment le vouloir, sa dernière phrase avait été dite sur un ton beaucoup plus sévère qu'il ne l'aurait voulus. Mais bon ... cela ne lui ferais sans doute aucun mal. Pourtant, d'habitude, il n'aimait pas trop dire aux autres comment se comporter, mais là, elle lui avait tendus une perche et il ne pouvait que la saisir pour la rembarrer.

Il restait là. À la regarder. À attendre, une nouvelle réponse digne de la jeune femme. Toujours aussi détendus, le jeune homme, lui souriait comme si de rien n'était. Il n'était pas spécialement heureux de la façon dont se tournais cette discussion, mais aussi cette fin de journée, mais il souriait plus pour elle. Il ne savait pas trop pourquoi. Mais son envie de lui sourire et de lui montrer que l'on pouvait avoir du caractère et être toujours aussi aimable, était quelque chose de possible.

ROMEO

HEIDI

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HEIDI

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JOAO

HEIDI

faisant mine de faire le chat

HEIDI

Incarnation Air

Sa tignasse orange telle une flamme entourais son visage presque angélique. Il avait beau y avoir du vent, le feu qui encadrait son visage, ne disparaissait pas. Au contraire, on aurait pu dire qu'il était vivant. Son visage c'était quelque peu durcit. Mais pourtant elle affichait un sourire radieux. Son attitude était presque féline, on aurait dit qu'elle allait sauter à la gorge du jeune homme en moins de temps qu'il ne le faudait pour le dire, lorsqu'elle se retourna. Mais au lieu de cela elle resta là, planté devant lui à le toiser. Il sentait qu'une réplique était proche. Son visage était presque enfantin. Il ne pouvait pas se résigner à penser qu'elle était si mauvaise qu'elle ne le paraissait.

Furacão°° « On ne te demande pas de réfléchir. C'est une véritable peste. »

Mais avant que Joao eut le temps de répliquer à son gardien, la femelle lionceau finit par cracher le morceau.

HEIDI - Wouhahou! Superman à l'attaque, attention! Tu sors tes griffes mon minou?, faisant mine de faire le chat. Grrrr, tu me plais bien, là. On va se boire du lait ensemble? Non, mais tu t'es vu? Super pigeon à la rescousse des plus faibles! "Aurais-tu oser me faire ce que tu as fait à ce pauvre innocent?" C'est profond, vraiment très profond! Superman, arrête de te la jouer. Bien sûr que je pourrais te faire la même chose qu'à ce gamin. En vrai gentleman, tu devrais te laisser faire. Et puis, regarde devant toi. C'est une superbe fille qui te le demande...! Rentre tes griffes, mon chaton, ou tu vas te faire mal. En bref, rentre dans ton perchoir, le moineau.

Le portugais, du retenir un rire. Superman lui ? C'était la meilleure. Mais cette envie de rire s'atténua à force que le jeune demoiselle devant lui, parlait. Pourtant, il gardait toujours le sourire, qu'il affichait depuis le début. Mais la tension devenait de plus en plus palpable. Roberto levait de temps à autre les yeux vers le ciel. Elle l'exaspérait. Il ne savait pas trop si elle se rendait compte que ses propos ne réglait en aucun cas le problème. Qu'elle passait du coq à l'âne. Il se demandait même si cela n'était pas justement une méthode d'intimidation, de faire perdre le fil au jeune élève air pour qu'il passe à autre chose et qu'il ne la fasse plus chier. Elle était vraiment très mal tombé. Elle pouvait lancer peut-être des pics, mais à ce jeu-là, le jeune Hernandez était vraiment très fort. Pourtant, ils auraient pu s'entendre. Deux forte tête, aurait très bien pu conjuguer chacun de leur qualité et défauts pour entretenir une relation amicale. Mais là, la jeune femme avait vraiment atteint un haut point dans la palme d'or du ridicule. Comment les autres, ses amis, sa famille, mais aussi ceux qui devaient la supporter durant toutes ces années ici à Bewitching, pouvait rester en sa présence. Elle était bien, que très belle et aux allures angéliques, tout l'opposé. Elle était vraiment insupportable. Insolente, orgueilleuse, narcissique et de plus se prenait pour la princesse 'Obéit moi et je t'emmerderais peut-être un petit peu plus'. Il ne supportait pas ces gens. Ceux qui se croyaient au-dessus de tout, ceux qui pensaient qu'on leur devait quelque chose. Elle n'allait plus rigoler et afficher ce sourire radieux d'ici peut. Ça, il allait s'en faire un plaisir. Mais avant qu'il ne réplique une nouvelle fois, cette dernière reprit la parole. Cette fois-ci ses yeux paraissaient complice, s'en était presque touchant. Ou désolant ?

HEIDI - Tiens, j'ai une idée. Je te laisse tranquille si tu m'aides à faire marcher cette fontaine magique. Et je n'ai qu'une parole!
Joao °° « Arrête de jouer les petites capricieuses. Tu fais plus pitié qu'autre chose. Ce n'est pas comme cela que l'on va te prendre aux sérieux. J'ai autre chose à faire que de répondre à tes caprices de gâté pourrie. Alors, cesse de faire l'enfant un peu, ou alors va jouer dans le bac à sable là-bas, si tu ne t'en sens pas capable. »

Sur ces mots, il adressait un dernier sourire à la féline. Puis se retourna. Il lui tournait le dos exprès. Il le savait que cela n'était qu'une question de seconde pour qu'elle revienne à la charge. Ce genre de personnes ne supportaient pas ne pas avoir le dernier mot. De plus, elle aurait sans doute voulu montrer qu'elle avait raison de faire ce qu'elle faisait et pour le moment ce n'était pas gagné. Il était sûr qu'elle reviendrait. Et puis si elle ne le faisait pas, l'orphelin aurait alors 'gagné' le combat. Et cela lui ferait des vacances de ne plus entendre ces jacassements incessant.

Il marchait vers l'endroit où il était un peu plus tôt assis. Un sourire radieux c'était alors affiché sur son visage.

Furacão°° « HAHAHA ! Bluffent. Je n'aurais pas fait mieux. Je pense aussi qu'elle reviendra. Elle à trop de fierté pour te laisser partir comme cela vainqueur de cette entrevue. Congratulação Joao Roberto Hernandez. »
Joao°° « Obrigado Furacão. Je pense aussi que son instinct de toujours avoir ce qu'elle désire sera plus fort et qu'elle sera obligée de revenir vers moi. »
Furacão°° « Et puis sinon dans les pires des cas, nous voilà débarrassé d'elle pour un bon moment je pense. Maintenant qu'elle te connaît, elle sait qu'elle n'aura pas forcément le dernier mot avec toi. Finalement tu as bien fait d'aller la remettre en place cette petite prétentieuse. Cela lui apprendra qu'elle n'est pas seule ici et que comme les autres, elle doit respecter les règles de la vie en société. »

Le jeune homme ne répondit pas. Mais il était du même avis que l'harfang des neiges. Il continuait son parcours jusqu'au banc marron, qui était toujours vide, depuis qu'il en était parti.

Joao°° « ce n'est qu'une question de temps. »

Hj: désolé pour le retard et la mauvaise qualité de mon Rp Embarassed