bewitching ; la tentation du feu.
Vous souhaitez réagir à ce message ? Créez un compte en quelques clics ou connectez-vous pour continuer.



 
AccueilAccueil  RechercherRechercher  Dernières imagesDernières images  S'enregistrerS'enregistrer  ConnexionConnexion  
-50%
Le deal à ne pas rater :
-50% Baskets Nike Air Huarache Runner
69.99 € 139.99 €
Voir le deal

 

 Plouf plouf, voilà la loutre | Maëlis.

Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Aller en bas 
AuteurMessage

Maëlis D. Stevens

________________________
Maëlis D. Stevens

Incarnation Eau
je maîtrise l'attaque vibraqua.

¯¯¯¯¯¯¯¯¯¯¯¯¯¯¯¯¯¯¯¯¯¯¯¯

s e x e : Féminin
m e s s a g e s : 1235
â g e : 34
t o u r : Eau
t o t e m : Loutre
a n n é e : Sixième
a r r i v é e : 28/08/2010

i d e n t i t é
a b s o l u : Hum...
r e l a t i o n s :
p o p u l a r i t é :
Plouf plouf, voilà la loutre | Maëlis. Left_bar_bleue15/500Plouf plouf, voilà la loutre | Maëlis. Empty_bar_bleue  (15/500)

Plouf plouf, voilà la loutre | Maëlis. Vide
MessageSujet: Plouf plouf, voilà la loutre | Maëlis.   Plouf plouf, voilà la loutre | Maëlis. EmptySam 28 Aoû - 3:44

Maëlis Declan Stevens
Personne n‘est sain d‘esprit, s’il ne sait être fou à l‘occasion.

Plouf plouf, voilà la loutre | Maëlis. 2ccsbnt
SGR © feat Leighton Meester


Identité.


nom : Stevens
prénom(s) : Maëlis Declan
âge : 21ans
date de naissance : 06 novembre 1989 sous les feuilles de l’automne.
signe astrologique : Scorpion perdu dans l’eau.
sexe : Féminin. J’ai un cerveau au moins, un cœur… reste à voir.
nationalité : Britannique et sa classe légendaire.
lieu de naissance : Stratford-upon-Avon, Warwickshire, Angleterre.
sexualité : Hétérosexuel. Je ne me nourris que d’homme.
autre(s) : Ma beauté n’est pas à prouver, ma richesse plus à démontrer, ma carapace reste à faire tomber mais mon cœur est toujours à trouver.


Bewitching.


tour : Eau. Admirez, c’est-ce qu’il y a de plus beau !
année : Sixième. Bientôt fini les études.
animal totem : Loutre. Aussi rapide et fluide que l’eau.
nom du totem : Hypérion-Thoas. Un mâle sans conscience.
autre(s) : 1,29 mètre et 36,8kilos tout mouillé, bien métamorphosé.


J'ai bien envie de vous raconter ma vie.


mon petit prénom : Alex. Non, je suis un mec et pour une fois, je jouerai une fille.
mon petit âge : 18 piges
sur mon avatar, c'est : Leighton Meester
voilà comment j'ai découvert le forum : J’y est été inscrit et agréablement surpris de la réouverture.
tant qu'à faire, j'vous dis ce que j'en pense : Je reviens donc c’est clair.
et voici la preuve que j'ai bien lu les règles : Validation effectuée
autre(s) : Je n’ai plus rien à dire…




Dernière édition par Maëlis D. Stevens le Mar 31 Aoû - 0:02, édité 4 fois
Revenir en haut Aller en bas

Maëlis D. Stevens

________________________
Maëlis D. Stevens

Incarnation Eau
je maîtrise l'attaque vibraqua.

¯¯¯¯¯¯¯¯¯¯¯¯¯¯¯¯¯¯¯¯¯¯¯¯

s e x e : Féminin
m e s s a g e s : 1235
â g e : 34
t o u r : Eau
t o t e m : Loutre
a n n é e : Sixième
a r r i v é e : 28/08/2010

i d e n t i t é
a b s o l u : Hum...
r e l a t i o n s :
p o p u l a r i t é :
Plouf plouf, voilà la loutre | Maëlis. Left_bar_bleue15/500Plouf plouf, voilà la loutre | Maëlis. Empty_bar_bleue  (15/500)

Plouf plouf, voilà la loutre | Maëlis. Vide
MessageSujet: Re: Plouf plouf, voilà la loutre | Maëlis.   Plouf plouf, voilà la loutre | Maëlis. EmptySam 28 Aoû - 9:56

Que la fête commence.


Je ne prétendrai pas que ma vie a été dure mais j'ai eu mes jours difficiles. Ceux qui se déroulent sous nos pauvres yeux attristés, avec aucun pouvoir sur la situation pour tenter d'améliorer ces heures tristes. Elles sont souvent issues des quêtes humaines vers leur bonheur personnel. La plupart des gens courts après la richesse, le pouvoir et l'amour sans savoir ce que cela contraint et représente. Je ne suis point une femme qui sort du lot. Ma quête est la même que mes congénères. Enfin, excepter que je détiens d'ores et déjà la richesse, mon père m'a illustré ce que modifiait le pouvoir et je ne souhaite en aucun moment l'amour. La richesse contribue au bonheur mais, ne permet pas de l'atteindre seul quant à l'amour, il le permet mais, la peine se trouve souvent à la suite de la liste. Tandis que le pouvoir perverti dans l'estime. Je quête le pouvoir mais, ce qui m'attend de l'autre côté n'est pas un secret.

Maëlis Declan Stevens


Séparation
03/07/01

Je posai mon pied droit sur le trottoir face à ma demeure, fit un signe de remerciement à mon amie et sa mère puis sorti de la voiture. Je regardai la voiture familiale s'éloigner dans la rue, sans mouvement même battement de cils. Je ne sais pas ce qu'il m'arrivait mais, en fixant l'avancée de l'automobile, j'avais comme un mauvais pressentiment. Je ne saurais pas comment expliquer cela mais, les battements de mon coeur s'accéléraient, ma respiration devenait brève et bruyante, mes mains commençaient à trembler. Etais-je en route pour la folie. Ou la brise fraîche de fin d'après-midi me prévenait de la peine qui s'abattait sur moi. Je restai figé sur le bas côté de la route quelques minutes puis je pris mon courage à deux mains et posa un pied sur la route. J'avançai vers la chaussée qui se trouvait de l'autre côté d'un pas hésitant où se trouvait ma demeure. Une immense maison, qui pouvait accueillir presque une dizaine de personnes en permanence, faite d'un mélange harmonieux de crépis amande, de pierres vieillies et d'autres artifices qui n'avaient pas pour utilité que d'embellir la façade de la maison. Tout ce travail, était sans compter le jardin, qui avait été réalisé par un paysagiste. Des parterres de fleurs, des arbustes, des arbres se battaient de tous les côtés du jardin. Dans ce quartier de Stratford-upon-Avon, l'esthétisme de la maison, la verdure du jardin et la taille de la piscine étaient les trois critères pour prouver la fortune familiale. C'était une zone où les couples fortunés s'installaient. Des rues pleines de vies végétales, de clapotement d'eau, de grosses voitures hors de prix, d'apéro et de commérages mais, il manquait une chose pour tout cela soit parfait... la jeunesse. Ces personnes ne sont pas réputer pour fonder de grandes familles alors je manquai cruellement de compagnie près de chez moi.

Je montai sur le trottoir et emprunta l'allée vers la porte d'entrée de ma résidence. Je posai la main droite sur la poignée et hésita. Je me demandais si je devais l'ouvrir sur-le-champ. Ne devais-je pas attendre que mon angoisse ne cesse. Je relevai la tête d'un air fier, pris ma respiration et appuya sur cette dernière. Je pénétrai dans ma demeure. « Je suis rentrée. » Aucune réponse n'arriva à mon oreille. J'ôtai machinalement mon manteau et mes ballerines, les rangèrent dans le dressing de l'entrée et avança vers la salle à manger. Je me pris un objet non identifié. Je relevai la tête et distingua ce qui se trouvait dans le passage. Une grosse valise à roulette, une légèrement moins imposante à côté, deux chemises posées sur cette dernière, un manteau et sur l'autre. Je me demandais à qui pouvait bien appartenir toutes ces valises. Je m'avançai. Je posai le regard dans le sac. Je restai tétanisé en voyant que se trouvait toutes les paires de chaussures de mon père. Je repris mes esprits assez rapidement. Face à moi, mon père était assis sur la chaise du bout de la table, la place habituelle où il mangeait. Il me fit un signe de la main pour que j'approche. « Viens ma petite princesse. » Je m'avançai hésitante vers lui. Je pense qu'il pouvait lire sur mon visage, toutes les émotions que j'éprouvai ; l'inquiétude, la peur, la curiosité et la tristesse. Il m'attrapa par les mains, me mit face à lui et me fixa du regard. Il ouvrit la bouche et commença. « Oui, ce sont bien mes affaires. Je vais aller vivre dans notre maison près de Newport en bord de mer. Ta mère et moi avons décidés de nous séparer, cela est mieux pour nous tous. Les disputes devenaient trop oppressantes. Simplement la flamme s'est éteinte entre ta mère et moi. Sache surtout que ce n'est pas de ta faute. » Il continua son monologue, de justification futile qui n'était que des mensonges, alors que je n'entendais plus rien, seulement je distinguais encore les mouvements de mâchoire de mon père. Je restais sans voix face à lui. Quand il eût fini, il se leva. Il déposa un baiser sur mon front et la première larme coula sur mon visage. Il s'éloigna vers ses valises, les pris et partit. Je ne pus bouger, le retenir, parler, crier, ou bien gémir. Rien, j'avais juste des larmes qui coulaient sur mes joues, de plus en plus nombreuses.

Après une dizaine de minutes qui parurent être des heures, je repris mes esprits. Les larmes avaient cessé de couler. Mon père n'était qu'un pauvre menteur. Comme si une fillette de 11ans était dupe. Je savais très quelles étaient les raisons de son départ. Mon père avait choisi sa femme, car elle était une magnifique et jeune femme, elle exerçait le métier de mannequin et beaucoup d'hommes la désirait mais, vingt ans plus tard, elle était moins belle, ferme et jeune. Il est simplement un homme d'affaire très riche qui peut avoir une petite jeunette avec son argent. C'était la seconde raison, il fricotait avec sa secrétaire depuis de long mois et ce n'était sûrement pas la première. Et pour finir, c'était en partie à cause de moi. Excepter la vieillesse, seule mon arriver avait modifié leur train-train quotidien, un enfant à s'occuper alors qu'il passait leur temps à sortir. Je me demandais depuis un moment si j'avais été voulu et avais toujours espéré que "oui". Soudain, je vis ma mère débarquée. Elle s'avança vers moi, s'assit sur sa chaise habituelle, à la droite de celle de mon père. Elle me prit par les mains et me regarda dans les yeux. J'avais comme une légère impression de déjà vu. Elle commença son discours. « Ma petite puce, ne t'inquiète pas. Tout se passera bien. Je voudrais juste que tu saches que ce n'est en aucun cas de ta faute. Que c'est simplement que la flamme de notre amour, c'est éteint. » Et blablabla... Le même spitch que j'avais eut le droit il y a à peine un quart d'heure. Je partis vers l'étage avant même qu'elle n'ai fini. Ignorant ses rappelles. La première larme s'écoula sur mon visage. Permettant aux autres de partir, comme si elle devait montrer le chemin. Je montai les escaliers et me dirigea vers ma chambre. Je ne cessai pas de pleurer.

Je m'arrêtai devant le pas de ma porte. Ma mère était aussi une belle hypocrite. Elle n'était tout simplement plus attirée par son époux du fait de ses sept ans de plus, qui étaient sexy quand ils étaient jeunes, qui étaient une barrière à l'excitation. En second, elle voyait, depuis un moment notre voisin de gauche du fait de l'absence de mon père. Et pour finir, moi. Ils avaient des raisons assez semblables mais, aucun n'avait eu le courage de me les dire. J'eus enfin la force de pénétrer dans ma chambre. Je me jetai sur mon lit, me faufila sous la couette, attrapa les bouteilles d'eau minérales de sous mon lit, les tablettes de chocolats dans ma table de nuit et mes boîtes de mouchoirs. Je commençai désespérément à libérer ma tristesse. Je répétais les mêmes actions ; manger du chocolat, dormir, pleurer, se moucher, boire de l'eau, pleurer, se moucher, manger du chocolat, se moucher à nouveau, faire une sieste... pendant trois, quatre jours, je n'avais vraiment pas la notion du temps, je restai confiné dans mon lit, répétant les mêmes actions sans cesse. Je finis par être à court de chocolat, eau, mouchoirs et même de larmes. Je levai ma main face à moi. La tourna dans un sens. Puis dans l'autre. Je serrai mes doigts et me mis une claque. Je devais me révéler... reprendre ma vie en main. Je me levai et quitta ma chambre la tête haute en me faisant une promesse à moi-même : plus jamais je ne laisserai les évènements m'affecter de la sorte. A partir de ce jour, je ne ressentis plus de sentiment affectif envers mes congénères ; petit à petit une carapace d'acier se forma autour de moi, protégeant mon coeur et répliquant aux attaques ; et je perdis toute estime pour l'espèce humaine. Tous les êtres humains ne cesseront jamais de décevoir et faire souffrir les gens qui les aiment.


Initiation
18/08/04

Grand centre commercial de Stratford-upon-Avon. Peut être même le plus grand sur une zone d'une centaine de kilomètres. Le genre qui possède un nombre de boutique fulgurante, un minimum de cinq pour le même bidule pour bien avoir le choix du vendeur le plus mignon, des allées et des étages qui n'en finissent pas, des escalators devant, derrière, au fond. Le genre interminable où il faut deux pour pouvoir admirer chaque article, de chaque commerçants. J'étais partie pour une journée shopping avec deux amies, enfin si on peut appeler cela des copines. Elles et moi étions plutôt du genre filles populaires, belles, mystérieuses, sans doute prétentieuses mais, surtout extrêmement riche. Nous avions tout pour posséder le pouvoir dans notre établissement, famille, voir même auprès des semblables de nos parents. Nous étions prédestinées à un avenir radieux, sans soucie financier ou passionnel. Il aurait été stupide de notre pare que de ne pas en profiter. Elles et moi nous côtoyions par principe. En effet, les personnes de notre classe sociale, ne pouvaient se permettre de faire copain/copine avec les dessous de la chaîne sociale. Ensemble comme seule, on nous qualifiait de pimbêche, comme il y en a partout dans le monde. Je dirais simplement que nous sommes le nombril du monde ; la terre pourrait tourner sans nous mais, elle n'aurait jamais pu exister sans nous comme le nouveau né.

Nous arrivions au centre commercial, le QG des espèces dans notre genre. La branche humaine avait reçu une innovation génétique : la classe. Je me trouvai sur cette branche tandis que beaucoup n'était pas dans la bonne parti de l'arbre phylogénétique. Nous trois venions de passer le pas de la grande porte Est. Nous restions figées avec des positions et attitudes peu naturelles, cheveux dans le vent, regard vers le ciel... Un mélange entre la posture de Angelina jolie et Paris Hilton. Après quelques secondes, les individus, autour de nous, nous avaient reluquées et c'était le moment de mettre le paquet, de montrer que nous n'étions pas n'importe qui. ACTION. Nous démarrions toutes d'un pas synchrone. Une jambe devant l'autre comme si un fil se trouvait sous nos pieds. Le timing entre nous était parfait. On pouvait lire sur les traits des visages autour, ce que les personnes pensaient de nous ; Pauvres filles ; Trop bonnes ; la jeunesse de nos jours ; Pour qui elles se prennent ; si j'étais leur mère... Entre jalousie, dégoût, envie et déception, il y en avait pour tous les goûts. Nous étions simplement fiers de ce que l'on était et le pouvoir que cela donnait n'était en aucun cas négligeable.

Les premières boutiques défilèrent sans plus tardé, des vêtements aux chaussures, passant par la lingerie, sans négliger tous les artifices. Une boutique nous tapa dans l'oeil. A peine entré dans cette dernière, les recherches commencèrent. Des hauts. Des bas. Des dessous. Je m'arrêtai sur une robe violette orchidée. Je m'empressai d'aller essayer cette tenue. Dans la cabine, j'entendis mes deux copines arriver vers moi. « Va si montre nous ! » « Oui, sors de là que l'on puisse voir. » J'ôtai mes habits, enfila la robe et sorti de la cabine. Je fis un tour sur moi-même et fixa mes camarades d'un air inquisiteur. « Alors ? » « Elle te va divinement bien. » « La couleur est exquise. » « Pff... On dirait une aubergine. » Mais que lui prenait-elle ? Ce violet était pourtant somptueux. Elles avaient un sourire radieux et des yeux qui pétillaient d'admiration. Mais étaient-elles vraiment admiratrices ou simplement moqueuses. Je fis marcher arrière vers la cabine. J'enfilai une autre saumon après avoir ôté celle orchidée. Je ressortis de là et répéta mon petit tour sur moi-même. « Et celle-ci ? » « Bof. J'aime moins » « C'est vrai, on dirait une crevette. » J'inspectai la robe du regard. Je la trouvai loin d'être laide et la couleur était pale. « Cette couleur saumon est tout simplement divine. » Je vérifiai de tous les côtés mais, il n'y avait personne d'autres qu'elles et moi. « Bon faudrait savoir. La violette est divine puis aubergine. La saumon est bof puis divine. » Leur sourire s'arrêta net. Elles fixèrent sans comprendre la situation. Je ne comprenais pas ce qu'il leur arrivait.

Je me remémora les paroles que j'avais perçues. Je n'avais pas rêvé, j'avais reçu deux points de vue opposés sur la question. Puis les voix. Il y en avait trois. J'inspectai de nouveau les alentours mais rien, nous n'étions que trois. C'est trois voix défilaient dans ma tête. J'en connaissais seulement deux. La dernière était... grave, roque, intimidante, sur d'elle et surtout très sifflante. Cela ne pouvait pas être une voix humaine, bien trop jolie pour l'être. Je devais être en train de devenir folle ou simplement fatiguer de ces longues journées de vacances. J'optai pour la seconde hypothèse étant donné que je n'avais pu gère faire la grasse matinée ce matin. Mes amies ne tardèrent pas à me confirmer la chose. « Oui pour l'orchidée. Non pour la saumon. » Elles ne relevèrent pas mes mots insensés et nous repartions pour la suite de nos emplettes. J'ôtai la robe, me rhabilla et me dirigea vers la caisse. Se trouvait devant moi quelques personnes. « Mais arrête pas la violette. » La même voix. Je ne comprenais pas ce qui m'arrivais. Je secouai la tête comme si je tentais de chasser une image déplaisante de mon esprit. J'avançai d'un pas. « J'ai dit, pas celle là. » Je secouai ma tête de nouveau. C'était mon tour. « Cela ne sert à rien, je resterais dans ta tête. » Je me figeai. Que m'arrivait-il ? Etais-je bon pour l'hôpital psychiatrique ? Je posai la robe et fis un signe comme quoi, je n'en voulais pas tout compte fait. Je quittai la boutique. « Je dois y aller. Navré. » Je fis un signe de la main à mes copines et partis en direction de la sortie d'un pas pressé.

Quand je fus arrivé à l'extérieur, je me posai sur un banc. Je commençai à admirer les nuages. Un coeur. Une vague. Une loutre. « Oui ? » Que se passait-il encore. « Pourquoi t'es encore là. » Une vieille dame qui passait par là me regarda d'un air suspect, comme si j'étais folle de parler toute seule. « Parle dans ta tête, cela suffit. Sinon tu vas passer pour une folle psychopathe. » Je recommençai machinalement à regarder de tous les côtés cherchant quelqu'un. « Non. Non. Je suis dans ta tête. » « Hum... ok. » « Tu progresses. Alors, je m'appelle Hypérion-Thoas et je suis l'esprit ancestral de la loutre. Autrement appelé un totem, qui choisi un enfant entre quatorze et quinze ans pour se lier avec. Les choix sont complexes, différents selon les cas. Il n'y a pas de moule prédéfini. Tu découvriras très vite tout le potentiel que tu as. Je serais toujours présent avec toi pour t'aider. » Cet esprit continua à blablater sur le comment du pourquoi. J'acquiesçai à certain moment pour lui montrer que je suivai et que je comprenais. Il passa en revu la connexion, les pouvoirs, les éléments, l'eau qui était le mien, enfin le notre, une école Bewitching dans laquelle je ferais ma rentrée. Il eut fini rapidement. Je comprenais facilement et bizarrement cela ne me choquait pas plus que ça, peut-être du, au faite que la nature humaine était bizarre, pleine d'anormalité et impossible de croire encore en elle. « Je te comprends. Sinon il reste une dernière chose. La plus fun de toute. Avec le temps tu pourras te métamorphosée en loutre. » A ces mots, je me sentis différente, comme s'il était en train de faire sortir ma vrai nature. Je me sentais plus forte, fier, courageuse, confiante, calme. Cette nouvelle perspective ne me déplaisait pas, bien au contraire. Une nouvelle image du monde où le pouvoir était à reconquérir avec calme, patience et sagesse.



Apprentissage
29/08/10

Bewitching. Dans quelques jours, je retournerais dans cette école. La sixième année, ce n'est pas la plus importante mais, elle n'est pas non plus négligeable. Au fil des années, j'ai appris à contrôler mes différents pouvoirs ; l'élément de l'eau, la création de l'eau, la métamorphose, la magie de base... Je n'ai cessé de m'améliorer et je reste encore en apprentissage. Mais je dois avouer que parfois cela a été plus facile pour moi que pour les autres. Je suis ce que l'on appelle une Incarnation. FLASH BACK. 04/09/04. Je venais de pénétrer dans le hall de Bewitching. Une immense pièce, un sol de gros pavés gris formant une mosaïque originale, des plaintes de bois, des murs de pierre portant des immenses tableaux représentants les personnes qui ont marqué l'histoire de l'école mais, surtout un magnifique plafond. Ce dernier était recouvert d'une fresque qui occupait la totalité du plafond et empiétait sur le haut des murs. On pouvait distinguer quatre personnes positionnées entre chaque angle et le centre ; ils s'unissaient au centre pour créer une espèce de château qui ressemblait étrangement à celui où je venait de pénétrer ; on voyait aussi apparaître les quatre éléments dans chaque partie de la fresque ; mais le plus intriguant était les animaux qui apparaissaient : le cerf, la panthère, la harpie et la loutre. Je me posai un grand nombre de question. Pourquoi seulement ces quatre animaux ? La loutre ? Je tendis l'oreille près d'un jeune première année, qui venait de rentrer dans le groupe avec moi, pour écouter ce qui racontait au sujet du plafond. « Tu vois les quatre personnes aux plafonds, ce sont les fondateurs de l'école. Ce sont les premiers à avoir acquis un totem. La panthère. Le cerf. La harpie. La loutre. Mais le plus fou, c'est que ces quatre esprits n'avaient jamais refait un avec un humain jusqu'à il y a peu de temps. On dit que les quatre incarnations sont ici. Il rentre en première année. » Je cessai de prêter attention à cet individu. Je n'en croyais pas un mot, je savais être exceptionnelle mais, si de plus mon totem l'était aussi, que ferions nous. Trop d'exception, tue la réalité. « Maëlis, il dit la vérité. Je crois avoir oublié de t'en informer. » Il m'expliqua tous les détails de cette différence et ce privilège. Nous étions exceptionnels. Le pouvoir ne serait qu'une question de temps.

En cinq années, vivant jour après jour avec tous les autres élèves, professeurs et personnels, on crée des affinités, des relations, des amitiés, des rivalités, des rancoeurs, des déceptions, des envies, des désirs mais, aussi des sortis. Nous avons tous tenté des relations rapprochées avec d'autres personnes. Je n'échappe pas à la règle. Les hommes m'ont toujours attirer mais, je ne suis pas une femme facile, très mystérieuse, m'a confiance est dure à acquérir mais, surtout je suis éternelle insatisfaite. En ce moment, je suis toujours avec Nathaniel. Nous avions étonné tout le monde, en se mettant ensemble, un feu, une eau, la relation explosive. Entre nous deux, cela passait du tout au tout, je pouvais le câliner et me serrer contre lui, la seconde d'après le vanner et l'envoyer balader, comme lui le faisait sur moi. C'est je t'aime, je te haie, viens ici que je t'embrasse. Il n'y a aucun sentiment amoureux entre nous, enfin je pense. Cela fait bien longtemps que la carapace me protège de ces peines, je ne m'en soucie jamais, ne cherche pas à les comprendre, à savoir ce qu'elles veulent dire et l'étiquette de ces sentiments. FLASH BACK. 18/02/10. Je venais de quitter le cours de magie blanche, je sortais des murs du château pour me diriger vers le parc. J'avançais tranquillement et paisiblement, en inspectant les élèves qui se trouvaient dans ce dernier. Je n'étais pas du genre à avoir beaucoup d'amis, cela venait peut-être du fait que je souhaitais fréquenter seulement les gens qui en valent le coup ou peut-être à cause de ma prétention, en tout cas mon cercle était assez restreint. Après un bon repérage, j'aperçus le beau étalon que je cherchais. Ce n'était autre que mon homme, Nathaniel Adam Winston. Je m'approchai de lui. Nous connaissons tous la suite ; câliner, bécoter, vexer, s'engueuler, s'insulter et finir par se réconcilier dans le lit.

Il existait un autre problème au sein de l'école, la révolte du feu, menée en personne par l'incarnation du feu, Woann. Il y aurait tant de choses à dire là-dessus mais, je ne suis pas la mieux placée pour cela. Etant donné que je n'ai pas encore choisi mon camp. Je le choisirai en temps voulu, lors que j'aurai pu choisir lequel était le plus profitable. En tout cas, l'année promet d'être mouvementée. Venez suivre les aventures de la loutre...


Dernière édition par Maëlis D. Stevens le Mar 31 Aoû - 14:13, édité 4 fois
Revenir en haut Aller en bas

T. Atahana Hopkins

________________________
T. Atahana Hopkins

Incarnation Terre
je maîtrise l'attaque siffl'herbe.

¯¯¯¯¯¯¯¯¯¯¯¯¯¯¯¯¯¯¯¯¯¯¯¯

s e x e : Féminin
m e s s a g e s : 1380
â g e : 34
t o u r : Terre.
t o t e m : Le Cerf.
a n n é e : Sixième.
a r r i v é e : 05/02/2009

i d e n t i t é
a b s o l u : Qui sait ?
r e l a t i o n s :
p o p u l a r i t é :
Plouf plouf, voilà la loutre | Maëlis. Left_bar_bleue15/500Plouf plouf, voilà la loutre | Maëlis. Empty_bar_bleue  (15/500)

Plouf plouf, voilà la loutre | Maëlis. Vide
MessageSujet: Re: Plouf plouf, voilà la loutre | Maëlis.   Plouf plouf, voilà la loutre | Maëlis. EmptySam 28 Aoû - 11:05

Bonjour et (re) bienvenue sur Bewitching ! J'ai validé le code, bon courage pour la suite ♥ Nous sommes assez exigeants avec les PV et en plus tu as pris une Incarnation, donc, fais de ton mieux mais ça devrait être très bien !
Revenir en haut Aller en bas
http://bewitching.jdrforum.com/


________________________
Invité

Invité
¯¯¯¯¯¯¯¯¯¯¯¯¯¯¯¯¯¯¯¯¯¯¯¯


Plouf plouf, voilà la loutre | Maëlis. Vide
MessageSujet: Re: Plouf plouf, voilà la loutre | Maëlis.   Plouf plouf, voilà la loutre | Maëlis. EmptySam 28 Aoû - 11:08

Bienvenue I love you
Revenir en haut Aller en bas

Maëlis D. Stevens

________________________
Maëlis D. Stevens

Incarnation Eau
je maîtrise l'attaque vibraqua.

¯¯¯¯¯¯¯¯¯¯¯¯¯¯¯¯¯¯¯¯¯¯¯¯

s e x e : Féminin
m e s s a g e s : 1235
â g e : 34
t o u r : Eau
t o t e m : Loutre
a n n é e : Sixième
a r r i v é e : 28/08/2010

i d e n t i t é
a b s o l u : Hum...
r e l a t i o n s :
p o p u l a r i t é :
Plouf plouf, voilà la loutre | Maëlis. Left_bar_bleue15/500Plouf plouf, voilà la loutre | Maëlis. Empty_bar_bleue  (15/500)

Plouf plouf, voilà la loutre | Maëlis. Vide
MessageSujet: Re: Plouf plouf, voilà la loutre | Maëlis.   Plouf plouf, voilà la loutre | Maëlis. EmptyDim 29 Aoû - 2:13

Merci.
J'essayerai d'être à la hauteur. =)
Revenir en haut Aller en bas

T. Atahana Hopkins

________________________
T. Atahana Hopkins

Incarnation Terre
je maîtrise l'attaque siffl'herbe.

¯¯¯¯¯¯¯¯¯¯¯¯¯¯¯¯¯¯¯¯¯¯¯¯

s e x e : Féminin
m e s s a g e s : 1380
â g e : 34
t o u r : Terre.
t o t e m : Le Cerf.
a n n é e : Sixième.
a r r i v é e : 05/02/2009

i d e n t i t é
a b s o l u : Qui sait ?
r e l a t i o n s :
p o p u l a r i t é :
Plouf plouf, voilà la loutre | Maëlis. Left_bar_bleue15/500Plouf plouf, voilà la loutre | Maëlis. Empty_bar_bleue  (15/500)

Plouf plouf, voilà la loutre | Maëlis. Vide
MessageSujet: Re: Plouf plouf, voilà la loutre | Maëlis.   Plouf plouf, voilà la loutre | Maëlis. EmptyDim 29 Aoû - 11:46

Tu vas assurer ! Préviens-moi lorsque c'est terminé ♥.
Revenir en haut Aller en bas
http://bewitching.jdrforum.com/

Maëlis D. Stevens

________________________
Maëlis D. Stevens

Incarnation Eau
je maîtrise l'attaque vibraqua.

¯¯¯¯¯¯¯¯¯¯¯¯¯¯¯¯¯¯¯¯¯¯¯¯

s e x e : Féminin
m e s s a g e s : 1235
â g e : 34
t o u r : Eau
t o t e m : Loutre
a n n é e : Sixième
a r r i v é e : 28/08/2010

i d e n t i t é
a b s o l u : Hum...
r e l a t i o n s :
p o p u l a r i t é :
Plouf plouf, voilà la loutre | Maëlis. Left_bar_bleue15/500Plouf plouf, voilà la loutre | Maëlis. Empty_bar_bleue  (15/500)

Plouf plouf, voilà la loutre | Maëlis. Vide
MessageSujet: Re: Plouf plouf, voilà la loutre | Maëlis.   Plouf plouf, voilà la loutre | Maëlis. EmptyMar 31 Aoû - 0:03

Voila. J'ai terminé. ♥
Revenir en haut Aller en bas


________________________
Invité

Invité
¯¯¯¯¯¯¯¯¯¯¯¯¯¯¯¯¯¯¯¯¯¯¯¯


Plouf plouf, voilà la loutre | Maëlis. Vide
MessageSujet: Re: Plouf plouf, voilà la loutre | Maëlis.   Plouf plouf, voilà la loutre | Maëlis. EmptyMar 31 Aoû - 0:19

Leighton en élève Eau Plouf plouf, voilà la loutre | Maëlis. 421954
On va bien s'entendre I love you
Revenir en haut Aller en bas

Maëlis D. Stevens

________________________
Maëlis D. Stevens

Incarnation Eau
je maîtrise l'attaque vibraqua.

¯¯¯¯¯¯¯¯¯¯¯¯¯¯¯¯¯¯¯¯¯¯¯¯

s e x e : Féminin
m e s s a g e s : 1235
â g e : 34
t o u r : Eau
t o t e m : Loutre
a n n é e : Sixième
a r r i v é e : 28/08/2010

i d e n t i t é
a b s o l u : Hum...
r e l a t i o n s :
p o p u l a r i t é :
Plouf plouf, voilà la loutre | Maëlis. Left_bar_bleue15/500Plouf plouf, voilà la loutre | Maëlis. Empty_bar_bleue  (15/500)

Plouf plouf, voilà la loutre | Maëlis. Vide
MessageSujet: Re: Plouf plouf, voilà la loutre | Maëlis.   Plouf plouf, voilà la loutre | Maëlis. EmptyMar 31 Aoû - 0:20

J'esperre bien cher professeur. ♥
Revenir en haut Aller en bas


________________________
Invité

Invité
¯¯¯¯¯¯¯¯¯¯¯¯¯¯¯¯¯¯¯¯¯¯¯¯


Plouf plouf, voilà la loutre | Maëlis. Vide
MessageSujet: Re: Plouf plouf, voilà la loutre | Maëlis.   Plouf plouf, voilà la loutre | Maëlis. EmptyMar 31 Aoû - 1:46

Irrécupérable. Ceci étant saches que je suis un amoureux transi de Leighton Very Happy et que j'exige un lien par conséquent (A)
Revenir en haut Aller en bas

T. Atahana Hopkins

________________________
T. Atahana Hopkins

Incarnation Terre
je maîtrise l'attaque siffl'herbe.

¯¯¯¯¯¯¯¯¯¯¯¯¯¯¯¯¯¯¯¯¯¯¯¯

s e x e : Féminin
m e s s a g e s : 1380
â g e : 34
t o u r : Terre.
t o t e m : Le Cerf.
a n n é e : Sixième.
a r r i v é e : 05/02/2009

i d e n t i t é
a b s o l u : Qui sait ?
r e l a t i o n s :
p o p u l a r i t é :
Plouf plouf, voilà la loutre | Maëlis. Left_bar_bleue15/500Plouf plouf, voilà la loutre | Maëlis. Empty_bar_bleue  (15/500)

Plouf plouf, voilà la loutre | Maëlis. Vide
MessageSujet: Re: Plouf plouf, voilà la loutre | Maëlis.   Plouf plouf, voilà la loutre | Maëlis. EmptyMar 31 Aoû - 11:04

Fiche terminée, alors me voici. Bien, commençons ! D'une part, je tiens à te complimenter. Les idées sont judicieuses, le prédef' est respecté, et j'adore la scène de l'Initiation, franchement c'est drôle. Petite Aubergine (a). En bref, niveau contexte et compréhension du sujet c'est nickel. Par contre, c'est la conjugaison qui me fait pâlir. Il y a quelques fautes d'orthographe qui passent encore, mais les réels soucis avec le passé simple c'est très dur. Tu colle systématiquement des -a à la première personne, argh ! On ne dit pas "je monta" mais "je montai", et tu fais cela tout du long. Quelques erreurs aussi avec les ce/se, je te conseille d'utiliser un correcteur, il y en a des gratuits sur Internet (cependant celui de Mozilla Firefox est automatique, bon, mais je viens de voir qu'il ne corrige pas les je monta...) Bref, j'aimerai que tu te relises et que tu corriges au moins toutes ces fautes de grammaire, c'est vraiment vital parce que ça m'écorche les pupilles ! xD. Après cela ce sera nickel Very Happy
Revenir en haut Aller en bas
http://bewitching.jdrforum.com/

Maëlis D. Stevens

________________________
Maëlis D. Stevens

Incarnation Eau
je maîtrise l'attaque vibraqua.

¯¯¯¯¯¯¯¯¯¯¯¯¯¯¯¯¯¯¯¯¯¯¯¯

s e x e : Féminin
m e s s a g e s : 1235
â g e : 34
t o u r : Eau
t o t e m : Loutre
a n n é e : Sixième
a r r i v é e : 28/08/2010

i d e n t i t é
a b s o l u : Hum...
r e l a t i o n s :
p o p u l a r i t é :
Plouf plouf, voilà la loutre | Maëlis. Left_bar_bleue15/500Plouf plouf, voilà la loutre | Maëlis. Empty_bar_bleue  (15/500)

Plouf plouf, voilà la loutre | Maëlis. Vide
MessageSujet: Re: Plouf plouf, voilà la loutre | Maëlis.   Plouf plouf, voilà la loutre | Maëlis. EmptyMar 31 Aoû - 14:18

*Tête en l'air*
Je voulais tellement la poster hier soir que j'ai oublier de relire et corriger les fautes. Embarassed
Donc voilà. Correction effectuée.
Revenir en haut Aller en bas

T. Atahana Hopkins

________________________
T. Atahana Hopkins

Incarnation Terre
je maîtrise l'attaque siffl'herbe.

¯¯¯¯¯¯¯¯¯¯¯¯¯¯¯¯¯¯¯¯¯¯¯¯

s e x e : Féminin
m e s s a g e s : 1380
â g e : 34
t o u r : Terre.
t o t e m : Le Cerf.
a n n é e : Sixième.
a r r i v é e : 05/02/2009

i d e n t i t é
a b s o l u : Qui sait ?
r e l a t i o n s :
p o p u l a r i t é :
Plouf plouf, voilà la loutre | Maëlis. Left_bar_bleue15/500Plouf plouf, voilà la loutre | Maëlis. Empty_bar_bleue  (15/500)

Plouf plouf, voilà la loutre | Maëlis. Vide
MessageSujet: Re: Plouf plouf, voilà la loutre | Maëlis.   Plouf plouf, voilà la loutre | Maëlis. EmptyMar 31 Aoû - 14:44

Merci beaucoup ! Fais juste attention pour le RP quoi Very Happy. Je valide donc, amuse toi bien Very Happy N'oublie pas d'aller faire recenser ton avatar puisque tu as changé (:
Revenir en haut Aller en bas
http://bewitching.jdrforum.com/


________________________
Contenu sponsorisé


¯¯¯¯¯¯¯¯¯¯¯¯¯¯¯¯¯¯¯¯¯¯¯¯


Plouf plouf, voilà la loutre | Maëlis. Vide
MessageSujet: Re: Plouf plouf, voilà la loutre | Maëlis.   Plouf plouf, voilà la loutre | Maëlis. Empty

Revenir en haut Aller en bas
 

Plouf plouf, voilà la loutre | Maëlis.

Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Revenir en haut 
Page 1 sur 1

Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
bewitching ; la tentation du feu. :: Enfin, tout peut débuter ! :: Registre. :: Maintenant, tout ne dépend plus que de Vous. :: E A U-
Créer un forum | ©phpBB | Forum gratuit d'entraide | Signaler un abus | Forum gratuit