bewitching ; la tentation du feu.
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 Kick me if you dare ! [Franklin]

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Dellà N. Romanskaïa

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Dellà N. Romanskaïa

Elève Air
j'apprends à dompter le vent.

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MessageSujet: Kick me if you dare ! [Franklin]   Kick me if you dare !  [Franklin] EmptyMer 29 Sep - 22:18



Quand le Tigre ressert ses crocs, l'Hirondelle n'a plus qu'à s'envoler ;
ou Kick me if you dare !

Voilà déjà presque un mois que les cours avaient repris. Dellà avait l’impression que le temps passait trop vite. Et à la fois trop lentement. La météo changeait déjà, se refroidissant, tandis que les cours étaient de plus en plus dur. La 6ème année de la jeune russe lui réservait bien des surprises. Quelques anciens élèves lui avaient dit que les deux dernières années à Bewit étaient les plus intenses. Dellà n’avait même pas eu l’été pour se préparer comme il faut à une nouvelle année. Mais qu’importait. Les choses avaient repris leur cours habituel. Et comme une histoire qui se répète, certains personnages qui appartenaient au passé réapparaissaient maintenant, tels des fleurs, innocentes et pures.

Le Cabanon était sans doute l’un des endroits les moins fréquentés, surtout un soir en pleine semaine, alors que la nuit tombait doucement dans le ciel. Le Parc était presque vide, ce qui facilitait la tâche à Dellà, qui ne préférait pas trop être vue. Ne manquerait plus qu’elle se fasse suivre par des subalternes de Woann qui la tuerait dans un coin sombre sans aucune âme serviable et courageuse pour l’aider *BAF* Marchant d’un pas vif et rythmé, la jeune blonde serrait son sac contre elle, frissonnant légèrement, alors qu’elle voyait la silhouette du Cabanon se dessiner parmi les ombres du Parc. Qu’allait-elle y faire ? Bonne question. Si on lui avait dit qu’elle reparlerait un jour à son ex sans qu’il tente de lui crever les yeux et de lui arracher le cœur, elle n’y aurait pas crus. Alors aurait-elle pus imaginer un jour qu’il fasse de nouveau attention à elle ? Qu’il la regarde de nouveau comme auparavant ? Qu’il vienne jusqu’à elle pour discuter et rire avec elle ? Jamais elle n’aurait pus l’imaginer, et aujourd’hui encore, elle n’y croyait pas. Elle se méfiait. Notamment parce qu’il était son ex, qu’il était particulièrement spécial, qu’elle lui avait fait un sale coup voilà quelques temps déjà, et aussi parce qu’il était un élève de Feu. Alors pourquoi se dirigeait-elle vers ce Cabanon à cette heure tardive ? Elle voulait y croire. Ou du moins, elle voulait au moins voir où tout ça allait mener. Qu’avait-il derrière la tête ?
Plus elle avançait, plus elle se disait que c’était peut-être une mauvaise idée. Pourtant, malgré sa méfiance et celle de Véra, elle ne pouvait s’empêcher de continuer à marcher.
« Si jamais cela dérape, je prends la place, et on s’envole. »
« Pourquoi voudrais-tu que cela dérape ? »
« Dellà. Il s’agit de Franklin.. »

Véra ne l’avait jamais vraiment apprécié, et Dellà avait presque oublié ce léger détail. L’hirondelle était persuadée que Franklin avait eu une mauvaise influence sur la jeune blonde lorsqu’ils sortaient ensemble. Elle pensait qu’il valait mieux éviter de fréquenter ce genre de personnage. Mais Dellà n’était pas d’accord. Et puis, elle était de ceux qui croyait aux deuxième chance. Et tout laissait croire que son ex lui donnait une deuxième chance d’être proche de lui. Elle ne cherchait pas à sortir avec lui, mais elle ne refuserait pas son amitié.
Finalement, elle arriva au Cabanon. Ouvrant la porte, elle alluma la lampe qui n’éclairait pas grand-chose, laissant l’endroit dans une ambiance particulière. Ce n’était pas bien grand, mais il y avait quand même un peu de place. Beaucoup d’objets trainaient ci et là, notamment plusieurs étagères et quelques outils de jardin. Il y avait également une vieille chaise pliante, un caisson qui pouvait faire office de tabouret, et une petite table bancale. Dans un coin, caché derrière les étagères, des élèves avaient aménagés un espace détente. C’est là qu’on pouvait trouver un vieux matelas, quelques coussins et deux-trois couvertures. A part les 1ères et 2èmes années, tout les élèves savaient qu’un matelas était caché là. Généralement, il était utilisé par les amants qui voulaient un coin tranquille où se donner l’un à l’autre loin des dortoirs de l’école. Dellà elle-même y était déjà venue accompagnée.. C’était avec Franklin justement.
Lâchant un petit soupire, la jeune blonde s’assit sur le caisson et posa son sac sur la table. Elle doutait fortement que Franklin veuille travailler. Il ne lui aurait jamais donné rendez vous dans cet endroit si c’était le cas. Généralement, lorsqu’elle aidait un élève pour les cours, c’était en fin d’après midi, après les cours, dans la bibliothèque ou dans une salle de cours vide. Quelques fois, quand la météo le permettait, c’était dehors dans le parc. Surtout lorsqu’elle aidait un élève pour un cours pratique. En fait, étant une bonne élève, Dellà avait l’habitude de donner des cours particuliers et d’aider d’autres élèves, mais c’était rarement des élèves Feu, et encore moins son ex sado-maso et pyromane..
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Franklin Faust Fergusson

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MessageSujet: Re: Kick me if you dare ! [Franklin]   Kick me if you dare !  [Franklin] EmptyMer 29 Sep - 23:09

☁ Dellà & Franklin ☠


    HJ~ J'espère que ça ira, Attention le spoiler est plutôt hard XDD

    ♠ C’est une très bonne idée d’avoir contacté Dellà. Mais crois-tu vraiment qu’elle ne se doutera de rien quant à tes véritables intentions ? ♠
    ♣ Ne t’en fais pas pour ça Smilo, je vais faire dans la finesse pour qu’elle ne se doute de rien tout en restant moi-même.♣
    ♠ Bien, dans ce cas là, j’ai hâte de voir ça.♠
    ♣ Moi aussi Smilo, moi aussi.♣

    ♠ C’est une très bonne idée d’avoir contacté Dellà. Mais crois-tu vraiment qu’elle ne se doutera de rien quant à tes véritables intentions ? ♠
    ♣ Ne t’en fais pas pour ça Smilo, je vais faire dans la finesse pour qu’elle ne se doute de rien tout en restant moi-même.♣
    ♠ Bien, dans ce cas là, j’ai hâte de voir ça.♠
    ♣ Moi aussi Smilo, moi aussi.♣

    Tout en ayant cette conversation, je me préparais pour se rendez-vous. Dellà ayant était habituée à mes présentations quelques peut négligée, je fis un effort pour qu’elle pensait que j’avais légèrement changé, même si le fautif ce n’était pas moi dans l’affaire mais plutôt elle. Je me souviens de ce jour là, ce fameux jour ou j’ai appris qu’elle m’avait trompé avec un autre, je me souviens aussi ce que j’avais fait subir à ce garçon. Il était resté deux semaines à l’infirmerie, ayant plusieurs côtes brisées, différentes blessures et brûlures prés de sa région intime. Je souris en repensant à cela, on ne vole pas sa petite amie sans en subir de grave conséquences. Je m’’étais donc vêtu d’une chemise noire élégante et d’un jean de même couleur, ces deux vêtements me moulais le corps, je m’admirais dans le miroir, j’étais parfait. J’ajoutais comme touche finale des chaussures élégantes sombres, une coiffure en pétard sans être mal coiffé et un veston de cuir de couleur sombre aussi. Je saisis mon sac, qui comptait a vrai dire très peu de chose qui concernait les cours, hormis, un calepin et un stylo. Pour le reste, il s’agissait de chose que vous ne devriez mieux pas savoir, mais si la situation devient propice, vous en serez sûrement davantage.
    Je me dirigeais donc dehors, je lui avais donné rendez-vous dans le cabanon, aah, le cabanon que de souvenir dans cette petite pièce. Des souvenirs torrides et violents que j’avais eus avec Dellà. Je me souviendrais toujours de qu’on a vécu dans cet endroit petit et sordide.

    FLASH ON. Attention classé X (a)
    Spoiler:

    FLASH OFF. Ça va, pas trop choqué ? x)

    Enfin je fus arrivé au petit cabanon. Je ne pris pas la peine de frapper à la porte, après tout elle m’attendait. Je refermais derrière moi. Je la saluais d’un geste amical et d’un clin d’œil. Je posais mon sac sur le matelas, en le voyant je souris, un sourire pervers, car je repensais encore aux moments torrides. Puis me posant sur une cagette je positionnais à côté d’elle, je lui jetais un regard, puis le dirigeais vers le matelas avant de lui lançais d’un air détaché.

    « Tu te souviens de ce qu’on fais sur ce matelas Dellà. »

    ♠ Si c’est comme ça que tu comptes t’y prendre pour la rassurer, tu n’es pas prés de faire ce que tu veux. ♠
    ♣ Je sais ce que je fais Smilo, t’en fais pas. ♣
    Je la regardais intensément, faisant passer mon regard de haut en bas, puis dans un rictus qui se voulait dès plus doux et d’une voix sensuelle, je lui fis un compliment.

    « Tu es très en beauté ce soir. »

    Un compliment de sa part était une chose véritablement rare et dont il ne fallait pas se foutre, car en général, ils étaient sincèrent.
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Dellà N. Romanskaïa

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MessageSujet: Re: Kick me if you dare ! [Franklin]   Kick me if you dare !  [Franklin] EmptyJeu 30 Sep - 22:00



« Il est en retard. »
« Il n’avait pas dit d’heure vraiment précise.. »
« Imagine qu’il vienne juste pour brûler le cabanon alors que nous sommes à l’intérieur ? »
« C’est une possibilité envisageable, oui. Mais je pense que s’il avait simplement voulus me tuer, il l’aurait déjà fait depuis longtemps. »

Voilà déjà plusieurs longues minutes que Dellà attendait, assise sur le caisson. Elle ne s’inquiétait pas plus que ça du temps qu’il pouvait mettre à venir, puisqu’après tout, elle savait qu’il viendrait. D’ailleurs, elle ne tarda pas à entendre des bruits de pas qui s’approchaient du cabanon. La porte s’ouvrit, et Franklin entra. Dellà posa son regard sur lui, un léger sourire aux lèvres. Elle le regarda de bas en haut, et son sourire se fit tout de suite plus amusé. Il était diablement sexy ainsi vêtu tout de noir. Et Dellà avait toujours du mal à résister à un homme en chemise. Les t-shirts col v et les chemises étaient les deux vêtements qui faisaient fondre la jeune blonde. Bien sur, un torse nu musclé la faisait littéralement bavé..mais heureusement pour elle, les élèves de Bewit, aussi sexy soient-ils, ne se baladaient pas torse nu dans l’école x)
« Tu te souviens de ce qu’on fais sur ce matelas Dellà. »
L’air détaché de Franklin et la phrase qui allait avec fit rire la jeune femme. Bien sur qu’elle s’en souvenait. Difficile d’oublier pareils ébats. Jamais elle n’avait pratiqué du sexe plus dur qu’avec lui. C’était le genre dominateur fou qui a besoin de faire mal pour prendre son pied. Et quitte à passer pour n’importe quoi, Dellà n’avait jamais dis non à Franklin lorsqu’ils sortaient ensemble (a)
« Je m’en souviens très bien, oui. »
La jeune blonde adressa un fin sourire et un regard complice envers Franklin. Elle allait ajouter autre chose, mais déjà son regard se faisait plus intense, et elle se perdait dans ses yeux.
« Tu es très en beauté ce soir. »
Elle ne put s’empêcher de sourire de nouveau. Elle se pinça les lèvres, puis fit une petite moue, haussant légèrement les épaules. Elle n’avait rien d’extra ce soir. Ses cheveux étaient détachés, elle portait un t-shirt rouge décolleté, une veste grise et un jean. En plus de cela, elle était à peine maquillée.
« Tu me fais quoi là Franky ? J’suis habillée on-ne-peut-plus normalement. Toi par contre… »
Elle laissa courir son regard le long du corps du Feu, un sourire amusé au coin des lèvres. D’après son souvenir, il n’était pas du genre à s’habiller aussi classe et elle doutait du fait qu’il ait pus changer. De toute façon, pourquoi aurait-il changé ? Elle-même n’avait pas beaucoup changé depuis leur rupture.. Et puis, c’était elle la fautive dans l’histoire.
« Tu es vraiment beau ainsi. Mais pourquoi t’être si bien habillé ? Pour réviser ton cours de Mythes et Légendes avec moi ? »
Elle eut un léger rire, pas vraiment convaincus qu’il soit là pour travailler. Elle allait pour sortir son cours de son sac, mais elle posa un instant ses yeux dans les siens, et s’arrêta dans son geste. Comment avait-elle pus oser le tromper ? Elle qui prétendait l’aimer.. Elle se souvint alors de ce qu’il était arrivé au jeune avec qui elle avait couché pendant qu’elle sortait avec Franklin. Le Feu s’était tellement énervé contre lui, que le pauvre était resté deux semaines à l’infirmière. Plus jamais après ça il n’avait osé s’approcher de Dellà, lui envoyant simplement une lettre où il lui disait a quel point il la trouvait cruelle et que son Franklin était juste un fou à mettre en hôpital psychiatrique. Baissant la tête un instant, elle se mordit les lèvres.
« Je suis désolée pour ce que je t’ai fais. Vraiment. Je ne mérite vraiment pas que tu revienne vers moi comme ça.. »
Elle se leva sans attrendre, prit son sac et s’apprêta à sortir du Cabanon.
« Qu’est-ce que tu fais ? »
« Je veux savoir comment il réagit.. »
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Franklin Faust Fergusson

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MessageSujet: Re: Kick me if you dare ! [Franklin]   Kick me if you dare !  [Franklin] EmptyJeu 30 Sep - 23:10

    « Tu me fais quoi là Franky ? J’suis habillée on-ne-peut-plus normalement. Toi par contre… Tu es vraiment beau ainsi. Mais pourquoi t’être si bien habillé ? Pour réviser ton cours de Mythes et Légendes avec moi ? »

    ♠ Une chose est sûr elle est pas aveugle, elle a vu que tu es beau, c’est peut-être un peu tard pour le remarquer. Par contre elle a bien vu que tu cachais quelque chose, tu as intérêt à trouver un truc. ♠

    « Depuis quand fais tu partie de la police ? On a pas le droit de s’habiller comme on veut ? Et puis je trouve très jolie naturelle, sans tout ce maquillage, tu sais les filles qui en mettre c’est générale pour cacher leur laideur et toi tu n’es pas laide, bien au contraire. »

    ♠ On peut dire que tu sais parler aux femmes. Enfin tu as eu un bon professeur aussi. ♠

    Je riais intérieurement en entendant la remarque de plus fidèle ami. Je la regardais plus longuement, droit dans les yeux, je sentis son regard divaguer dans le mien. Si j’arrivais à faire cela encore un peu plus longtemps, elle allait me tomber dans les bras et je n’aurais plus qu’à la cueillir comme une fleur. Je songeais a ce qu’elle m’avait fait subir, certes retourner vers elle ainsi me donnait presque envie de la frapper elle de nouveau, elle s’était moqué de moi et je ne l’avais pas puni tout de suite, trop blessé par cette affront. J’avais aimé autre chose que le feu dans ma vie et c’était elle, je ne l’ai jamais dit à quelqu’un même pas à elle. Mais je m’étais décider enfin à la punir pour ce qu’elle avait fait, peut-être que cela faisait longtemps, mais la vengeance sa se prépare. J’espère que mon plan aller marcher.

    Quelque chose me fit sortir de mes pensées, c’était elle. Elle me disait qu’elle ne mérité pas que je revienne vers elle, ce qui était tout à fait vrai elle ne le mérité pas, d’ailleurs elle ne mérité même pas un regard de ma part, mais elle avait un corps tellement sublime, tellement attrayant, que j’avais envie de la coucher sur le matelas et de la prendre violement se soir en souvenir du bon vieux temps, mais je devais m’y résigner, d’ailleurs je sentis dans mon pantalon l’envie que j’avais, en effet mon engin semblait vouloir se manifester aussi ce soir. Mais je me calmais les pensées en imaginant un feu magnifique s’éteindre et je sentis celui de mon pantalon se calmer peu à peu.

    Je me levais juste derrière elle et lui saisi le poigner doucement afin qu’elle se retourne et me regarde droit dans les yeux. Je lui fit un sourire des plus rassurant, il se voulait même tendre, à agir ainsi j’avais l’impression d’être quelqu’un d’autre, non c’était pas Smilo qui agissait ainsi, lui il s’enfichait, se senti que j’avais ressenti autre fois revenait-il à la charge ? C’était impossible, je le refoulais alors au plus profond de moi. Puis d’une voix calme.

    « Non Dellà, ne part pas. Je suis là, parce que premièrement tu es la seule personne intelligente a qui je pouvais demander un tel service et deuxièmement parce que j’ai décidé de te donner une deuxième chance. Je sais ce que tu ressens, je le vois dans tes yeux. »

    Je lui caressais alors délicatement le bras à l’aide de mon pouce tout en lui adressant un léger sourire. Je la rapprochais alors doucement de moi, nous étions coller l’un a l’autre, j’approchais doucement mon visage de sa chevelure dorée et en huma le parfum, il sentait si bon, tellement bon. ♠ Attention franklin ! Tu t’égare de ton but ! ♠ ♣ Non je ne m’égare pas Smilo, ça fait parti du plan ! ♣ ♠ Oh je vois, dans ce cas là tu es très convainquant. ♠ Je reprenais là ou j’en étais, j’humais toujours ses cheveux et les caressait doucement, avant de subitement m’éloigner d’elle. Puis tout en allant me rassoir je lui lançais toujours de se ton détacher, comme si rien ne s’était passé.

    « Bon si on attaqué ce cours ! Après tout je suis là pour ça et rien que pour ça.

    Fis-je en instant sur mes derniers mots. J’étais assis sur la matelas, et je la regardais, elle était toujours là, debout, elle semblait perdue et chamboulé, ce qui était compréhensible, mais j’espère tout de même qu’elle se reprenne. Je voulais qu’elle se pose des questions, qu’elle se dise que j’avais peut-être changé, non plutôt que j’avais changé, même si tout ça n’étais pas vrai, même si tout ce que je pouvais dire ou faire n’était que pure comédie.


Dernière édition par Franklin F. Fergusson le Ven 1 Oct - 11:26, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: Kick me if you dare ! [Franklin]   Kick me if you dare !  [Franklin] EmptyVen 1 Oct - 0:06



Elle s’était levée assez rapidement, et avait eu le temps de faire quelques pas pour s’avancer vers la porte. Mais très vite, il la rattrapa avec une douceur qu’elle ne lui connaissait pas. Elle se retourna et leur regard se croisèrent. Elle le vit lui sourire avec tendresse et l’écouta en silence, appréciant le son de sa voix si calme en cet instant.
« Non Dellà, ne part pas. Je suis là, parce que premièrement tu es la seule personne intelligente a qui je pouvais demander un tel service et deuxièmement parce que j’ai décidé de te donner une deuxième chance. Je sais ce que tu ressens, je le vois dans tes yeux. »
« Quel beau parleur et manipulateur.. »
« Rooh ! Tais-toi un peu ! »
« Ne me dis pas que tu le crois ! »
« Je n’en sais rien Véra.. J’ai toujours su qu’il mentait très bien mais là.. Je n’sais pas. »

Elle le regardait avec des yeux ronds, frissonnant en sentant ses caresses sur son bras. Il était d’une douceur incroyablement, et cela déstabilisait Dellà qui ne savait plus trop quoi croire. Il la rapprocha d’elle et elle se laissa faire, sentant alors le corps chaud de Franklin contre le sien. Elle ferma un instant les yeux, aimant ce contact sans vraiment le vouloir. Ses mains vinrent caresser ses cheveux, et elle n’osa plus bouger, restant immobile, ne sachant plus quoi faire. Il ne tarda pas à se détacher d’elle, et elle fut rassurée, se sentant déjà plus libre. Il alla s’asseoir sur le matelas et elle tenta de se détendre lentement, se disant qu’il ne fallait pas que des vieux sentiments refoulés refassent surface maintenant. Non, de toute façon, c’était impossible qu’elle retombe amoureuse de lui. Tout bonnement impossible. Mais il valait mieux éviter les contacts physiques à partir de maintenant.
« Bon si on attaquait ce cours ! Après tout je suis là pour ça et rien que pour ça. »
Toujours dans ses pensées, Dellà mit un petit temps avant de réagir et de poser ses yeux sur son ex. Le voir assis sur le matelas lui donna un frisson, alors qu’une vieille image du passé refaisait surface dans sa mémoire. Elle lui fit un petit sourire, puis alla chercher son classeur dans son sac. Elle le prit dans ses mains, puis s’assit sur le caisson pour être à distance raisonnable de Franklin. Elle regarda rapidement son cours avant de poser ses yeux sur son ex. Elle n’avait pas vraiment besoin de son cours en fait, elle connaissait déjà tout.
« Aloors, mythologie grecque. Voyons d’abord si tu te souviens des Divinités olympiennes. Dans l’ordre alphabétique, Aphrodite, Apollon, Arès, Artémis, Athéna, Déméter, Dionysos, Hadès, Héphaïstos, Héra, Hermès, Hestia, Pan, Poséidon et Zeus. Dis moi tout ce que tu sais à propos de chacun d’entre eux. Essaye déjà d’en faire quelques uns. Tu n’es pas obligé de le faire dans l’ordre. »
Dellà se rendait bien compte que parler de ses dieux là était presque ironique dans leur situation. Aphrodite, déesse de l’amour. Apollon, dieu réputé pour sa grande beauté et ses amours malheureux. Et Arès, dieu de la guerre et de la destruction. On aurait dit leur histoire. Une histoire d’amour pour elle, qui se finit mal pour lui.. Et qui, finalement, tourne en guerre. Était-ce donc ça qui attendait Dellà ? Une vengeance terrible de la part de Franklin ? Elle savait qu’il en était parfaitement capable. Elle le savait, et c’est pourquoi elle se méfiait tant de lui, et qu’en ce moment-même, elle se demandait pourquoi il ne lui arrachait pas les yeux pour ensuite la bruler vive. Elle savait qu’il savait qu’elle ne méritait aucunement qu’il revienne vers elle aussi doux, affectif et gentil. Il préparait sans doute quelque chose. Et même si Dellà s’en doutait, elle savait très bien que s’il s’approchait de trop près, elle aurait du mal à résister. Alors comment faire ?
« Alors, j’attends très cher ! Et ne triche pas en ouvrant ton cahier hein ! »
Elle lança un regard au sac de Franklin non loin de lui, puis reposa ses yeux sur lui, un sourire amusé sur les lèvres. Il fallait penser à autre chose qu’à toute cette histoire de pourquoi il revenait vers elle et du danger potentiel qui l’habitait, donc elle préférait sourire et s’occuper de la mythologie grecque !
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MessageSujet: Re: Kick me if you dare ! [Franklin]   Kick me if you dare !  [Franklin] EmptyVen 1 Oct - 12:16


    Démoniak ~ RoBERT
    « Crois tu que je suis Ange... Démon...
    Tu es Tombée du Ciel, tu es Tombée du Ciel.
    Les portes de l'Enfer... Démon.
    Tu es Tombée du Ciel.
    »


    « Aloors, mythologie grecque. Voyons d’abord si tu te souviens des Divinités olympiennes. Dans l’ordre alphabétique, Aphrodite, Apollon, Arès, Artémis, Athéna, Déméter, Dionysos, Hadès, Héphaïstos, Héra, Hermès, Hestia, Pan, Poséidon et Zeus. Dis moi tout ce que tu sais à propos de chacun d’entre eux. Essaye déjà d’en faire quelques uns. Tu n’es pas obligé de le faire dans l’ordre. »

    Plus elle énumérait et plus je me disais que j’avais du boulot a rattraper, mais en réalité je n’ai pas là pour ça , même si sa pouvait largement m’aider. Je réfléchis un instant, heureusement pour moi j’en connaissais quelques uns, et avoir ceux que je connaissais. On aurait presque dit qu’il s’était soit réincarner en moi sans réincarner en elle. Je riais intérieurement face à cela, c’était vraiment hilarant de voir comme la mythologie pouvait se répercuter sur la vie des simples mortels. Je me raclais la gorge et commença a déblatérer tout mon savoir à mon professeur alias mon ex.

    « Alors alors, Aphrodite déesse sublime de l’amour qui était sûrement courtiser par beaucoup d’homme, ça aurait put être ton deuxième ou ton première prénom Dellà. Ensuite, il y a se cher Apollon dont la beauté n’égale personne et dont les histoires d’amour se sont toujours terminée par un échec, on pourrait croire que je suis lui, tu ne trouve pas ? Ensuite vienne mes deux préférés qui sont Dionysos, le dieu du vin, j’aime beaucoup ce dieu et Hadès, le dieu des Enfers, le feu en sommes, alors je pourrais très bien être lui aussi. Héra est la déesse du mariage et protectrice de la femme, certes elle a sûrement dût te protéger, mais en ce qui concerne le mariage, il n’y a rien eu de tel, dommage d’ailleurs tu ne crois pas ? Ensuite celui que je déteste sûrement le plus à mon avis Poséidon, le dieu de la mer et des océans, lui c’est bien le seul que je n’apprécie pas, c’est peut être pour ça que nous sa na pas marcher, peut-être que l’eau nous séparer et enfin Zeus, le dieu des dieux. »

    ♠ En voilà un de beau discours, tu t’ai senti inspiré, mais je ne sais pas si tu as remarqué mais il y en a que tu n’a pas cité ! ♠

    En effet ceux que je n’avais pas cité, c’était ceux que je ne connaissais pas, mais à mon avis ils étaient un peu tous pareil là dedans,, il devait sûrement s’agir de dieu de la destruction de la guerre et autre, du genre Athéna. Mais je ne l’ai pas citée, car pour le moment ce n’est que la guerre pour moi, Dellà ignore tout de mes véritables intentions même si son fichu totem lui doit sans douter, j’espérais tout simplement que Dellà ne la croirait pas ou du moins qu’elle attendrait de voir. Alors que je la regardais intensément de mes yeux envoûtants, je m’aperçus qu’il y avait une petite place sur son siège, machinalement un sourire se dessina sur mes lèvres. Je me levais et m’approcher donc d’elle, et je m’asseyais a ses côtés et la saisit par la taille délicatement. J’appuyais ma main à l’endroit le plus sensible de son buste, je savais que cet endroit était sûrement le seul qui la ferait chavirer.

    Je tournais mon visage en direction du sien nous étions tout prés l’un de l’autre, je pouvais sentir son souffles sur mon visage. Son haleine avait une odeur mentholée et fraîche, on aurait dit qu’elle-même avait pressentie qu’il se passerait quelque chose entre nous se soir. La mienne devait sûrement sentir la clope mélangé aux fruits de la passion, j’avais mâché un chewing-gum avant d’arriver. J’espère aussi qu’elle puisse sentir mon parfum enfin plutôt son parfum celui qu’elle m’avait offert, non je ne l’ai pas jeté car je savais qu’il me servirait un jour.

    « Dellà, tu ne trouves pas que cette histoire de dieu, ça nous ressemble un peu…

    Je laissais ma phrase en suspens, bizarrement j’avais mal au cœur d’un coup, l’avais je réellement aimé ? Et Etait-ce pour cela que je voulais me venger de ce qu’elle m’avait fait ? Impossible, je suis incapable d’aimer, du moins c’est ce que j’arrêtais pas de me dire. ♠ Franklin, je peux te dire que tu l’as aimé, mais arrête ton charme tout de suite ou tu risque de ne pas faire ce que tu as décidé. ♠ ♣ La Ferme Smilo, laisse moi agir en conséquence, je sais ce que je fais. Tout ça c’est normale car si elle retomber dans mes bras, je pourrais lui faire subir ce qu’elle m’a fait. ♣ ♠ Mais tu prend un gros risque toi aussi en faisant cela ! Et si toi aussi tu retombais ?! ♠

    Je ne lui répondis pas, il avait un peu raison, c’est vrai, mais je m’efforcer de ne pas penser à cela. Je ne le voulais pas, alors si l’expression quand on veut on peut est positif, elle peut aussi devenir négatif, ce qui donnerait quand on ne veut pas on ne peut pas. Soudain je sentis un léger courant d’air froid s’engouffrais dans mes vêtements, je frissonnais légèrement. Le froid je détestais ça, je me serrais encore un plus vers elle.

    « Il fait froid tu ne trouves pas. Je vais allumer un petit feu…Fait pas cette tête, je ne vais pas faire brûler le cabanon surtout si je suis dedans, j’ai pas envie de mourir tout de suite. »

    Je sortis mon briquet de ma poche et l’enclencha. Puis d’un geste gracieux de la main je fis une lus grosse flamme qui soudain prit la forme d’un cœur, je l’avais fait exprès bien entendu, puis dans un faux sourire gêné, je lui fis reprendre la forme d’une flamme que je déposais sur un petit tas de papier. Je me sentis tout de suite mieux, quel bonheur cette chaleur, j’étais tellement bien, un sourire heureux et satisfait se dessina sur mes lèvres. Je regardais de nouveau Dellà, j’approchais ma main libre de son visage et lui fis une légère caresse sur la joue à l’aide de mon index. J’arrêtais cette caresse aussi soudainement que je l’avais commencée et regarda dans son cour. Je vis alors un dessin sur le coin du classeur, je m’approchais un peu plus pour le distinguer, on aurait dit un F et un D. Je souris de nouveau.

    « Le F c’est pour franklin ou pour l’autre abruti ? »

    Fis je à la fois inquisiteur et légèrement énervé par cette histoire et part l’autre abrutit. Je songeais a de nouveau le frapper lorsque je le verrais après tout il m’avait pris la seule chose qui me rendait possiblement en heureux en dehors du Feu.
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Dellà N. Romanskaïa

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Dellà N. Romanskaïa

Elève Air
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MessageSujet: Re: Kick me if you dare ! [Franklin]   Kick me if you dare !  [Franklin] EmptyVen 1 Oct - 19:02



C’était assez troublant et gênant comme situation. Dellà savait parfaitement que plusieurs divinités correspondaient à Franklin et elle, à leur histoire, à ce qui s’était passé, et sans doute à ce qui allait se passer. Elle essayait de ne pas trop y penser tout en attendant la réponse de Franklin, mais elle se doutait qu’il allait faire des allusions à eux deux, et elle avait raison.
« Alors alors, Aphrodite déesse sublime de l’amour qui était sûrement courtiser par beaucoup d’hommes, ça aurait put être ton deuxième ou ton premier prénom Dellà. Ensuite, il y a ce cher Apollon dont la beauté n’égale personne et dont les histoires d’amour se sont toujours terminée par un échec, on pourrait croire que je suis lui, tu ne trouve pas ? Ensuite viennent mes deux préférés qui sont Dionysos, le dieu du vin, j’aime beaucoup ce dieu et Hadès, le dieu des Enfers, le feu en sommes, alors je pourrais très bien être lui aussi. Héra est la déesse du mariage et protectrice de la femme, certes elle a sûrement dût te protéger, mais en ce qui concerne le mariage, il n’y a rien eu de tel, dommage d’ailleurs tu ne crois pas ? Ensuite celui que je déteste sûrement le plus à mon avis Poséidon, le dieu de la mer et des océans, lui c’est bien le seul que je n’apprécie pas, c’est peut être pour ça que nous ça n’a pas marcher, peut-être que l’eau nous séparait et enfin Zeus, le dieu des dieux. »
Dellà écouta attentivement la réponse de son ex, tentant de rester passible à tout ce qu’il disait. Il se trompait sur un point, concernant le mariage, Dellà y avait eu le droit avec le mariage arrangé par sa famille.. Mais ça, Franklin n’en avait pas la moindre idée, alors autant ne pas en parler. Il ne connaissait pas grand-chose des divinités et il n’en avait cité que quelques uns, mais Dellà ne fit aucune remarque, car elle continuait de fixer ses beaux yeux en silence. Il avait un regard de plus en plus intense, et elle se sentait chavirer sans même le vouloir. Elle essayait de lutter, mais elle n’avait jamais pus vraiment résister à son regard de braise. Pour ne rien arranger, il vint s’asseoir près d’elle, sur le peu de place qui restait à côté d’elle. Elle se poussa un peu pour lui laisser plus de place et pour tenter d’être moins proche de lui, mais en vain. Il la saisit par la taille, et elle se rapprocha instinctivement de lui, frissonnant à ce contact. Il ne tarda pas à appuyer sa main sur un point sensible de sa peau, et elle se raidit sur place, se mordant la lèvre pour éviter de faire quoi que ce soit de stupide. Elle tourna légèrement sa tête sur le côté, comme pour éviter de le regarder, mais il était tellement proche qu’elle sentait toute la chaleur de son corps contre le sien. Son souffle sur sa peau l’excitait d’une manière inexplicable. Elle tourna de nouveau son visage vers lui, sentant alors son parfum qu’elle connaissait si bien. C’était le parfum qu’elle lui avait offert..
« Dellà, ne sois pas stupide, tu vois bien qu’il fait tout pour te faire tomber dans ses bras. »
« Et quoi ? Il vas me tuer après que je sois tombée dans ses bras ? Il est capable du pire, mais il ne me tuerait pas.. »
« Il te fera souffrir jusqu’à ce que tu perde à jamais confiance en toi. Il vas se venger, c’est certain. Cela se voit comme un nez au milieu de la figure ! »

Dellà ne répondit pas à son totem, préférant humer le parfum de son ex tant qu’elle le pouvait. Il était si proche qu’elle sentait qu’elle ne tarderait pas à lui sauter dessus si cela continuait..
« Dellà, tu ne trouves pas que cette histoire de dieu, ça nous ressemble un peu… »
« Si.. »
Il était difficile de ne pas se rendre à l’évidence. On aurait dis que tout avait été fait pour leur rappeler le passé. Franklin avait été le seul dont elle était tombée amoureuse depuis son entrée à Bewit. Bien que beaucoup à l’époque ne comprenait pas pourquoi ils sortaient ensemble, Dellà n’avait jamais douté un instant qu’une histoire entre eux été possible. Mais à force de toutes les rumeurs, à force qu’elle entende des choses de plus en plus atroce sur lui et sur elle, Dellà avait craqué. On lui disait qu’il se tapait un tas d’autres filles. On lui répétait que tout ça ne mènerait jamais à rien. On se moquait d’elle quand elle osait dire qu’elle tenait vraiment à lui. Et tout le monde lui avait rabâché qu’il la larguerait sans pitié et sans raison, parce qu’il n’était qu’un sans cœur. Même Véra lui avait répété des milliers de fois qu’elle faisait erreur en sortant avec lui, qu’elle ne pouvait pas aimer un être comme lui, qu’il se foutait d’elle et ne faisait que se servir de son corps… Encore trop jeune pour vraiment résister à tout ça, Dellà avait craqué. Elle avait essayé de lui en parler, mais elle n’avait jamais réussis. Et lors d’une soirée d’élèves où il n’était pas venus, elle avait discuté avec cet ami, mignon et à l’écoute, qui avait profité de son mauvais état pour se rapprocher d’elle. Stupide et naïve, Dellà l’avait embrassé en pensant à Franklin. Ils avaient finis au lit, mais dès l’avoir embrassé, elle avait su qu’elle faisait une erreur. La suite était évidente. Le mec en question l’avait avoué à un ami à lui, qui l’avait dit à un autre, jusqu’à ce que cela fasse le tour de l’école pour enfin arriver aux oreilles de Franklin. Ce dernier s’était sentit trahi et avait du perdre toute sa fierté a cause d’elle. Dellà était fautive. Elle le savait. Et encore aujourd’hui, elle s’en voulait. Serrant les dents pour rester calme, elle sortit de ses pensées quand Franklin s’adressa de nouveau à elle.
« Il fait froid tu ne trouves pas. Je vais allumer un petit feu…Fait pas cette tête, je ne vais pas faire brûler le cabanon surtout si je suis dedans, j’ai pas envie de mourir tout de suite. »
A vrai dire, le coup de froid qu’il avait sentit venait d’elle. Lorsqu’elle n’allait pas bien et qu’elle avait un coup de déprime ou de nostalgie, le vent soufflait généralement autour d’elle comme pour éloigner toute présence gênante. Mais elle ne dit rien à son ex, le laissant se rapprocher d’elle un peu plus et s’occuper du feu qu’il voulait faire. Elle vit la flamme en forme de cœur, mais n’y fit pas trop attention, essayant simplement d’imaginer la douleur qu’il avait pus ressentir lorsqu’il avait pris qu’elle l’avait trompé.
Le feu ne tarda pas à réchauffer l’endroit, et cela donna une ambiance plus chaleureuse au Cabanon. On se serait presque cru dans une scène romantique d’un stupide feuilleton du dimanche après-midi. Croisant le regard de Franklin, elle répondit à son sourire avec un mince sourire. Il lui fit alors une légère caresse sur la joue, la faisant contracter ses muscles, alors qu’elle sentait une chaleur toute autre qu’amicale monter en elle. Du désir. Ce n’avait été qu’une légère caresse, mais ce simple geste l’avait réveillé. Elle le regardait avec attention, tandis qu’il posait ses yeux sur son cours posé sur ses genoux.
« Le F c’est pour franklin ou pour l’autre abruti ? »
Ne comprenant pas de quoi il parlait, elle dut poser ses yeux sur ce qu’il regardait, et c’est là qu’elle aperçut un gribouillis qu’elle avait fait. En vérité, ce petit dessin n’avait rien de très amusant pour Dellà. Il y a peu de temps, elle avait appris une nouvelle qui l’avait choqué. Le F était pour Faddei, son père, et le D pour Darya, sa maîtresse. Cette nouvelle l’avait quelque peu bouleversé, mais au moins, elle avait enfin un moyen de pression contre son père pour annuler son mariage.. Elle fixa les lettres un moment avant de relever son regard sur son ex. Elle n’avait pas vraiment envie de lui expliquer de quoi il s’agissait, elle préférait même qu’il croit que le F était pour lui et le D pour elle, qu’importait. Elle laissa un silence s’installer entre eux, le regardant en détail. Cela faisait bien longtemps qu’elle n’avait pas pus le regarder d’aussi près. Il avait toujours eu un charme fou et une beauté étrange qui plaisait énormément à Dellà. Elle laissa sa main glisser le long de son bras, pour arriver à son cou, son menton, sa joue.. Elle fixa un instant ses lèvres, comme attirée, mais elle se retint, sentant Véra en elle qui la retenait presque de s’avancer plus. Elle enleva finalement sa main, se mordant la lèvre et baissant un peu la tête. Elle regarda un instant le feu qui crépitait juste à côté d’eux. Elle prit son cours et le posa sur la table, puisqu’après tout, elle savait très bien que le cours était terminé pour le moment..
« Tu es un manipulateur hors pair.. »
Elle releva ses yeux qu’elle planta dans les siens.
« Tu fais tout ce que tu peux pour me faire craquer.. Et si tu continue, tu gagneras facilement.. »
Elle savait très bien qu’en lui disant ça, elle baissait complètement sa garde et lui montrait la voie pour mieux l’avoir. Mais elle n’avait pas grand-chose a perdre, puisqu’elle l’avait déjà perdu depuis longtemps, et qu’elle savait qu’elle ne l’aurait plus jamais. Elle posa sa main droite sur sa cuisse et se rapprocha un peu plus de lui, le regardant droit dans les yeux avec intensité. Elle lui fit un fin sourire, avant de se rapprocher, pour pouvoir le prendre contre elle, sans doute une dernière fois avant qu’il n’agisse.
« Venge toi. »
Cela n’avait été qu’un murmure à peine audible. Elle déposa un doux baiser dans le creux de son cou, puis un autre, et un autre.. Sans même s’en rendre compte, le feu qui brulait en elle se mit à doubler de volume, et elle passa l’une de ses mains sous sa chemise. Toucher sa peau, l’embrasser, l’avoir contre elle, c’était tout bonnement divin. Voilà des mois et des mois qu’elle n’avait plus cet espoir de pouvoir le toucher ainsi. Et même si elle ne le méritait pas, elle osait. Bientôt, elle savait qu’elle s’en mordrait les doigts d’avoir oser le toucher, d’avoir franchis la limite, de s’être jeté ainsi sur lui. Il n’allait faire qu’une bouché d’elle. Elle rapprocha de plus en plus ses lèvres des siennes et scella finalement leurs lèvres en un baiser fiévreux. Il pouvait bien la tuer maintenant, cela n’avait plus d’importance, ce baiser était un aller simple pour les nuages..
Arès, dieu de la guerre et de la destruction allait faire son apparition d'ici peu de temps. Sauf si elle se trompait, sauf s'il changeait d'avis, sauf s'il n'avait pas prévus de la faire souffrir tout de suite.. Mais elle en doutait fortement, c'est pourquoi elle profitait de ce baiser autant qu'elle le pouvait pour le moment.
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Franklin Faust Fergusson

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Franklin Faust Fergusson

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MessageSujet: Re: Kick me if you dare ! [Franklin]   Kick me if you dare !  [Franklin] EmptySam 2 Oct - 16:07


    HJ ~ (a)
    « Tu es un manipulateur hors pair…Tu fais tout ce que tu peux pour me faire craquer… Et si tu continue, tu gagneras facilement… »

    Je la regardais dans les yeux. Un sourire sur les lèvres, oui j’étais un manipulateur. Je gagnerais facilement aussi. A vrai dire toutes et tous me tombaient facilement dans les bras, il suffisait d’un regard et d’une caresse pour que sa se fasse. Je lui caressait les cheveux tout en la regardant dans les yeux.

    « Tu ne m’apprends rien Dellà, je sais déjà tout ça. Je sais que tu ne peux me résister. Il y a sûrement une raison à cela et cette raison, c’est que tu m’aimes encore, sinon tu résisterais, non ? »

    Elle fit alors quelque chose auquel je ne m’attendais pas, elle me serra contre elle, je lui rendis son sourire, nous nous regardions. Elle avait quelque chose en tête et moi aussi. Il était possible que nous pensions à la même chose tout les deux. Ses paroles qui furent à peine audible virent tout de même à mes oreilles qui grâce a mon totem avait une ouïe très aiguisée m’étonnèrent alors, elle me dit de me venger, avait elle deviner ? Non, c’était juste facile de deviner. Alors qu’elle me tenait toujours contre elle, je la caressais doucement et d’une voix d’une douceur effrayante.

    « Me venger ? Mais de quoi ? »

    Alors que je prononçais cela, je senti ses lèvres sur mon cou, elle voulait, elle avait envie de moi autant que j’avais envie d’elle a cette instant. Je senti ses mains légères et douce contre mon peau brûlante, je regardais le feu, il c’était intensifié. Il crépitait plus fort signe que mon désir était présent, il se manifestait à travers le feu qui réchauffait la pièce. Il prit l’initiative de passer ses mains experte sous le t-shirt rouge de la demoiselle, rouge, couleur du feu, couleur des flammes, ce t-shirt était à présent pour lui comme une sorte de provocation, un genre de signe que Dellà voulait toujours de lui. Rouge couleur du désir, couleur de l’amour passionnel, un jour je t’aime, un jour je te déteste, un jour je suis tendre, un jour je te fais souffrir. Puis les baiser de la jeune femme se rapprochèrent de mes lèvres, jusqu’à enfin se sceller. A cet instant, je la serrais plus contre moi, presque à la limite de l’étouffement tellement mon désir était brûlant, puis je l’embrassais également, lui rendant alors le plus sauvagement possible. Plus je l’embrassais et plus le feu que j’avais allumé grandissait, il prenait aussi plusieurs forme, matérialisant alors mes pensée a cet instant. Le feu avait la forme de deux corps l’un contre l’autre. Puis il nous entoura comme pour nous réchauffer un peu plus et pour nous protéger d’éventuel visiteur et autre. Personne ne pouvait s’échapper du feu tant que je ne l’avais pas décidé. Elle était prise au piège et moi aussi parce que je le voulais.

    J’intensifiais mon baiser et lui mordit la lèvre, je stoppai avant qu’elle ne saigne, puis je lui fis alors le baiser du vampire, la penchant en arrière faisant ainsi agrandir le cercle de feu qui suivais nos mouvement. Je posais mes lèvres sur sa peau douce et blanche et la mordit tout en suçant sa peau tel un vampire buvant le sang de sa victime. Je n’étais pas un vampire mais elle était ma victime. Mes mains se baladaient un peu partout sur son corps, elles virent alors se perdre dans sa poitrine majestueuse, douce et délicate. C’est alors que je sentis mon engin du plaisir se manifestait, lui aussi il aimait cela. Je m’arrêtais alors, puis je la regardais dans les yeux avec intensité et déposa un doux baiser sur ses lèvres.

    ♠ Franklin…Qu’est ce que tu nous fais là ? Tu veux lui redonnait espoire d’une possible aventure entre vous ? ♠
    ♣ Tu as tout devinais Smilo, je vais lui faire croire que je suis encore épris d’elle. Certes mon corps tout entier réagis au contact de sa peau, mais quel homme y résisterait ? ♣

    Je l’embrassais de nouveau, mais cette fois-ci je déposais mon baiser sur sa joue. Je me défis de son étreinte, et je la regardais de nouveau, d’un air qui se voulait perdu et gêné, je prit une voix de pauvre victime pour ainsi la faire culpabiliser.

    « Dellà, qu’est ce que tu veux à la fin ? Pourquoi tu me fais ça ? On vient à peine de se revoir et tu fais déjà ça ? Dellà ne me brusque pas, je ne veux pas que sa parte trop loin, du moins pas tout de suite. »

    Je regardas le feu autour de moi, il nous entourait toujours, je le laissais ainsi, car je ne voulait pas que notre rencontre se termine tout de suite, je voulais que l’on reste encore ensemble. Je lit ma main dans le feu, pour montrer à Dellà qu’elle ne risquait rien, il ne me brûlait pas la main, je saisis alors une flamme et la transformait en beaucoup de rose, je lui tendit comme si je lui offrait, mais à peine j’eu lâcher le feu, qu’il s’évanouit dans l’air.
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Dellà N. Romanskaïa

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MessageSujet: Re: Kick me if you dare ! [Franklin]   Kick me if you dare !  [Franklin] EmptyJeu 7 Oct - 15:34



« Tu ne m’apprends rien Dellà, je sais déjà tout ça. Je sais que tu ne peux me résister. Il y a sûrement une raison à cela et cette raison, c’est que tu m’aimes encore, sinon tu résisterais, non ? »
Son regard la transperçait, mais elle maintenait ses yeux fixés sur lui. ..Mais que disait-il ? Qu’est-ce qu’il osait avancer ? L’aimer encore ? Non.. Elle l’avait aimé, c’est vrai, mais maintenant, elle était passée à autre chose. Il y avait cette jolie fille de l’Air qui lui plaisait et qui aurait sûrement voulus qu’elles sortent ensemble.. Mais il est vrai que si Dellà n’avait jamais pus aller plus loin avec Galathéa, c’est qu’il y avait une raison. 
« Rend-toi à l’évidence Dellà. »
« Non, c'est impossible. »
« Ne me fais pas croire que je suis la seule à sentir ce que tu ressens pour lui. »
« Mais tu le déteste, et moi aussi ! »
« Si je le hais, c’est peu dire, mais de ton côté, ce n’est que de l’amour maquillé en haine Dellà, c’est certain. »

Ne préférant pas écouter son totem, la jeune blonde ne laissa rien paraître, regardant toujours son ex dans les yeux. Quoi que Véra dise, Dellà détestait ce Feu. Il l’avait envahis. Il l’avait dominé et brulé. C’était bien le seul a pouvoir oser dire qu’elle lui appartenait. Et même s’il l’affirmait, elle n’irait jamais lui dire que c’était vrai. Elle le frapperait jusqu’à ce qu’il dise qu’il a tord. Violente, elle ne l’était qu’avec lui. Elle pouvait devenir folle et sauvage juste à cause de lui. Car tout n’était que sa faute à lui. Il n’aurait jamais du la charmer, elle n’aurait jamais du se laisser avoir, ils n’auraient jamais du partager une nuit ensemble. Ils étaient sortis ensemble alors que tous les amis de Dellà lui disaient que c’était une mauvaise idée. Mais elle était la seule a comprendre qu’il n’était pas question de mauvaise ou de bonne idée, et qu’il était simplement question de ce qu’ils ressentaient lorsqu’ils étaient ensemble. Franklin était loin d’être un simple amour de jeunesse ou une erreur. Dellà ne pouvait le définir. Il n’y avait pas de mot assez puissant pour qu’on comprenne.
Elle se rapprocha de lui, lui murmurant des mots a peine audible. Elle se laissait aller, prête à tout dans ses bras. Il fit mine de ne pas comprendre, mais elle n’y fit pas attention, le couvrant de baiser alors que son désir montait en elle, telle une flamme puissante et brulante. Ce feu qu’elle avait en elle, Franklin en était la cause, la raison, le maître. Ils s’embrassèrent alors, laissant leur désir s’exprimer pour eux. Le feu qu’avait crée Franklin grandissait autour d’eux, Dellà pouvait en sentir la chaleur autour d’elle. Plus leur baiser s’intensifiait, plus ils se touchaient, plus Dellà se sentait flancher. Un courant d’air chaud entra dans le cabanon, rendant l’atmosphère encore plus chaude. Ce courant d’air venait de Dellà. Si Franklin s’amusait avec le feu, Dellà jouait avec l’air. Elle ne se sentait pas prisonnière dans ses bras, au contraire, elle se sentait plus en sécurité qu’autre chose. Et le temps aurait bien pus s’arrêter, qu’importait.
Franklin ne tarda pas à lui mordiller le cou, l’une des parties les plus sensible chez la jeune femme. Se courbant pour le laisser faire, elle soupirait de plaisir, se laissant complètement aller. Et alors que le plaisir montait encore d’un cran, il s’arrêta, laissant Dellà sur sa faim. Elle se calma et planta son regard plein d’envie dans le sien. Il se décolla, lui donnant un baiser sur la joue, et elle arqua un sourcil, se demandant ce qui se passait.
« Dellà, qu’est ce que tu veux à la fin ? Pourquoi tu me fais ça ? On vient à peine de se revoir et tu fais déjà ça ? Dellà ne me brusque pas, je ne veux pas que sa parte trop loin, du moins pas tout de suite. »
Son air de victime, sa voix qui se voulait perdu, ces questions et ces phrases.. Il n’en fallait pas plus pour énerver Dellà. Elle serra les dents, la colère montant en elle comme une flèche enflammée. Il se foutait d’elle, et elle détestait ça. Son regard devenant plus noir que jamais, elle lui donna une claque violente. Elle haussa alors le ton.
« Mais tu me prends pour qui Franklin ?! J’ai l’air si conne que ça pour croire à ton numéro pathétique ?! »
Elle le poussa a plusieurs reprises, furieuse, haussant encore le ton, tandis qu'elle s'énervait plus qu'à la normale. Ses cheveux virevoltaient autour d'elle d'une manière assez inexplicable, comme si un vent inexistant les faisant tournoyer.
« Je te connais bien Franklin, crois-moi ! Et toi aussi tu devrais me connaître, mais apparemment non ! Tu me prends pour une de tes nombreuses conquêtes ? Je suis quoi ? Une de ces filles que tu fais craquer pour mieux entrer en elle ?! Non Franklin, ne joue pas à ça avec moi ! Je sais très bien ce que tu fais, ne me prends pas pour une conne ! Tu me crois aussi naïve que les autres, mais je refuse d’être cataloguée ainsi ! Je suis la seule pour qui tu as eu des sentiments, et ne dis pas le contraire, car je l’ai sentis au plus profond de moi ! »
Elle voulut se lever mais le feu les entourant s’était resserré, l’emprisonnant une bonne fois pour toute. Elle repoussa encore Franklin, toujours autant énervée. Elle ne cherchait pas à le fuir, elle voulait juste de l’air. Elle le regardait avec haine et dégoût, et c’est alors que la porte du cabanon claqua avec force, un grand courant d’air tournoyant dans la pièce, faisant voltiger quelques objets ainsi que quelques feuilles. Elle se rapprocha de lui et porta sa main à sa gorge, lui serrant avec force, plantant même ses ongles dans sa peau. Sa voix était pleine de dégoût et de haine.
« Je te hais plus que tout Franklin, mais cette haine vient de toi. Cette haine n’est que le reflet de ce que tu ressens pour moi en cet instant et ce depuis que je t’ai trompé. Je passe pour la salope dans l’histoire, mais qui est-ce qui se tape tout et n’importe quoi depuis longtemps ? Tu crois que je ne les vois pas, tes chères pétasses que tu baise chaque jour et chaque nuit ? Tu espère au plus profond de toi que cela me blesse, que je ressente ce que je t’ai fais, mais je m’en fous Franklin. »
Elle le lâcha, le poussant encore une fois avec violence, haussant toujours d'avantage le ton.
« Je m’en fous tu m’entends ! Tout comme tu t’en fous de moi ! Ta vengeance ne servirait qu’à retrouver ton égo sur-dimensionné et à te sentir mieux dans ta peau, mais elle ne me fera rien Franklin. »
Elle le regardait avec haine, tandis que le vent se faisait de plus en plus fort dans le cabanon, faisant dangereusement bouger les étagères et les murs, tandis que le feu les protégeait de courant d’air puissant. Haletante, elle était presque au bords des larmes, ne contrôlant plus rien, il avait gagné.
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Franklin Faust Fergusson

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MessageSujet: Re: Kick me if you dare ! [Franklin]   Kick me if you dare !  [Franklin] EmptyMar 12 Oct - 20:46

    HJ - et voilààà enfin lool, j'espère que tu aimeras Kick me if you dare !  [Franklin] 421954

    Ce fut un véritable choc lorsque je reçus la gifle de Dellà. Je ne m’y attendais pas du tout et ne savais pas vraiment comme réagir. Je décidais donc de me laisser faire et d’écouter tout ce qu’elle pouvait dire. Malgré tout Smilo était du même avis que moi comme toujours ou presque. La voir faisant preuve d’autant de violence raviva quelque chose en moi, je ne sais pas si c’était de la haine, de l’amour ou de l’admiration. Tout ce qu’elle disait était vrai, elle n’était pas n’importe qui puisqu’elle était Elle, l’unique, la seule pour qui j’avais eu de vrai sentiment et si c’était elle mon absolu ? Pourtant c’était impossible on avait fait l’amour plusieurs fois et aucune marque n’était apparut rien. Etrangement cette idée m’attrista, mais je fus vite ramené à la réalité par la main de la jeune femme sur ma gorge, je sentais ses ongles rentrer dans ma peau si bien que lorsqu’elle la retira je sentis du sang couler sur ma peau. Je passais ma main dessus et en voyant cela, je souris, je lui souris. Mais c’était un sourire tout ce qu’il y a de plus normale. Elle termina alors de me crier son amour dissimuler en haine. Je la regardais un instant elle était au bord des larmes.
    Je me mis au même niveau qu’elle, je n’osais pas la toucher de peur de raviver sa haine. J’entrepris tout de même de lui dire quelque mot, de lui dire la vérité sur moi, la vérité sur elle, la vérité sur nous.

    « Dellà, tu penses me connaître, mais tu as tord, tu ne sais pas. Je vais te dire pourquoi je suis comme ça. Je n’ai eu ni père ni mère, je n’ai pas fini dans un orphelinat mais dans un asile psychiatrique je n’ai eu aucune éducation sur l’amour ou la fidélité dans un couple. La seule chose que je sais, c’est que je ne supporte pas de te voir au bras d’une autre personne qu’elle soit féminine ou masculine. Je sais que pour toi je ne ressens pas la même chose qu’avec les autres. Tu as raison au départ je voulais me venger, mais te revoir d’aussi prés m’a détourné de mon but initial. Ta réaction me prouve que tu m’aimes encore, sinon pourquoi réagir ainsi. Notre amour me semble impossible, nous sommes déchirés par notre passion, un coup on s’aime, un coup de se hais. Que faire Dellà. »

    Je ne la regardais pas directement, mais j’avais l’impression que les traits de son visage s’adoucissaient. J’entrepris alors de lui prendre la main. Je la regardais alors maintenant directement et je tentais l’impossible, je lui parlais de se doute qui planait dans mon cerveau et dans mon cœur.

    « Dellà, et si nous étions des Absolus… »

    Je laissais ma phrase en suspens, je n’osais en dire plus. Je pris alors l’élève air dans mes bras, je la serrais contre moi, mais ce ne fût pas comme d’habitude, se fût plus tendre, plus affectif. Ça y est, c’était fait, mon plan avait réellement échoué, mon amour pour elle était revenu. Je ne le voulais pas, mais c’était plus fort que moi et maintenant la nouvelle idée de la voir me tromper me déchirait le cœur. Je n’étais plus réellement moi-même en sa compagnie, pour cette deuxième fois , j’avais l’impression que je m’étais adoucis, et que seule la jeune femme en serait la privilégié, les autres, elles n’auraient que violence et irrespect. La tromper, je ne voulais pas, mais c’est encré en moi je suis un feu, et le désir et la passion qui sommeil en moi doivent s’exprimer. Je me devais de lui faire part avant l’ultime coup fatal.

    « Je voudrais que tu saches que je ne peux détruire ce que je suis, je ne peux effacer de ma vie toutes mes amantes, je ne peux effacer le fait que je suis un séducteur, je le suis depuis mon entré ici, je le suis depuis que j’ai découvert que j’étais beau et que les filles se prosternent devant moi, je suis un feu Dellà et j’ai besoin de toutes ses femmes à mes pieds pour exprimer mon désir, car je risquerais de t’épuiser, voir de te tuer si tu était la seule et je ne souhaites pas ou du moins plus ta mort. Dellà, embrasse-moi. »

    Je ne m’approchais pas et ne l’approchais pas de force, je voulais lui laisser le choix, et j’espérais qu’elle comprendrais, qu’elle serait compréhensive et enfin qu’elle aurait comprit que dans mon cœur la place qui était prise, c’était elle qui l’avait. Je souriais en attendant et en espérant.
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MessageSujet: Re: Kick me if you dare ! [Franklin]   Kick me if you dare !  [Franklin] EmptyMar 12 Oct - 22:34



Dellà allait devenir folle. Véra avait une haine tellement grande envers Franklin qu’elle déstabilisait complètement la jeune gardienne. Elle était devenue violente comme jamais sans même comprendre pourquoi. Elle sentait les larmes humidifier ses yeux, rendant sa vue flou, tandis que toute sa colère retombait, et qu’elle commençait à se sentir mal. Le vent cessa de tournoyer, la forme se referma doucement, et le feu de Franklin se calma. Dellà avait soudainement besoin d’air. Il fallait qu’elle sorte. Mais elle en était incapable. Elle ne pouvait détacher son regard de lui. Elle sentait tout son corps attirer par lui, comme si elle avait besoin de lui pour vivre. C’était tout bonnement stupide.
« Dellà, tu penses me connaître, mais tu as tord, tu ne sais pas. Je vais te dire pourquoi je suis comme ça. Je n’ai eu ni père ni mère, je n’ai pas fini dans un orphelinat mais dans un asile psychiatrique je n’ai eu aucune éducation sur l’amour ou la fidélité dans un couple. La seule chose que je sais, c’est que je ne supporte pas de te voir au bras d’une autre personne qu’elle soit féminine ou masculine. Je sais que pour toi je ne ressens pas la même chose qu’avec les autres. Tu as raison au départ je voulais me venger, mais te revoir d’aussi prés m’a détourné de mon but initial. Ta réaction me prouve que tu m’aimes encore, sinon pourquoi réagir ainsi. Notre amour me semble impossible, nous sommes déchirés par notre passion, un coup on s’aime, un coup de se hais. Que faire Dellà. »
La jeune femme blonde but toutes les paroles du Feu, l’écoutant attentivement, ne comprenant pas tout, et restant un moment bloqué sur les mots « notre amour ». Elle venait de le gifler, de lui rentrer ses ongles dans sa peau, de s’énerver contre lui, de lui cracher toute sa haine pour lui.. Et il avait tout compris. Il avait compris que c’était son amour pour lui qui avait parlé, et non n’importe quelle haine. Elle l’aimait. D’un amour fou. D’un amour passionnel et illimité. D’un amour brûlant et violent. Elle l’aimait sans même savoir pourquoi. Pouvait-on trouver une raison à l’amour ? Pas sûr. Ce qu’il venait de lui avouer sur son enfance, Dellà l’avait déjà entendus, comme une rumeur le concernant. Qu’il ait vécus dans un asile psychiatrique ne gênait pas la jeune femme. Qu’il soit considéré comme fou, sadique, pyromane, elle s’en foutait. Elle n’avait pas peur de lui. On dit que l’amour rend aveugle, mais il rend aussi peut-être plus fort et plus fou. Franklin lui prit la main avec douceur et elle le laissa faire, ne tentant pas de retirer sa main.
« Dellà, et si nous étions des Absolus… »
Hein ? Que venait-il de dire ? Dellà devait rêver. Impossible qu’il ait prononcé ce mot-là. Non. Franklin Faust Fergusson n’aurait jamais pus prononcer cette phrase là. C’était tout bonnement impensable. Et pourtant, le Feu la prenait dans ses bras, la serrant contre lui. La jeune femme dut se résoudre à comprendre qu’il avait bien dit cette phrase et qu’elle ne rêvait pas. A vrai dire, elle avait déjà rêvé de ce moment là, où un beau et jeune apprentis gardien lui disait cette phrase que n’importe quelle jeune apprentie gardienne avait envie d’entendre. Mais Dellà n’aurait jamais pensé que cela se passerait ainsi, et qu’un Feu lui dise ça, que ce soit Franklin, et qu’il lui dise ça juste après qu’elle ait été aussi violente avec lui.. Incroyable. La jeune russe soupira lentement, entourant le jeune homme de ses bras, profitant de ce câlin si tendre. Mais déjà, il se reculait un peu pour pouvoir reprendre la parole.
« Je voudrais que tu saches que je ne peux détruire ce que je suis, je ne peux effacer de ma vie toutes mes amantes, je ne peux effacer le fait que je suis un séducteur, je le suis depuis mon entré ici, je le suis depuis que j’ai découvert que j’étais beau et que les filles se prosternent devant moi, je suis un feu Dellà et j’ai besoin de toutes ses femmes à mes pieds pour exprimer mon désir, car je risquerais de t’épuiser, voir de te tuer si tu était la seule et je ne souhaites pas ou du moins plus ta mort. Dellà, embrasse-moi. »
La jeune blonde regardait Franklin, la bouche légèrement ouverte, ne sachant pas trop quoi répondre à ça, à tout ça. C’était trop d’un coup. Trop d’émotions. Elle se mordit les lèvres, fronçant légèrement les sourcils, se sentant incapable de l’embrasser pour le moment. Un duel se faisait ressentir en elle, et elle n’était pas maître de la situation.
« Il est fou ce mec. »
« Laisse-le Véra. »
« Non, toi, laisse-le. Ce Feu est mauvais pour toi, pour nous. Il nous détruira. »
« Je sais que tu le hais, mais moi, c’est tout le contraire, et tu le sais.. »
« Alors quoi ? Parce qu’il est beau et qu’il te dit de l’embrasser, tu vas l’embrasser comme si de rien n’était. »
« Est-ce qu’il est mon Absolu Véra ? »

Son totem ne répondit pas. Toutes deux savaient que Dellà le ressentirait à un moment donné ou à un autre si c’était lui ou non. Mais avec la haine de Véra en elle, la jeune Air n’arrivait plus à savoir où elle en était avec ses sentiments. Elle qui, d’habitude, se sentait en réelle harmonie avec son totem, là, elle doutait. Son totem voulait exactement le contraire d’elle. Alors que faire ?
Soupirant un bon coup, elle prit les deux mains de Franklin dans les siennes, les regardant un long moment avant de prendre enfin la parole.
« Je n’sais pas trop quoi dire. Je comprends ce que tu me dis. Je comprends que tu ai besoin d’aller voir, d’aller toucher d’autres filles.. Mais tu ne peux pas me laisser accepter ça comme si de rien n’était. »
Elle leva ses yeux sur lui et le regarda avec attention, continuant à lui expliquer les choses comme elle le voyait et le ressentait.
« Tu dis toi-même que tu ne supporte pas de me voir avec un autre. Alors comprends qu’il en ait de même pour moi. Je hais toutes celles qui t’approchent… Je n’te demande pas de changer pour moi, ni même d’arrêter de voir tes nombreuses amantes. Je n’te demande pas non plus de choisir entre elles ou moi, car je n’ai pas cette prétention. Simplement..si nous étions des Absolus, je n’sais pas si je supporterais ça toute ma vie… »
Elle resserra ses mains sur les siennes, puis se rapprocha de lui, collant son corps au sien. Malgré ce que Véra ressentait pour lui, l’amour que Dellà avait en elle était bien plus fort.
« Tout ce que je sais, c’est que je suis dingue de toi Franklin. Et c’n’est pas une amourette de jeunesse, loin de là. »
Elle lui fit un léger sourire avant de se rapprocher encore pour pouvoir enfin l’embrasser les yeux fermés. Ce baiser était plein de passion et de tendresse à la fois. Elle mit ses mains autour du cou du jeune Feu, passant l’une de ses mains dans ses cheveux. L’embrassant avec amour, elle sentit tout son corps se réchauffer en elle. C’était comme si elle venait de boire un élixir ou une potion qui lui permettait de se sentir bien dans tout son corps. Même Véra sentit l’effet que produisait ce baiser, et sa haine s’apaisa alors. La jeune blonde n’aurait jamais voulus détacher ses lèvres de celles du beau jeune homme, se sentant trop bien dans ses bras.
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MessageSujet: Re: Kick me if you dare ! [Franklin]   Kick me if you dare !  [Franklin] EmptyMer 13 Oct - 1:14


    ♠ Franklin mon dieu, mais qu’est ce que tu nous fais là ! ♠
    ♣ Arrête de faire genre Smilo, tu sais très bien comme moi que c’est tout à fait possible, tu sais qu’elle peut l’être. Regarde un peu ce que nous vivons, nous pouvons nous passer l’un de l’autre et les années que j’ai passé sans elle était insupportable.♣
    ♠ Je sais mon ami, je sais. Mais t’as vu son totem ? Si jamais vous vous transformez, j’aurais sûrement envie de la bouffer !!!♠
    ♣ Je t’en empêcherais, tu sais très bien que je peux prendre le contrôle sur toi. Et par amitié pour moi, je sais que tu ne le feras pas.♣

    Mon totem ne dis plus un mot, il savait comme moi que j’avais raison. Il serait ce contrôlait et si il dérapait je saurais me mettre à sa place. Je ne me faisais pas d’illusion, je me doutais qu’elle ne m’embrasserait pas, du moins pas tout de suite, c’était tellement énorme. Moi-même j’avais encore du mal à me faire à cette idée. Je me contentais simplement de la contemplais, oui j’étais un homme nouveau et je regardais Dellà d’un autre œil. Je regardais nos mains entrelacée, c’était si beau. Je relevais mon visage lorsque j’entendis le son de sa voix. Elle tenait donc autant à moi. Elle m’aimait réellement.

    « Dellà, je comprends ce que tu veux dire. Ce ne sera pas facile pour moi de moins les voir, mais je ferais de mon mieux, je te le promets. Quand j’aurais envie d’aller voir une mes amantes, je penserais à toi et te rejoindrais. »
    ♠ Arrête ton char Franklin, tu sais très bien que tu ne pourras pas ! Si l’incarnation de la luxure existerait se serait toi ! tu ne peux pas renier ce que tu es !♠
    ♣ Je ne peux peut-être pas changer d’un coup, mais je peux m’améliorer, je le ferais pour elle ! ♣
    ♠On verra…♠

    La façon qu’il avait eu de suspendre cette phrase ne laissait rien de bon, j’avais la terrible impression que malgré moi je serrais attirée vers les autres et déjà je sentais ces effets. L’osmose que nous avions auparavant semblait s’être briser, nos idées divergées et nous ne pensions plus la même chose. Je sentais l’envie d’aller voir ailleurs monter en moi, mais je tentais de la refouler au plus profond. Ce que je réussi pour le moment, j’entendis un grondement de désapprobation venant de la part de mon totem. J’espérais que la gardienne de l’air ne l’avait pas entendu. Les mots de Dellà furent comme un enchantement pour mon cœur qui se mit à battre plus fort. Je resserrais mon étreinte autour de ses mains.

    « Dellà Romanskaïa je t’aimais, je t’aime et je t’aimerais. »

    Puis elle m’embrassa de nouveau, mais ce baiser ne fût pas le même que les précédents. Celui-ci me donna l’impression de monter au paradis, je voyais tout en tas d’oiseau et de papillon autour de moi qui voleté, l’un des oiseaux étaient une hirondelle qui prit alors l’apparence humaine de Dellà. Le paradis sembla se transformer en une immense prairie verte. Des arbres aux feuilles en forment de cœur ayant la couleur de nos éléments respectifs étaient présent. C’était magnifique, j’étais dans un trip et je n’avais pas prit de drogue. Désormais, ma nouvelle drogue, c’était Elle. Dellà.

    Je sentis le dent de sabre s’agitait en moi, il aimait se baiser tout autant que moi malgré ce qu’il avait put dire précédemment, il semblait que comme moi, il ressentait la même chose pour Dellà, j’eus l’impression qu’à nouveau nous ne formions plus qu’un. Du moins je l’espérais. Notre baiser se termina alors que je ne le souhaitais pas, mais j’avais tout de même besoin de respirer. Je tenais Dellà par la taille et la serra dans mes bras, si on regardait nos ombres nos corps ne semblaient faire plus qu’un. Je fis disparaître l’anneau de feu qui nous entourait tout en laissant tout de même celui que j’avais allumé au départ pour nous réchauffer. Nous nous aimions et j’espérais qu’elle l’était.
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MessageSujet: Re: Kick me if you dare ! [Franklin]   Kick me if you dare !  [Franklin] EmptyMar 19 Oct - 19:25



« Dellà Romanskaïa je t’aimais, je t’aime et je t’aimerais. »
Ce fut les paroles que Franklin prononça avant que Dellà pose enfin ses lèvres sur les siennes pour les sceller en un baiser magique. La jeune blonde sentit l’effet de ce baiser sur son totem et elle très vite, car bientôt elle se sentait sur un nuage de bien être tandis que la haine de Véra envers Franklin semblait disparaître. Ils s’embrassaient avec passion, tandis que les mains de la jeune femme se resserrant autour de son ex. Le baiser dura assez de temps pour que Dellà se sente mieux que jamais. Puis enfin, leur lèvres se quittèrent et leur regard se croisèrent. A présent ils n’étaient plus prisonniers du feu, mais Dellà se sentait en sécurité dans ce cabanon auprès de son Franklin. Oui, il lui appartenait. Elle refusait la vision de le voir avec d’autres filles, elle refusait qu’une autre le touche. Il était à elle autant qu’elle était à lui. Lui souriant doucement, la jeune femme se leva et lui prit la main.
« Viens.. »
Elle l’amena jusqu’au matelas qui les attendait. Elle laissa Franklin s’allonger, puis elle s’allongea sur son amant avec délicatesse. Elle le regarda un moment avant de l’embrasser avec une certaine douceur. Elle savait qu’à chaque fois qu’ils étaient dans un lit, ça finissait en coucherie, mais pour cette fois, Dellà ne voulait pas. S’il l’aimait vraiment, il attendrait un meilleur moment. Et quoi de mieux de se faire languir mutuellement pour pouvoir mieux profiter après ? La jeune blonde mit la couverture sur eux et se lova contre l’élève de Feu. Elle resta un moment allongée sur lui en silence, sa tête contre son torse, son souffle caressant le cou du jeune homme. Mais comme elle s’en doutait, il ne tarda pas à balader ses mains sur son corps, n’hésitant pas à retrouver les rondeurs du fessier de la jeune femme qu’il caressa d’une main habile. Dellà lui prit les mains et l’empêcha d’agir, posant ses yeux sur ceux de Franklin.
« Non, pas ce soir mon beau. Je sais que tu en as très envie.. Moi aussi, mais je veux attendre. Je veux attendre d’être sûre qu’on fait le bon choix. Je veux sentir en moi tout mon corps qui me cris que tu es mon Absolu. Je veux attendre de savoir que tu es celui qui ai fait pour moi.. Car pour l’instant, je n’en sais rien. Mon cœur a beau t’aimer, mon totem te hais, et mon corps hésite. Je ne sais pas vraiment.. Je suis un peu perdue. Comprends-moi. »
Elle se mordit la lèvre inférieur, tic nerveux qu’elle avait depuis un moment maintenant, puis soutint le regard de Franklin. Elle finit par lui accorder un beau sourire, plein de tendresse et d’espoir, puis elle posa ses lèvres sur les siennes et l’embrassa. Elle espérait qu’il comprendrait, qu’il n’irait pas trop vite. Car après tout, ils avaient le temps non ? Ils étaient encore jeunes, alors elle préférait être sûre avant de faire quelque chose d’irrémédiable qu’elle pourrait regretter. Et comme elle lui avait déjà dis quelques minutes plus tôt, elle n’était pas sûre de pouvoir supporter ses tromperies toute sa vie. Des Absolus sont fidèles, non ? Dellà elle-même doutait qu'elle soit fidèle à Franklin. Elle n'était pas du genre à aller toujours à droite à gauche et à avoir des amants réguliers, loin de là, mais elle ne pouvait nier que certains hommes attisaient sa curiosité et l'attiraient plus que d'autres. Il lui arrivait de succomber à certaines tentations, car parfois, cela faisait du bien de se laisser aller. Mais elle ne voulait pas faire de mal à Franklin, et après tout, s'ils avaient rompus par le passé, c'était parce qu'elle l'avait trompé... Alors maintenant, si jamais elle se trouvait dans les bras d'un autre, comment réagirait-il ? Mais pouvait-il seulement dire quelque chose alors qu'il voyait des tas d'autres filles, alors qu'il avait ses amantes régulières ?
Soupirant, elle reposa sa tête sur son torse, puis se blottit contre lui, le serrant doucement. Elle se sentait fatiguée et elle ne voulait plus qu’une chose: dormir paisiblement aux côtés de Franklin. Quelle élève de l’école pouvait dire qu’elle avait dormi dans les bras de Franklin sans qu’il ne couche avec elle ? Aucune sans doute, sauf elle.

Fin du sujet
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