| | Et surtout soyons-nous l'un à l'autre indulgents ; Sylvestre. |  |
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| Auteur | Message |
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Sylvestre A. OridorElève Eau
j'apprends le chant majestueux des lacs.
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m e s s a g e s : 67
â g e : 34
t o u r : Eau
t o t e m : Mouette Argentée
a n n é e : Sixième
a r r i v é e : 16/10/2010
 | | Sujet: Et surtout soyons-nous l'un à l'autre indulgents ; Sylvestre. Dim 17 Oct - 21:31 | |
| Sylvestre Ariel Lètte Oridor
Sur les ailes du temps, la tristesse s'envole.
 feat Sophia Bush |
nom : Oridor. C'est un nom Grecque qui se démarque des autres sans pourtant être exceptionnel, il compte une lignée d'hommes plutôt important, allant de notaires à avocats, apportant à la famille un statut plutôt noble et une richesse non négligeable. Le père de la douce Sylvestre lui, est diplomate.
prénom(s) : Sylvestre Ariel Lètte. Trois prénoms pour la troisième enfant, c'est une excentricité que pouvait se permettre ses parents, même s'ils lui ont plus attribué ces prénoms par préférence que pour leur signification.
âge : Vingt et un an.
date de naissance : Le seize mai mille neuf cent quatre vingt-neuf, à sept heure du matin, elle est née avec le soleil.
signe astrologique : Taureau. Elle ne sait pas vraiment s'il y a une ascendance, elle n'a jamais rien compris à l'astrologie.
sexe : Féminin.
nationalité : Grecquo-Suisse. Papa est grecque, Maman est suisse, mais les enfants ont été promenés un peu partout dans le monde.
lieu de naissance : Grèce, dans une clinique privée en plein centre d'Athènes.
sexualité : Sélective. Les filles et les garçons avec les affinités c'est bien beau, mais Sylvestre n'est pas du genre à aller dans le lit des autres dès le deuxième rendez-vous, encore moins à les inviter dans le sien. Mais il lui est déjà arrivé de se réveiller dans le lit de parfait inconnus, à sa grande surprise.
autre : La douce a déjà frôlé l'inceste, mais elle n'aime pas parler des morts.
tour : Eau. Les plus calmes, les plus réfléchis, les plus mystérieux, les plus sexys, les plus meilleurs quoi.
année : Sixième.
animal totem : Une mouette argentée, aux ailes grises caractéristiques de sa race, avec, comme supplément des yeux vairons, l'un bleu clair et l'autre blanc, ce qui est assez rare chez les mouettes.
nom du totem : Zephirin Erasme d'Héllenie. Le Zephirin était un vent du Nord Ouest qui se promenait sur les terres Hélléniques, d'où son nom, bien qu'il ait déjà avoué venir de Tazmanie. Erasme, qui signifie charmant et aimable conforte bien l'idée de l'oiseau, c'est un menteur, un menteur à l'égo et l'orgueil incomparable, cependant doté d'une conscience monstre et d'une élégance sans pareille, ce qui sert beaucoup à Sylvestre qui a parfois des difficultés à différencier le bien du mal.
autre : Zephirin, malgré le fait qu'il se pense supérieur à tout le monde, adore mettre son orgueil de côté et chanter des berceuses ou raconter des histoires à Sylvestre pour l'endormir le soir.
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« Enfant, ce monstre que les adultes fabriquent avec leurs regrets. » Sartre.
Cela aurait pu être une grande histoire d'amour, sans haine ni regrets, sans mariage ni enfants, juste une histoire d'amour comme le monde n'en connaissait plus, mais c'était les parents des deux jeunes gens qui en avaient décidé autrement et c'est comme cela que naquit l'union des deux innocents, élargissant ainsi le clan des Oridor. Il ne fallut pas longtemps pour que la jeune femme, âgé d'à peine dix-neuf ans tombe enceinte de son cher mari de qui elle était éperdument amoureuse. Le premier enfant donc, était une petite fille joyeuse et qui ne pouvait s'empêcher de rire dès que quelqu'un lui souriait et que l'on avait amoureusement baptisé Erin. Mais ce n'est pas là que commence l'histoire, elle commence exactement cinq ans plus tard, alors que le mariage semblait avoir consumer l'amour des deux parents et que la jeune Erin, gâté par sa famille, avait prit la fâcheuse habitude de faire des caprices plutôt que de demander poliment. C'était donc un certain seize mai de l'année mille neuf cent quatre-vingt neuf que naquit, une petite heure après son frère jumeau Laël Jerôme Oridor, la silencieuse et douce Sylvestre Ariel Lètte Oridor. Tout l'entourage du couple pensait que ses deux merveilleux enfants allaient relancer la flamme de la passion entre eux mais rien n'en fut, et, à peine quelques mois après l'accouchement des adorable jumeaux, toute la famille s'en alla en France pour le travail du papa. C'est ainsi que les deux jeunes gens ont grandi, baladé de pays en pays, entre deux parents qui se détestent et se le prouvent à coups de tromperies et de disputes, ainsi qu'une grande sœur trop occupé par son nombril pour daigner s'occuper de son petit frère et sa petite sœur. Cependant, jamais il ne fut question de divorce entre les deux parents, et, jamais non plus il n'a été question de punir la jeune Erin de son impolitesse et son audace. C'est le dos tourné au monde que les deux jumeaux, inséparables, ont donc commencé à être éduqué, isolés par des parents sur-protecteurs et maltraité par une sœur narcissique et égoïste. Mais ne dit-on pas que le beau nait du laid ?
J'ai bien envie de vous raconter ma vie.
mon petit prénom : M ; B, mais vous pouvez m'appelez Lala si ça vous dit quelque chose =).
mon petit âge : 15 yo.
sur mon avatar, c'est : Sophia SuperSexy Bush
voilà comment j'ai découvert le forum : Y'a très très très très très […] très longtemps par Ashtray et Anthéa quand Faust était encore en activité. Et comme j'ai vu que ça reprenait du mouvement je me suis dit « Lala il est temps pour toi te de remettre dans le circuit \o/ ! »
tant qu'à faire, j'vous dis ce que j'en pense : Uh, j'aime toujours <3.
et voici la preuve que j'ai bien lu les règles : Codes validés par Dellà
autre : Je suis la 69ème inscrite. Coïncidence ? Je ne pense pas... *out*
Dernière édition par Sylvestre A. Oridor le Dim 17 Oct - 23:39, édité 2 fois |
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| | Sujet: Re: Et surtout soyons-nous l'un à l'autre indulgents ; Sylvestre. Dim 17 Oct - 21:31 | |
|  « La mémoire, c'est l'imagination à l'envers. » D. Pennac.
De son enfance, Sylvestre ne s'en souvient que trop peu, elle pourrait vous dire tous les pays qu'elle a écumés, les monuments magnifiques qu'elle a pu voir et l'impressionnante culture qu'elle a construite mais, alors qu'elle résidait en Turquie ou à New York pour quelques mois, ses activités étaient toujours les mêmes, elle restait cloîtrée chez elle avec sa mère et son jumeau, toujours en train d'étudier, de lire ou d'écrire, les sorties culturelles étant les seules véritables passe-temps de son enfance. Sa mère tentait laborieusement de leurs inculquer une éducation de fer avec de bons principes, ne voulant revivre l'échec de sa première fille qui aujourd'hui encore était tellement désagréable que sa mère avait préféré la laisser aller avec son père, la jeune fille passant ainsi la plupart de son temps à attendre dans des bureaux silencieux. Mais pour les jumeaux, la mariée visait plus loin. Elle pensait à Harvard ou à Yale, puis, à une carrière sportive ou dans un grand journal reconnu, parfois elle s'imaginait même une grande carrière d'acteur pour ses enfants, voyant dans le reflet brillant de leur yeux une étoile sur le fame boulevard. Mais, à part les ambitions de sa mère, la jeune Sylvestre et son frère n'ont connu comme réel bonheur que leur rare instant de récréation que leur accordait leur mère, où ils s'amusaient à danser devant le poste de télévision ou à se courir après en inventant leur propre règle de jeu. Mais si la jeune fille devait revenir à son vrai premier souvenir, elle vous parlerait sans doute du sable chaud d'Espagne et de sa mer bleu, à l'aube de ses douze ans.
C'était un jour chaud malgré le printemps naissant, et la mer du sud de l'Espagne était douce et tiède comme Sylvestre l'aimait. Trois mois qu'elle était en Espagne, trois mois qu'elle passait presque tous les jours dehors et sa peau avait pris un teint halé qui lui allait à ravir, alors que ses cheveux commençait à prendre un teint plus clair à cause du soleil. Avec son jumeau, ils avaient d'abord trouvé étonnant qu'elle les laisse sortir aussi souvent sans les emmener voir tel monument ou tel musée, mais ils s'étaient vite habitués à cette liberté et avaient trouvé plus que jouissif que d'avoir d'autres amis que ceux que leur imposait leur mère. La jeune fille avait d'ailleurs pris goût à s'éloigner avec un joli garçon de son âge, préférant laisser jouer son frère avec son équipe de volley. Elle se souviendrait surement toujours de ce beau métisse aux yeux verts magnifiques qui lui avait ouvert son cœur avec de magnifiques poèmes auxquels elle n'avait pas compris grand chose mais qu'elle avait tout de même réussi à apprécier. Ce qu'elle préférait chez lui était sans doute son nom. Jorge. Pour elle c'était une mélodie tellement douce qu'elle ne pouvait s'empêcher de murmurer son nom à chaque instant. C'était la magie du premier amour et cela lui semblait indestructible, malgré le fait qu'elle partait le lendemain pour Londres, encore et toujours à cause du travail de son père. Et pourtant, ce soir de mars, alors que le soleil se couchait, elle était là, un léger paréo sur les hanches, son bikini soutenant sa poitrine naissante, la mer venant caresser ses pieds avec des petites vaguelettes rempli d'écumes, sa main dans celle de son amoureux. « Jorge ? » Il détacha son regard de l'horizon, plongeant ses yeux dans celle de sa douce. « Je dois partir. Loin. Pour toujours. » Il la regarda. Malgré le fait que le jeune homme comprenait très peu le français, il dut comprendre la gravité de la chose par le regard brisé et rempli de tristesse de la jeune fille. Il lâcha sa main, et approcha ses lèvres des siennes, avec de murmurer « pour toujours. » aux oreilles de la jeune fille. Elle était troublée, elle ne savait pas quoi faire. A vrai dire, elle avait un peu honte de partir ainsi, un peu comme une voleuse. Elle n'osait pas bouger. Elle trouvait triste que son premier baiser vienne ainsi troubler un moment si triste. Aux bouts de quelques instants, ce fut le jeune homme qui se décida à partir, sans un mot, sans même un regard pour celle qui avait partagé toutes ses après-midi pendant trois longs mois. Elle, resta là, immobile, un océan de larmes s'abattant sur ses joues alors qu'au loin même le soleil semblait l'abandonner, laissant place à une nuit chaude et étoilé. Ce fut une autre main, beaucoup plus grand et beaucoup plus chaude qui vint lui attraper l'épaule, une main qu'elle reconnaitrait entre toutes. « Allez viens ma belle, il faut qu'on y aille. »
Son jumeau l'entraîna avec douceur vers leur maison qui bordait la plage, les quelques mètres qui les séparaient se fessant en silence. Ce fut seulement couché dans leurs chambres que Sylvestre put enfin sortir mots de sa bouche, des mots qui lui brulaient la langue. « Ça finit toujours aussi mal les histoires d'amour Lala ? ». Elle pouvait le voir dans le lit voisin, fixer le plafond comme s'il était absent. « Je ne sais pas. - Tu n'as jamais été amoureux ? - Si. Moi aussi j'ai déjà pleuré à cause de ça. » La voix grave se tut et la jeune fille n'osa pas parler. Jamais elle n'avait vu son frère pleuré. C'était d'ailleurs la seule personne de sa famille qu'elle n'avait pas vu fondre en larme. A vrai dire, c'est la première fois qu'elle a vu son père pleurer qu'elle a mit toute son admiration sur sa mère, mais, quand elle surprit son modèle les joues inondées de larmes qu'elle reporta toute son admiration et ses envies les plus chères sur son frère, sa grande sœur ayant montré déjà plusieurs fois qu'elle était tout sauf un modèle de vertu. Mais son frère lui, avait toujours été là pour elle, il l'avait toujours protégé et l'avait aidé à aller vers les autres, elle d'habitude si timide et réservé. « Je ne savais pas... » Un silence quelques peu gênant envahit la pièce. « Tu ne m'avais pas dit. – J'aurais du ? – Oui, on ne devrait rien se cacher je pense. Et on ne devrait jamais se faire de mal aussi. On devrait toujours être là l'un pour l'autre. – T'as raison je crois. » Il se tourna vers elle. « Moi, je ne te ferai jamais de mal, je t'aimerais toujours, toujours plus que les autres. » Le regard noisette de Laël pénétra sa sœur. Il la regardait comme on ne l'avait jamais regardé et cela fit sourire Sylvestre sans même qu'elle ne s'en aperçoive. A peine séparée de son premier et véritable premier amour, elle avait trouvé mieux, beaucoup mieux, l'amour sans limite de son frère jumeau, celui à qui elle n'avait pas besoin de parler pour qu'il sache tout de son état d'esprit. Sa moitié.
 « Depuis que t'es monté là-haut, Les anges n'ont jamais été plus beaux, Depuis que t'es monté là-haut, Ici moi je me sens toujours de trop. » Saez
« Tu vois Lala, j'aurais aimé vivre une grande et belle histoire d'amour ! – Tu vas la vivre ton histoire, tu viens d'avoir quatorze ans tout de même. – C'est vrai, mais je sens que pour la vivre, il faut qu'on rentre à la maison et qu'on prenne un bon bain chaud ! T'as pas envie d'un bain chaud toi ? – Si, un peu. » Les deux adolescent riaient aux éclats sur la route qui les ramenait chez leur vieille tante, qui habitait dans la campagne grecque. C'est là qu'ils auraient dû grandir, et c'est sans doute ici qu'ils se sentaient le mieux. En Grèce, sur une petite route mal entretenu entre deux champs de blé doré qui semblait reluire au soleil. Ils étaient là tous les deux, main dans la main, chacun une viennoiserie dans la main, à mi chemin entre la ville et le grand manoir où il résidait pour quelques semaines. C'était sûrement la première fois qu'ils ne suivaient pas leurs parents, ceux-ci jugeant trop dangereux d'emmener leurs enfants en territoire de guerre, pour eux, c'était une véritable délivrance. « Et si on prenait un bain moussant, ce ne serait pas mieux dis ? » Laël sourit. Depuis qu'ils étaient petits, ils avaient toujours pris leurs bains ensemble et cette règle n'avait pas été enfreinte une seule fois depuis leur enfance, et de partager ainsi ce moment intime ne les avaient jamais dérangé, même si tous leur entourage trouvait cela plutôt dérangeant. Mais, pour eux c'était sacré, et personne ne pouvait comprendre. D'autant qu'ils n'avaient jamais un geste déplacé l'un envers l'autre. Ils étaient jumeaux, pas amoureux, même si leur amour à eux était plus fort que tous les autres. Ils écoutaient avec attention le chant des oiseaux, quand, tout à coup, une voiture les frôla, roulant beaucoup trop vite pour une aussi petite route. « Décidément, les touristes ne respecte plus rien de nos jours ! » dit Laël en lâchant la main de sa jumelle et en s'aventurant au milieu de la route pour ramasser une jante tombée de la voiture folle. C'est à ce moment-là que deux voitures de police surgirent du lointain, toute sirène dehors, sans prévenir, et foncèrent sur le jeune homme, ayant à peine le temps de freiner à la vue du jeune homme. Le cri de Sylvestre avait été perçant, elle avait crié de toutes ses forces, autant qu'elle le pouvait quand elle vue le corps de son si cher jumeau percuté par la voiture. Il s'était envolé dans un élan de grâce, maltraité par le vent, un filet de sang s'échappant de sa bouche, alors que les pneus crissait d'un bruit affreux sur le goudron chaud la voiture pillant sur le coup. La scène sembla durer une éternité pour la jeune fille, mais le pire fut sûrement d'entendre le corps se fracasser sur le sol. Elle courut, aussi vite qu'elle put jusqu'à lui mais elle n'osa pas le toucher, alors qu'il était atteint de spams, sa bouche recrachant du sang avec abondance. Ses membres avaient une position tellement bizarre que la pauvre Sylvestre ne pouvait les regarder. « Lala, lala... » elle ne pouvait s'empêcher de dire son surnom, comme si elle était bloquée. Au bout de quelques secondes, son jumeau la regarda, tendant avec difficulté sa main vers son visage, chuchotant quelques mots presque inaudibles. « 'Vestre... Je... Je... » Il cracha encore du sang, sa main posée sur la joue de sa sœur laissant une empreinte sanglante. « Je ne te ferai jamais de mal... » Il agonisait, le souffle lui manquait « Je... Je t'aime... rais... tou.... toujours. – Je... Je sais mon Lala. » Elle ne pouvait s'empêcher de pleurer, pleurer comme elle ne l'avait jamais fait. Elle avait l'impression de mourir ici, en même temps que lui, alors qu'une ambulance arrivait et lui prenait à jamais son frère. A peine était-il monté sur le brancard elle savait qu'il était déjà mort, ses yeux perdus dans les siens n'exprimant plus rien, même si sa poitrine se soulevait encore, faiblement. On la forçat à monter dans l'ambulance, on lui donna des médicaments pour palier à l'émotion, mais rien n'y fut, elle ne put s'empêcher de pleurer, sachant qu'une partie d'elle était partie au moment même où les yeux de son frère s'était éteint.
Deux heures plus tard il était officiellement mort. Une semaine après le drame, il était enterré dans un cimetière de campagne, près du lieu de l'accident, là où résidait la plupart des ancêtres Oridor. Trois mois plus tard, la grande sœur capricieuse partit parfaire ses études à Harvard sous la pression de la mère endeuillé. Quatre mois après la disparition tragique, tout le monde avait repris une rythme de vie normale. Comme s'il ne s'était rien passé. Il ne restait de lui qu'une photo sur la cheminée. Cinq mois après, la jeune fille refusait toujours de s'alimenter convenablement.
Dernière édition par Sylvestre A. Oridor le Dim 17 Oct - 22:59, édité 1 fois |
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| | Sujet: Re: Et surtout soyons-nous l'un à l'autre indulgents ; Sylvestre. Dim 17 Oct - 21:31 | |
|  « La vie n'est qu'un long regret de la veille. » Joseph Méry.
Le jour de ses quinze ans, Sylvestre le passa sur la tombe de son frère. Elle ressemblait d'avantage à un squelette avec sa peau blafarde et ses os saillants, on pourrait presque croire que c'était elle qu'on aurait du enterrer là, mais, c'était déjà fait en quelques sortes. Elle arriva de bonne heure, une gerbe de fleur trop lourde pour son corps frêle dans les bras, marchant à travers la brume. Le marbre était propre mais les fleurs étaient mortes depuis longtemps et, le gardien n'ayant pas pensé à les enlever. Avec délicatesse, l'adolescente déposa le nouveau bouquet, qu'elle disposa avec soin, comme s'il s'agissait là de tout l'or du monde. Elle était toute de noir vêtu, ses lèvres pâles se dissimulant sur son visage, la brume matinale l'entoura. Elle était assise là, seul et ne pensait à rien tout en caressant les lettres d'or qui ornaient la tombe. « Ce n'est pas de ta faute voyons... » Elle se leva, tremblante. Elle n'avait vu ni entendu personne aux alentours. Soudain, elle avait peur, trop peur pour parler. « Je ne te ferais pas de mal ma jolie. » Elle se rassit sur la tombe ramenant près d'elle ses genoux, comme pour se protéger. « Où... Où êtes-vous ? » balbutia-t-elle « A l'intérieur. » Elle ne comprenait pas. « A l'intérieur de toi je veux dire. » Elle commença à trembler de plus belle, elle commençait à se rendre compte à quel point elle avait été inconsciente de venir jusqu'ici seule, alors que maintenant il n'y avait plus personne pour la protéger... « Ce n'est pas parce qu'il t'as fait une promesse qu'il allait la tenir toute sa vie. – Mais... » dit-elle, à voix haute. « Tu n'as pas besoin de parler, j'entends tes pensées. Tu n'as plus aucun secret pour moi ma douce. » Elle se demanda comment c'était possible. Peut-être étais-ce un rêve, elle était si faible en ce moment... « Une fois, je suis mort de chagrin. C'est atrocement douloureux, je ne te le souhaite pas. Heureusement pour toi, maintenant je peux me manifester, tu es prête... – Prête à quoi ? » pensa-t-elle « Mais qui êtes-vous d'ailleurs ? » Elle était maintenant trop étonnée de constater que c'était vraiment une voix intérieure qui lui parlait pour avoir peur. « Je m'appelle Zephirin Erasme d'Ellenie, et je suis, sous ma forme animale, une magnifique mouette argenté qui fait honneur à ma race. Et, en ce moment même, je suis ton totem. – Un totem ? Comme pour les Indiens d'Amérique ? » La jeune fille était maintenant plus curieuse qu'étonnée. « Bien, je vois que ta mère ne t'a pas appris que des choses inutiles. Tu peux effectivement faire une représentation de moi et la vénérer tous les jours si ça te chante, mais ma fonction est quelque peu différente pour l'instant vois-tu. Enfin bref, et si on allait au chaud pour en discuter ? – Je... » Sylvestre passa sa main squelettique sur le marbre tombale. Le jour de leur quinze ans, ils auraient du faire une énorme fête, quelques parts dans le monde. C'était pour ça qu'elle était là, pour tenir sa dernière promesse, passer ce jour symbolique avec lui. « Écoute ma belle, je sais qu'il a laissé un énorme vide en toi, je le sens mais maintenant je suis là pour le combler. Bon, pour cette fois je veux bien t'avouer que je n'y arriverais pas forcement très bien, mais, rien que de connaître quelqu'un d'aussi brillant que moi devrait t'aider ne serais-ce qu'un peu non ? – Oui, sûrement... – Comme tu dis, c'est sûr. Avant c'était lui ta moitié, maintenant c'est moi, et, en plus, on peut lire mutuellement dans nos pensées, on ne peut avoir aucun secret l'un pour l'autre. On a pas besoin de se faire des promesses futiles tu vois. » Sylvestre se leva et, doucement, commença à sortir du cimetière pendant que la mouette commençait à lui expliquer l'histoire de totem, de gardien et d'école. Cependant, une petite question la titillait tout au fond d'elle, et son Lala, lui, est-ce qu'il aurait eut un animal au fond de lui ? Est-ce qu'il l'aurait laissé discuter toute seule avec une mouette sans s'inquiéter ? « Une mouette ARGENTÉE ! Mais c'est n'est pas dure à retenir pourtant ! »
 « On n'est pas sérieux, quand on a dix sept ans. » Rimbaud
« Sylvestre ? » La jeune femme gémit. « Ma toute douce, il faut se réveiller... » Les paupières lourdes, Sylvestre leva la tête, les yeux embués. Elle avait mal à la tête, un mal de tête affreux. « C'est ça quand on boit trop d'alcool, on a mal à la tête... Et on se réveille à côté d'inconnus. » Des inconnus ? Elle semblait soudain avoir retrouvé tous ses esprits, et s'assit sur le lit d'un bond, ramenant la couette sur son buste démuni. En deux ans, elle avait reprit des formes et une alimentation normal, en parti grâce à Zéphirin qui, comme il l'avait dit, avait réussi à combler en parti l'énorme trou qu'avait laissé le départ précipité de son jumeau, bien que quelques fois elle sente encore cette absence insoutenable en elle. Il lui arrivait même de voir cette silhouette si familière au détour d'un couloir, mais, à chaque fois, c'était une illusion. La jeune fille regarda autour d'elle. Elle était bien dans sa tour, dans son lit, mais elle n'arrivait pas à voir précisément tout ce qu'il y avait autour d'elle, un simple rayon de lumière filtrant à travers la porte ne suffisant pas. Alors qu'elle cherchait la lumière, elle se figeait. Il y avait quelqu'un dans son lit, homme ou femme, elle ne savait pas très bien, mais cela la glaçait, car c'était personne qu'elle n'aurait voulu voir ici. Elle avait une envie folle de crier, mais elle se retint, pensant aux êtres élèves de sa tour endormis près d'elle. Elle n'était pas détesté ici, et, bien que parfois réservé, elle n'hésitait pas à aider les autres, alors, autant ne pas ruiner le peu de réputation qu'elle avait acquérit en restant respectueuse avec la tête sur les épaules en réveillant tout le monde à cause d'une présence étrangère dans son lit. Après tout, ce n'était pas une sainte nitouche. Mais elle était comme ça, elle ne couchait pas à gauche et à droite, elle préférait avoir une relation stable de plusieurs semaines avant de se lancer dans le concret. Elle entreprit de se lever doucement, bien qu'elle ne sut même pas où était ses vêtements. Pourtant, ce n'était pas dans son habitude de boire ainsi, mais, cela l'avait plutôt touché qu'un joli garçon lui offre un verre le jour de son anniversaire, alors elle n'avait pas refusé, le deuxième non plus, encore moins le troisième... Elle qui ne fumait ni ne buvait à outrance, c'était bien sa chance que de tomber dans les bras d'une connaissance après quelques verres. « Bah, ça t'as fait prendre du bon temps... – T'aurais pu m'empêcher de faire des bêtises au lieu d'en dire... – C'est plus facile à dire qu'à faire, ça se voit que tu t'es jamais vu saoul ma mignonne... » Sur le coup, il n'avait pas tort, Sylvestre espérait juste qu'elle n'avait pas fait un strip-tease ou quelque chose du genre devant tous les autres élèves, elle d'habitude si pudique. « Mais non voyons, là j'aurais fait quelque chose ! Un strip-tease c'est beaucoup trop pour quelqu'un comme toi... » Il n'avait pas tort, sur ce point. Dans sa tour – et dans l'école aussi, Sylvestre n'est pas du genre à ne rester qu'avec des étudiants de l'eau – on l'a toujours considéré – enfin de ce qu'elle a entendu en tout cas – comme quelqu'un de sympathique et drôle, toujours là pour ses amis, avec du respect pour un certain nombre de choses. Bon, c'est clair que certaine petite garce avec qui elle a déjà eu des altercations doivent cracher sur son dos, mais l'eau n'est pas toujours calme, surtout quand on la titille. Mais, la plupart du temps, Sylvestre est ailleurs, elle pense à autre chose, mais arrive toujours à donner de l'attention à ce qui en mérite à ses yeux. Et elle adore partager son savoir, elle pourrait s'asseoir et discuter des heures entières avec quelqu'un sur tous les voyages qu'elle a pu faire si cela intéresserait l'autre personne bien sûr. Jamais, au grand jamais elle ne voudrait paraître ennuyante avec quelqu'un et encore moins se disputer. Ses amis, elle essaye de les garder près d'elle le plus longtemps possible, même si elle ne dit pas non aux nouvelles rencontres, mais elle ne se laisse pas marcher sur les pieds non plus. Sylvestre, c'est un peu tout ça, mais en plus compliqué, et avec une mouette narcissique et orgueilleuse à l'intérieur d'elle. Et puis surtout, même si elle adore la facilité, son intelligence lui dit parfois de prendre les chemins les plus escarpés pour arriver au meilleur et ce, pas seulement pour elle mais pour tous. Avec le temps, il faut apprendre à penser aux autres. Elle pense d'ailleurs qui si elle avait pensé à son frère avant elle, peut-être aurait-elle fait attention et ne l'aurait pas laissé aller ramasser cette jante sur la route. Même si, parfois, l'influence de Zephirin déteint sur elle et elle prend des décisions plus qu'égoïstes, mais c'est sûrement tous le charme de la jeune fille – plutôt jolie hein, disons le – c'est qu'elle est imprévisible, peut-être même un peu mystérieuse derrière son regard noisette à demie éteint, comme si en elle, il manquait quelque chose, mais personne n'a réussi à savoir quoi...
Dernière édition par Sylvestre A. Oridor le Dim 17 Oct - 23:25, édité 3 fois |
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| | Sujet: Re: Et surtout soyons-nous l'un à l'autre indulgents ; Sylvestre. Dim 17 Oct - 21:32 | |
|  « Je n'admire pas la jeunesse pour la brutalité de ses certitudes mais pour la sincérité de ses angoisses. » Philippe Bouvard
« Tu te rends compte Zephirin, j'ai vingt et un an... » La mouette ne répondit pas, trop occupé à se reposer, le soleil caressant son doux plumage reluisant. « Mais quand même, cette histoire de révolte avec le feu là... Déjà je n'ai pas tout compris, on m'a servi tellement d'histoire différence, tu crois que c'est vrai tout ça ? » La mouette, comme seule réponse, poussa un petit cri strident, tout en s'étirant une patte. « Quand même, je ne sais pas quoi faire sur le coup... Enfin je veux dire, si il y avait vraiment ces réunions, je ne pourrais sûrement pas y aller, elle se déroule chez les feus, je suis une eau, c'est vite vu, je résiste, mais d'un autre côté je me dis qu'il y a peut-être du bon là-dedans... Et puis, si jamais ils gagnent, mieux vaux que je sois de leur côté pour ne pas être écrasé après, mais je ne suis pas sûr que ce soit très juste... » La mouette cette fois ouvrit les yeux et, d'un coup d'aile, décolla du toit du cabanon pour se diriger vers la tour la plus au Sud. « Tu sais ma grande, moi aussi ça me fait bizarre. Premièrement, parce que maintenant tu es vraiment grande, et je ne devrais plus m'occuper de toi comme d'un bébé, deuxièmement parce que je ne connais pas l'issu du conflit. Tu vois, pour certains grands évènement, ce pouvait être prévisible mais là, j'ai l'impression que c'est une partie de dé. Bien sûr, le pouvoir est alléchant et tu pourrais aller voir ce Woann, mais d'un autre côté, si on arrive à triompher de lui, crois moi, ce serait beaucoup mieux en terme de pouvoir... – Tu pourrais penser à autre chose qu'au pouvoir ? – Excuse-moi ma jolie, mais pour quelqu'un comme moi, c'est très habituel d'avoir du pouvoir, alors si tu n'es pas contente, ne me demande pas mon avis et prends ta décision toute seule comme une grande. » Sur ces paroles, la mouette disparut, laissant place à une jeune fille toute aussi gracieuse que l'oiseau. « Surprends-moi. » défia-t-il « Te surprendre ? Tu entends toutes mes pensées, ce serait difficile... Mais j'avais pensé à être la digne fille de mon père. – C'est-à-dire ? – Arriver juste avant l'explosion finale avec ma petite mallette et leur expliquer que, voyons non, ce n'est pas possible tant d'idioties, il faut arrêter tout ça. Donc, par magie il m'écoute, me paye très cher et... Et c'est tout. – C'est fou, je n'avait jamais vu le travail de ton père comme ça. – Je t'ai surpris alors ? – Il en faut plus que ça pour me surprendre ma belle. – De toute façon tu n'as toujours été qu'un mauvais joueur avec ton orgueil de pacotille... – Ne détourne pas la conversation, tu fais face à un dilemme quand même ! – Mais ma décision est prise, comme le choix est trop draconien, je reste au milieu. Comme ça, dans le pire des pires des cas, je me rallie au gagnant, voir au perdant, je ne sais pas encore. – C'est lâche, mais je suis ravi de voir que j'ai de l'influence sur toi. »
Dernière édition par Sylvestre A. Oridor le Dim 17 Oct - 23:39, édité 1 fois |
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Dellà N. RomanskaïaElève Air
j'apprends à dompter le vent.
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s e x e :
m e s s a g e s : 356
â g e : 34
t o u r : Air.
t o t e m : L'hirondelle.
a n n é e : 6ème année.
a r r i v é e : 31/08/2010
i d e n t i t é
a b s o l u : Lui ?
r e l a t i o n s :
p o p u l a r i t é :
    (0/0) | | Sujet: Re: Et surtout soyons-nous l'un à l'autre indulgents ; Sylvestre. Dim 17 Oct - 22:18 | |
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Bienvenue à toi ! =D
Il manque quelque chose pour le code, tu n'as plus qu'à te retaper tout le règlement et le contexte MOUHAHAHA *sors*
*reviens*
Oh et tu compte vraiment utiliser 4 messages entier pour écrire ta fiche ? Non parce que si c'est le cas, je refilerais la lecture de ta fiche à un modo ou à Henry (a) |
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Kyp D. StallonElève Feu
j'apprends à rôtir les autres à la broche.
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s e x e :
m e s s a g e s : 508
â g e : 34
t o u r : Feu
t o t e m : Ourse Blanche
a n n é e : 6 ème
a r r i v é e : 30/08/2010
i d e n t i t é
a b s o l u : Y'en a t'il un?
r e l a t i o n s :
p o p u l a r i t é :
(0/0) | | Sujet: Re: Et surtout soyons-nous l'un à l'autre indulgents ; Sylvestre. Dim 17 Oct - 22:27 | |
| Pfff c'est pas bien de se reposer sur nous Dellà 
Bienvenue joolie jolie mademoiselle 
Si t'as des questions, hésite pas à MP, ma boîte est ouverte (surtout aux jolies demoiselles (a) ) |
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Sylvestre A. OridorElève Eau
j'apprends le chant majestueux des lacs.
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s e x e :
m e s s a g e s : 67
â g e : 34
t o u r : Eau
t o t e m : Mouette Argentée
a n n é e : Sixième
a r r i v é e : 16/10/2010
| | Sujet: Re: Et surtout soyons-nous l'un à l'autre indulgents ; Sylvestre. Dim 17 Oct - 22:34 | |
| Si j'ai tout bien calculé, oui je compte utiliser les 4 xD ! Sinon j'ai rajouté le bout du code que j'avais oublié *honte sur moi*.
Bonjour jolie créature  *sors*
Oh merci :D ! Dès que j'ai une question je n'hésite pas je te saute dessus alors x) ! |
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Dellà N. RomanskaïaElève Air
j'apprends à dompter le vent.
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s e x e :
m e s s a g e s : 356
â g e : 34
t o u r : Air.
t o t e m : L'hirondelle.
a n n é e : 6ème année.
a r r i v é e : 31/08/2010
i d e n t i t é
a b s o l u : Lui ?
r e l a t i o n s :
p o p u l a r i t é :
(0/0) | | Sujet: Re: Et surtout soyons-nous l'un à l'autre indulgents ; Sylvestre. Dim 17 Oct - 22:41 | |
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Chut Kyp, chut ** (a)
Les codes sont validés x)
Et heu.. eh bien soit, 4 messages complet c'est assez énorme quand même, mais bon, éclate toi =D Si t'es inspirée, tant mieux 
Et tu peux aussi poser tes questions à Henry, Franklin ou à moi, mais si tu préfère Kyp la trainée, pourquoi pas hein (a) |
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Kyp D. StallonElève Feu
j'apprends à rôtir les autres à la broche.
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s e x e :
m e s s a g e s : 508
â g e : 34
t o u r : Feu
t o t e m : Ourse Blanche
a n n é e : 6 ème
a r r i v é e : 30/08/2010
i d e n t i t é
a b s o l u : Y'en a t'il un?
r e l a t i o n s :
p o p u l a r i t é :
(0/0) | | Sujet: Re: Et surtout soyons-nous l'un à l'autre indulgents ; Sylvestre. Dim 17 Oct - 23:18 | |
| Non pas chut, je ne serais pas exploitée, même si t'es canon *out*
Mais euh arrête de me plomber mes coups comme ça Dellà choue (a) |
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Sylvestre A. OridorElève Eau
j'apprends le chant majestueux des lacs.
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s e x e :
m e s s a g e s : 67
â g e : 34
t o u r : Eau
t o t e m : Mouette Argentée
a n n é e : Sixième
a r r i v é e : 16/10/2010
| | Sujet: Re: Et surtout soyons-nous l'un à l'autre indulgents ; Sylvestre. Dim 17 Oct - 23:42 | |
| Voilà, c'est fait :D. Les quatre n'ont pas été entièrement remplis, je veux pas vous tuer dès le début voyons x) ! *out* S'il y a des modifs à faire ou des incohérences dites le moi (: |
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Noam A. HarrowsElève Terre
j'apprends à faire pousser des roses.
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s e x e : 
m e s s a g e s : 180
â g e : 34
t o u r : Terre
t o t e m : Panda roux
a n n é e : Cinquième
a r r i v é e : 06/09/2010
i d e n t i t é
a b s o l u : Ça sera lui, ou rien.
r e l a t i o n s :
p o p u l a r i t é :
(0/0) | | Sujet: Re: Et surtout soyons-nous l'un à l'autre indulgents ; Sylvestre. Lun 18 Oct - 0:45 | |
|
LALA  
JE SAVAIS QUE C'ETAIT TOI *-*
En même temps avec ce pseudo ça ne pouvait être que toi (aa)
BIENVENUE, enfin bon retour <3
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Henry J. BlackmoreProfesseur
j'enseigne la Magie Noire.
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s e x e :
m e s s a g e s : 30
â g e : 55
t o u r : Ancien du Feu
t o t e m : Cobra
a r r i v é e : 02/10/2010
i d e n t i t é
a b s o l u :
r e l a t i o n s :
p o p u l a r i t é :
(0/0) | | Sujet: Re: Et surtout soyons-nous l'un à l'autre indulgents ; Sylvestre. Lun 18 Oct - 0:56 | |
| Je la lis demain soir, car je n'ai pas le temps là tout de suite maintenant =)
Bienvenue à toi ! |
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Maëlis D. StevensIncarnation Eau
je maîtrise l'attaque vibraqua.
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s e x e :
m e s s a g e s : 1235
â g e : 34
t o u r : Eau
t o t e m : Loutre
a n n é e : Sixième
a r r i v é e : 28/08/2010
i d e n t i t é
a b s o l u : Hum...
r e l a t i o n s :
p o p u l a r i t é :
(15/500) | | Sujet: Re: Et surtout soyons-nous l'un à l'autre indulgents ; Sylvestre. Lun 18 Oct - 1:29 | |
| Rebienvenue 
On n'est plus un canard ?
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Seed V. PowellElève Terre
j'apprends à faire pousser des roses.
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s e x e :
m e s s a g e s : 1658
â g e : 31
t o u r : Terre
t o t e m : Velociraptor
a n n é e : Quatrième
a r r i v é e : 01/09/2010
i d e n t i t é
a b s o l u : ?
r e l a t i o n s :
p o p u l a r i t é :
(0/0) | | Sujet: Re: Et surtout soyons-nous l'un à l'autre indulgents ; Sylvestre. Lun 18 Oct - 4:32 | |
| | Bienvenue |
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Franklin Faust FergussonElève Feu
j'apprends à rôtir les autres à la broche.
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s e x e :
m e s s a g e s : 197
â g e : 34
t o u r : Feu
t o t e m : Un Tigre Dent de Sabre
a n n é e : Sixiéme Année
a r r i v é e : 27/09/2010
i d e n t i t é
a b s o l u :
r e l a t i o n s :
p o p u l a r i t é :
(0/0) | | Sujet: Re: Et surtout soyons-nous l'un à l'autre indulgents ; Sylvestre. Lun 18 Oct - 13:10 | |
| Bienvenue au parmi nous !!
bon courage pour la suite de ta fiche.
=) |
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Sylvestre A. OridorElève Eau
j'apprends le chant majestueux des lacs.
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s e x e :
m e s s a g e s : 67
â g e : 34
t o u r : Eau
t o t e m : Mouette Argentée
a n n é e : Sixième
a r r i v é e : 16/10/2010
| | Sujet: Re: Et surtout soyons-nous l'un à l'autre indulgents ; Sylvestre. Lun 18 Oct - 17:51 | |
| Noam, ben oui c'est moi, tu veux que ce soit qui xD ? Merci (:
Maëlis, non les canards c'est fini x) ! Vous m'avez manqué tous les deux :P !; ça fait plaisir de vous voir =) !
Merci Seed (j'adore ton totem *O* !) et Franklin (:
& merci aussi à Henry, j'espère que ça te plaira ^o^ ! |
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Warren M. LowellElève Eau
j'apprends le chant majestueux des lacs.
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s e x e :
m e s s a g e s : 174
â g e : 34
t o u r : Eau
t o t e m : Cygne
a n n é e : Sixième
a r r i v é e : 26/09/2010
i d e n t i t é
a b s o l u :
r e l a t i o n s :
p o p u l a r i t é :
(0/0) | | Sujet: Re: Et surtout soyons-nous l'un à l'autre indulgents ; Sylvestre. Lun 18 Oct - 18:39 | |
| Sophia <3
Welcome^^ Need un lien =) Super histoire ^^ |
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Henry J. BlackmoreProfesseur
j'enseigne la Magie Noire.
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s e x e :
m e s s a g e s : 30
â g e : 55
t o u r : Ancien du Feu
t o t e m : Cobra
a r r i v é e : 02/10/2010
i d e n t i t é
a b s o l u :
r e l a t i o n s :
p o p u l a r i t é :
(0/0) | | Sujet: Re: Et surtout soyons-nous l'un à l'autre indulgents ; Sylvestre. Lun 18 Oct - 21:22 | |
| Très belle fiche, agréable à lire et vraiment bien écrit.
Validée |
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Sylvestre A. OridorElève Eau
j'apprends le chant majestueux des lacs.
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s e x e :
m e s s a g e s : 67
â g e : 34
t o u r : Eau
t o t e m : Mouette Argentée
a n n é e : Sixième
a r r i v é e : 16/10/2010
| | Sujet: Re: Et surtout soyons-nous l'un à l'autre indulgents ; Sylvestre. Lun 18 Oct - 21:55 | |
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Dellà N. RomanskaïaElève Air
j'apprends à dompter le vent.
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s e x e :
m e s s a g e s : 356
â g e : 34
t o u r : Air.
t o t e m : L'hirondelle.
a n n é e : 6ème année.
a r r i v é e : 31/08/2010
i d e n t i t é
a b s o l u : Lui ?
r e l a t i o n s :
p o p u l a r i t é :
(0/0) | | Sujet: Re: Et surtout soyons-nous l'un à l'autre indulgents ; Sylvestre. Lun 18 Oct - 22:23 | |
|
Et n'oublie pas de recenser ton avatar et ton totem ! =)
Tu peux aller te créer ta fiche de liens aussi !
Bon jeu parmi nous
Et je confirme, très belle fiche ! |
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| | Sujet: Re: Et surtout soyons-nous l'un à l'autre indulgents ; Sylvestre. | |
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| | Et surtout soyons-nous l'un à l'autre indulgents ; Sylvestre. | |
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