| | CEE « nothing's gonna change my world. » uc |  |
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 | | Sujet: CEE « nothing's gonna change my world. » uc Ven 24 Juil - 18:36 | |
| I d e n t i t é ;
NOM(S) : Elwood.
PRENOM(S) : Channel Eurydice.
AGE : 18 ans.
DATE DE NAISSANCE : 01 Juillet 1991.
SIGNE ASTROLOGIQUE : Cancer.
SEXE : Féminin.
NATIONALITE : Italienne.
LIEU DE NAISSANCE : Vérone.
SEXUALITE : Bisexuelle.
B e w i t c h i n g ;
TOUR : Feu.
ANNEE : 6 ème.
ANIMAL TOTEM : Lionne blanche.
NOM DU TOTEM : Nyana.
R é a l i t é ;
AVATAR : Megan Fox.
PRENOM : Julie.
AGE : 1 an et demi ? x).
COMMENT AVEZ-VOUS DECOUVERT LE FORUM : Enfaîte c'est très bête. Une amie m'en a parler, au début je n'y est porté aucun intérêt parce que j'étais déjà sur trop de forum. Puis pour pas regretter de pas m'inscrire je suis venue voir puis j'en suis tombée amoureuse alors me voilà. 
QU'EN PENSEZ-VOUS : Nul de chez nul, c'est de la merdouille, c'est pour ça que je suis inscrite. 
CODE(S) : Ab Irato Panem et Circenses.
Dernière édition par Channel E. Elwood le Mer 29 Juil - 11:01, édité 5 fois |
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InvitéInvité
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| | Sujet: Re: CEE « nothing's gonna change my world. » uc Ven 24 Juil - 18:36 | |
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chapter one ;
Ma mère venait de tenter de mettre fins à ses jours. Une nouvelle fois. Avec elle, rien ne changeais, c'était toujours la même histoire, les mêmes plaintes. Elle était malheureuse parce que son mari l'avait laissé avec une petite batarde sur les bras. Elle était malheureuse parce qu'elle avait envie d'avoir une autre vie. Elle était malheureuse parce que son travail d'aide ménagère ne lui convenait plus et enfin, elle était malheureuse parce qu'elle avait plus de poudre blanche. Ce jour-là elle avait fait très forts en manière de tentative de suicide. En effet, elle avait tenté de se pendre en accrochant une corde à l'étendoir dans le jardin. Ca aurait pu vraiment marcher si l'étendoir n'avait pas cédait sous son poids et si je n'avais pas été là. Malheureusement pour elle, c'était raté, encore une fois. Tout en poussant le portillon je me demandais ce que j'avais bien pu faire pour avoir une mère pareille. Je n'avais rien fait de mal. J'étais gentille, peut t'être trop même et j'avais des bonnes notes à l'école. Ou était le problème ? Je ne me sentais pas si terrible comme fille pour mériter la vie que me menait Anouchka tous les jours. J'accourais pour lui porter secours, les larmes menaçant de couler sur mon visage. « Maman? Je...ça va? Ecoute j'vais appelé le docteur, bouge pas hum... » Mais je n'eu pas le temps de me retourné qu'elle attrapa mon bras d'un geste violent, me fixant, les yeux rouges et la bouche tordue par la colère. « TAS PAS INTERET OU JE TE JURE QUE JE ME TUE POUR DE BON! C'EST CLAIR ?! » cria t-elle a plein poumon. Je me bornais a ignoré ses mots. Tentant tant bien que mal de la résonner, en vain. Je voulu l'aider a se relever mais la gifle que je reçu me cloua au sol un bon moment. Jamais Hope n'avait osé me frapper, c'était une première, une première qui me fus difficile a avalé. Levé la main sur moi alors que mon seul désir était de l'aider, je regrettais d'avoir si bon fond à cet instant. La coopération n'étant pas son fort aujourd'hui j'allais chercher le téléphone en courant malgré ses cris de colère et son chantage habituel. Le premier numéro qui me viens en tête fut celui de son médecin, bien sûr. Un ami de longue date de ma tante. Il connaissait bien les crises de folies de ma mère, trop bien puisqu'il la suivait depuis ses 19 ans - et 42 a présent - ans. En effet, cela faisait des années qu'elle était dans cet état. Sa folie ne s'était jamais vu quand elle était jeune, cependant beaucoup déjà la qualifiée de lunatique à l'extrême. En bref ils soupçonnaient déjà une double personnalité précoce mais, sans réel gravité. Pauvres grands-parents, ils avaient crut dur comme fer qu'au fil des ans leurs fille adorée changerait, malheureusement ils se mettaient le doigt dans l'oeil. Jamais - ou très rarement - j'avais vu ma génitrice dans son état normal, depuis ma naissance je l'avais toujours connue ainsi. « Allo? ... Oui.... Etendoir.... Vous pouvez.... 20 minutes? D'accord... Merci... » Il raccrocha et je reviens vers ma mère. Elle pleurait a chaude larmes, ce traitant de tout les noms comme ci elle avait un moment de lucidité. Je ne pu m'empêcher de pleuré moi aussi, j'entourais son cou de mes bras et caresser affectueusement ses cheveux.
Plus tard, je me retrouvais à l'hôpital. Cela faisait quelques heures que nous y étions. J'avais insisté pour rester avec elle tout en sachant que demain je serais dans un état plus que pitoyable. Ma tante était venue elle aussi, il fallait après tout que quelqu'un veille sur moi. Maman n'avait rien de très inquiétant, du moins pas physiquement. Quelques bleus ici et là et une trace rouge sur le cou, c'était tout. Le vrai problème était qu'elle était malade, folle si vous voulez. Un dédoublement de la personnalité plus une dépression chronique grave. Hope était une de ses femmes a qui il fallait constamment prouver qu'on l'aimait. Elle avait besoin d'être choyée, d'être rassurée. Il fallait toujours lui dire qu'on l'aimait pour qu'elle ne mette pas définitivement fin à ses jours. Pourtant, même en faisant ça son état mental ne cesser de s'aggraver, parfois il lui arrivait de ne pas me reconnaître, de douter de mon identité et d'autres fois encore de hurler sur qui le voulait bien, sa haine envers le monde. En contre partie, lors de ses rares moments de lucidité, Hope était un amour. Elle redevenait l'espace de quelques minutes une mère affectueuse et ravie de sa vie. Non, elle n'avait pas que des mauvais côtés mais, les bons étaient très rares pour ne pas dire quasi inexistant. « Ecoute moi ma grande. Il faut...que tu sois forte, pour ta maman... Pour les gens qui t'aimaient. Ta maman.... Son état ne lui permets plus de rester avec toi. Elle ne va pas bien, elle est...malade. Elle va aller dans une maison pour les gens comme elle, tu pourra venir la voir si tu le souhaite, je suis sûr que ta tante sera ravie de t'emmener. Tu va aller vivre avec elle, elle va s'occuper de toi tu verra. Ta maman ne guérira peut t'être pas, il faut que tu en est conscience. Cependant, n'oublie pas qu'elle t'aime et que tu sera toujours sa fille. Il va falloir qu'ont l'emmène, tu veut lui dire au revoir? » La voix chaude du médecin me rassura légèrement, j'avais confiance en lui et je savais très bien que je pouvais compter sur lui. J'avais néanmoins du mal a le croire quand il disait que ma mère m'aimais, si c'était le cas elle avait une drôle de manière de me le montrer. Entres les reproches et les crises de colère que je devais enduré, j'avais vraiment du mal a croire qu'elle ressentais pour moi autre chose que du mépris. Jusqu'à maintenant je n'avais pas remarqué que je mordais ma lèvre inférieure si fort qu'une goutte de sang perlait dessus. « Ca va ? Tu... tu pleures ? » Non imbécile. Tu ne comprends pas que j'en ai rien à foutre que ma mère crève. Et tu sais pourquoi? Parce que j'en ai ma claque. Ce ne sont pas des larmes de tristesse, mais des larmes de rage, de colère, de déception, de ce que tu veux. Mais pas de tristesse. Je ne suis pas une chochotte, je ne pleure pas pour un rien. Je ne me lamente pas sur mon sort. Je ne suis pas comme ma mère. Alors que les talons aiguilles de ma tante résonnaient dans le couloir, je soupirais en me contantant d'un tout simple « Je dois y aller. »
Dernière édition par Channel E. Elwood le Mer 29 Juil - 11:58, édité 8 fois |
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| | Sujet: Re: CEE « nothing's gonna change my world. » uc Ven 24 Juil - 18:37 | |
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chapter two ;
La lune était haute, méprisante dans son siège sombre, me dévisageant d’un air serein pourtant depuis les cieux. Moi je n’étais qu’ombre, je ne faisais qu’errer dans les rues muettes. J’étais seule, seule, je n’entendais rien que moi. Ma respiration lourde, trop anxieuse surement, mes pas furtifs. Il n’y avait pas de bruit, pas d’odeur, rien qu’une rue, grise, sombre, et parfois une mare de lumière orange âtre diffusée par les réverbères démodés. J’en avais espérée plus en fuyant de mon immense maison, interdite. Je voulais défier, voir si cette ville en valait la peine, voir si le danger y était présent. A 13 ans je savais que je n'aurais jamais du mettre un pied dehors, qui plus est en pleine nuit mais, cette fois ma curiosité et ma soif d'adrénaline avaient étaient plus fortes que la raison. Je risquais gros en j'en était consciente, un malade pouvait me prendre et me violer, pire on pouvait me tuer. Mais j'en avais que faire. J’aimais la nuit, son silence, le bruit de nos pas feutrés, les ténèbres. Dans cette nappe sombre on avait le droit de prendre n’importe quel masque, d’être n’importe qui. Pour une fois, s’échapper de nos monotones vies, du moins, pour ma part. Je me rendis compte de mon immobilité une fois revenue à mes sens, et le froid soudain se mit à me ravager les os. Je me mis en marche, le cœur dur, les yeux vides. Combien de temps? Telle était la question récurrente. Combien de temps cela faisait t-il que nous avions déménager? Combien de temps cela faisait t-il qu'ont avaient prit nos distances? Combien de temps encore, la vie va telle avoir cet arrière goût d'amertume? Combien de temps vais-je me sentir coupable? Même s'il m'étais difficile de l'avouer, elle me manquais. Beaucoup plus que ce que j'avais imaginé. Je m'en rendais compte a présent alors que je vivais à des kilomètres d'elle. En quittant Vérone j'avais espéré oublié, en vain. Il y avait toujours une infime chose qui me rattachais à mon passé. Me rappelant mon erreur, mon devoir de remords. La nouvelle m'avais dévasté, m'avais arraché les tripes littéralement. Hope c'était suicidé, pour de bon cette fois. Tout cela par ma faute. Je n'avais pas mesuré les conséquences liées a mon départ et l'avait cru incapable d'en finir. De un parce que j'étais persuadé qu'elle tiendrait bon, pour moi. De deux parce que je pensais que l'endroit où elle était avait une sécurité maximale. Et de trois parce qu'elle m'avais semblé aller mieux lorsque je l'avais eu au téléphone. Et dire qu'elle n'était pas de ce monde aujourd'hui. Comment avait-je pu l'abandonner aussi lâchement, elle avait eu besoin de moi et la seule chose que j'avais faite c'était l'envoyé en maison psychiatrique. Maintenant j'avais des remords et je me sentais coupable, j'avais tué ma mère. Indirectement certes, mais je l'avais tué par pur égoïsme. Je n'avais pensé qu'à moi et à mon petit bien être. Vraiment, j'avais vraiment été une égoïste. Je revins à la réalité lorsque je me sentis buté sur quelque chose où plutôt quelqu'un. La peur me saisi et ma respiration s'accéléra tandis que l'homme se relevait. Il était grand, brun - c'était ce que je pensais tout du moins - mais, il y avait quelque chose dans son regard qui était loin d'être rassurant. « Hey mais ! ... Ah comme c'est interrésant, une gamine. Tu tes perdu je suppose hum? .... Réponds ! » Pétrifiée par la peur je ne pipais mots. Il n'avait rien de très net et je me doutais qu'il n'avait pas forcément envie de prendre le thé avec moi. Un malade. Un fou dangereux, voilà ce que c'était. Un violeur? Un kidnappeur? Autre chose? Je ne n'éternisais pas pour le savoir. Détalant j'empruntais un raccourci menant à la maison. Je ne tournais pas la tête pour savoir s'il me suivais, je n'en avais pas besoin. Il brailler si fort derrière moi que je su tout de suite qu'il me courais après. Puis soudain, tout changea. Je me sentis prendre de la vitesse, une vitesse excessive et pas vraiment digne d'une enfant de 13 printemps à peine. « A droite, puis a gauche. » me dit une voix inconnue. Je prit encore plus peur, me demandant ce qu'il m'arrivais. « Je t'expliquerais. En attendant si tu tient à la vie écoute moi. » Les intonations de cette voix étrangère étaient presque colérique mais pourtant, elle me rassura. Je n'objectais pas et l'écouté, prenant une rue a droite puis a gauche comme elle me l'avais demandé. Je fus surprise de voir que j'étais devant chez moi, cependant la peur me poussa a ne pas poser de question et a vite rentrer. Je claquais la porte et allumé la lumière lorsque je vis ma tante, le visage dur, l'air en colère.
S'en suivit un bon quart d'heure de passage a savon. Les éternels " il ne fallait pas que tu sorte ", "c'est ta faute " revenant sans cesse. Lorsque la crise fut passé je montais dans ma chambre et m'allongeais sur mon lit, attendant des explications plausibles. « Tu est unique. » Je ne comprenais pas tout de suite mais je reconnu sans mal la voix a la fois rassurante et colérique de tout à l'heure. « Mon nom est Nyana et je suis ton totem. Un esprit de lionne blanche. Protectrice du feu tout puissant.La magie coule dans tes veines Channel » Hein? Etais-je folle? Cette course effrénée a travers les rues sales m'avais telle fait avoir des hallucinations? « Quoi? ... Je... Ca fait longtemps que tu est...là? » « Depuis toujours mais tu ne ma jamais remarqué. » « Ah, d'accord... » Je ne trouvais rien de plus a dire. Je n'avais pas vraiment pris conscience de la situation. Du moins pas encore. Enfaîte ne comprenais quasi rien mais je ne me posais pas plus de questions. Nyana me semblais sincère, mais je pensais qu'elle ce trompait de personne. Je n'avais rien d'unique pou moi si ce n'était ma faculté de m'attirer beaucoup d'ennuis en une journée. « A nous deux nous pouvons faire de grandes choses, crois moi. Accepte moi et je t'offrirais puissance et force. Tu ne sera plus seule, tu ne vivra plus dans le passé et tu pensera a l'avenir. Accepte moi et je réaliserais tous tes rêve. » Face a cette offre je ne pu dire non. Ca promettait de bonnes perspectives, ça serait toujours mieux que la petite ville dans laquelle je vivais. Couper court avec ma "famille" ne me gênais nullement surtout ci c'était pour la bonne cause. Elle me parla brièvement de Bewitching puis je m'endormis, des rêves pleins la tête.
Dernière édition par Channel E. Elwood le Mer 29 Juil - 23:37, édité 9 fois |
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T. Atahana HopkinsIncarnation Terre
je maîtrise l'attaque siffl'herbe.
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s e x e : 
m e s s a g e s : 1380
â g e : 34
t o u r : Terre.
t o t e m : Le Cerf.
a n n é e : Sixième.
a r r i v é e : 05/02/2009
i d e n t i t é
a b s o l u : Qui sait ?
r e l a t i o n s :
p o p u l a r i t é :
    (15/500) | | Sujet: Re: CEE « nothing's gonna change my world. » uc Ven 24 Juil - 19:00 | |
| Bonjouur =D.
Megan Fox à 20000000000 %
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| | Sujet: Re: CEE « nothing's gonna change my world. » uc Sam 25 Juil - 20:22 | |
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chapter tree ;
(j'ai pas eu assez de place) |
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| | Sujet: Re: CEE « nothing's gonna change my world. » uc Mar 18 Aoû - 15:28 | |
| Bonjour.
Tu n'as pas fini ta fiche et les 10 jours sont largements passés. Tu as 24 heures pour te manifester sinon ta fiche sera mise aux archives.
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Contenu sponsorisé
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| | Sujet: Re: CEE « nothing's gonna change my world. » uc | |
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| | CEE « nothing's gonna change my world. » uc | |
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