bewitching ; la tentation du feu.
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 Un Canard fera-t-il entendre résond à un Héron buté ? || Donald

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Un Canard fera-t-il entendre résond à un Héron buté ? || Donald Vide
MessageSujet: Un Canard fera-t-il entendre résond à un Héron buté ? || Donald   Un Canard fera-t-il entendre résond à un Héron buté ? || Donald EmptyMar 29 Sep - 23:20


Un Canard fera-t-il entendre résond à un Héron buté ? || Donald Donaldrp Un Canard fera-t-il entendre résond à un Héron buté ? || Donald Alastarrpdonald
Donald && Alastar.

Un Canard fera-t-il entendre résond à un Héron buté ?



    Une magnifique journée était en perpextive. Alastar se leva tôt comme à son habitude, environ une heure avant le lever du soleil. Il partit prendre un bonne douche froide pour se réveiller un peu, car il fallait être quand même un minimun réveiller pour pouvoir voler. L'eau commença à couler, elle était fraîche, bruyante, elle l'empêchait de penser tranquilement. Mais cela ne le gênait pas, il savait pertinament qu'il aurait tout le temps de mettre ses idées aux claires après, quand il volera paisiblement dans le ciel bleu. Elle tombait en trombe, tout le contraire d'une pipette jaugée Il coupa l'eau après avoir fini, s'habila et se dirigea vers sa chambre. Il ouvrit la fenêtre et s'envola. En un fragment de seconde, il était passé d'un humain banal à un magnifique héron pourpré. Ses couleurs variaient d'un bleu nuit, à un orangé intense, à un pâle gris clair. Il volait, volait dans ce ciel encore noir, en direction des collines au bord du lac qui était non loin de l'école. Il admirait tout la beauté du paysage plongé dans le noir. Les animaux dormaient encore, les sapins étaient d'un vert foncé presque noir, l'herbe d'un vert aussi mais beaucoup plus soutenu et pâle que celui des arbres, l'école était calme, un calme rare, d'autres personnes devaient sûrement être réveillé mais le calme reignait encore. Après quelques battements d'ailes, il fut arrivé sur les collines. Il ne vit même pas le temps passé, entre ses pensées qui dérivaient, la beauté et la courte distance, faut-il précisé. Il se posa sur ses deux pattes sur une branche, debout et immobile, comme seule un oiseau serait le faire. Un humain aurait beaucoup de mal à rester immobile mais un animale y arrivait fort facilement. Il regarda en direction de l'Est, pour pouvoir admirer le lever du soleil depuis toute sa splendeure. Ses pensées commençèrent à redérivées mais cette fois, Ardea commença à se manifester. C'était le point très positif de ses deux esprits dans un même corps, âme, coeur, tête. Ils pouvaient parler, communiquer sans que tout le monde soit au courant, les pensées de l'un et de l'autre, n'avaient aucun secret pour l'autre. Il commença donc le court de ses pensées.

      « *Que j'aime sentir la douce brise du matin sur mes jambes.* »

    Une brise soufflait lentement sur le plumage de Alastar, sur ses jambes, il la resentait encore plus, quelque friçons pouvaient apparaître même. Ardea se manifesta et répondit à ces pensées.

      « *Quelle chance de pouvoir profiter de tout ce paysage depuis notre hauteur. L'être volant à des avantages que les autres n'ont pas, il faut le reconnaître. Ils ne connaitront jamais ce que l'on vit tous les matins, les jours, les nuits, où l'on vole sans résond. Libre d'aller où bon nous semble.* »
      « *Je suis d'accord. Mais ils ont des privilèges qu'un simple oiseau ne peut connaître. Mais j'avoue que la liberté et la beauté du paysage me rendent heureux.* »

    Ils restèrent là, figé devant le paysage. Le lever du soleil commença. Il montait lentement dans le ciel, comme si il attendait qu'on le regarde, que le monde ait les yeux rivé sur lui. Il effaçait la nuit, la paysage prennait petit à petit, de plus en plus de couleur, ses vraies couleur. Les feuilles rendaient leur plus beau vert chlorophyle, l'herbe portait un jolie teint vert pâle, les tronc se distinguaient de leur merveilleux marrons râpeux, le lac se valorisait de milliers de reflet de tout ce qui se trouvait autour, avec des poissons de toutes formes, toutes tailles, toutes couleurs qui sautaient hors de l'eau, comme si ils souhaitaient montrer leur beauté au monde. Un thon rouge marqua son esprit et lui rappella qu'il avait pas encore pris son petit-déjeuner, mais cela ne le dérangeait pas aillant un appétit de moigneau. Il continua de contempler le paysage. Le ciel s'illuminait, un magnifique bleu ciel, près du soleil, des rayons illuminant, des couleurs qui variaient du rouge au jaune, tout en passant par l'orangé, des soupsons de violet. Une douce, chaude et clair journée commençait. Il n'y avait pas un seul nuage en vue, au propre comme au figuré. Il s'envola et parti en direction de l'école et plus précisement de sa chambre. Pendant qu'il survolait la forêt ou le lac, il ne pu s'empêcher de se dire que ce ne pouvait pas être le même que à l'aller, tout était si différent, les choses étaient les mêmes mais les couleurs étaient totalement différents. Il arriva lentement, en plus de temps qu'à l'aller devant la fenêtre de sa chambre, il l'avait laisser ouverte et il rentra. Il avait remarquer qu'il y avait quelques élèves dehors, au allentours de l'école, quelques autres élèves volaient aussi. Il entra dans sa chambre et reprit forme humaine. Quand il reprennait forme humaine, il avait toujours l'impression d'avoir subit un clonage, comme si il était redevenu lui même, avait pris un autre corp de lui mais l'esprit était le même. Il mis des lunettes de soleil, sa guitare acoustique dans sa protection et il reparti par la où il était entré. En héron, avec la lanière de la protection dans le bec pour la tenir. Il chercha un coin tranquile, où il n'y avait personne, près d'un arbre de préferance. Il trouva assez vite. Il s'y posa te reprit forme humaine.
    Il s'assis au pied de cet arbre, sortit sa guiatare et commença à en jouer. Alastar était doué pour plusieurs chose, être discret, gentil, calme mais ce qui réunissait tout cela en un acte, c'était belle et bien la musique. La calme appaissant d'une douce mélodie et la discretion des notes, comme une mélodie que l'on entendait seulement dans notre tête. Et tant de gens jouait de la musique. Depuis qu'il avait huit ans, il en joue. Pour dire comment il en joue bien maintenant. Il se mis donc à jouer pésiblement pendant un moment, quand soudain, il entendit du bruit. Il ne prêta pas attention à la personne qui passait au loin, au début cependant. Plus les secondes passaient, plus les pas s'approchaient. Une personne se dirigeaient vers lui. Il ne se tourna pas pour voir de qui il sagissait. Il continua à jouer et attendit le moment fatidique. Le moment où il sera dérangé, où la personne arriverait, il ne cessa de penser à qui cela pouvait bien être. Il y avait tant de gens qu'il ne voualit pas voir, tant d'autre qu'il aimerais voir, enfin cela ne le dérangerait pas, même s'il aime sa solitude, elle le détend, le fait réfléchir, l'appaise. Qui venait troubler son repos, il l'ignorait, et entendait les pas avancer jusqu'à l'atteindre. Les pieds s'arrêtèrent juste à côté de lui, il était encore tête droit devant lui, mains sur les cordes jouant. Il stoppa, tourna la tête vers les jambes de la personne. Il réduit le champ de doute, cette personne était un homme. Il leva lentement la tête hésitant et vit enfin le visage de la personne qui était juste planter devant lui. Il reconnaitrait ce visage entre milles, même si il ne leur avait pas adressé la parole depuis un long moment. Il se demandait la raison de sa venu et une folle envie d'avoir une mitrailette sous la main, le titillait. Pourquoi était-il venu le voir, il savait éperdument qu'il aimait la solitude. Certe il aimait encore plus ses amis, mais cela fesait lontemps qu'il n'avait plus cet attribut là. Enfin, il n'en était pas vraiment sûr. Pourquoi n'avait-il pas encore dit un mot ? Il était trop buté pour lui parler, en tout cas en premier. Il fit une mine inquisiteur de la raison de sa venu...
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MessageSujet: Re: Un Canard fera-t-il entendre résond à un Héron buté ? || Donald   Un Canard fera-t-il entendre résond à un Héron buté ? || Donald EmptyLun 19 Oct - 19:48

    - le rp se situe après que Donald ai trompé Daisy && co, et désolée pour les fautes mais j'ai la flemme de me relire et Bon Patron ne marche pas u.u". -


    Ce ne fût pas le matin et ces petites brises fraîches qui reveilla le jeune homme ce jour-là mais bel et bien le raffut qu'il se faisait autour de lui, a tel point qu'il fut contraint d'aller dormir dans un canapé, faisant parti d'un quelconque couloirs qui lui même faisait parti d'un ensemble formant un bâtiment où tout se confondait pendant la nuit. Donc, le canard rejeté par l'ensemble des ses camarades de son dortoir – alors qu'eux mêmes, il y a moins d'une semaine, pratiquait l'amour collectivement sans même penser aux pauvres âmes qui aurait pu rentrer et être choqués à vie. Il finit par s'asseoir dans le vieil amassis de cuir, sa guitare à la main, son torse perdu dans un énorme tee-shirt d'Iron Maiden – yeah ! - et ses petites jambes bien gardées dans un léger jeans. Et, l'on ne sait comment, mais le jeune parvenait encore à faire voir un de ses caleçons affriollant, bien que celui-ci soit affreusement sombre et uni. Un simple caleçon noir. A voir cela, rien qu'un simple canard pourrait comprendre que le jeune homme entamait lentement - mais sûrement – une dépressions sociaux nerveuses a caratères amoureux et vestimentaires. La preuve en étant, quand il sortit sa guitare, ce n'était plus pour jouer de ces morceaux endiablés et heureux, mais les morceux même des dépressifs notoire auto-suicidés et des princes des tenèbres. Et personne, au non personne ne semblait vouloir compatire en voyant cet enfant ayant lourdement fauté, manipulé par des inconnus – ou pas – et rejeté par ses proches. Chienne de vie et, malheuresment, il ne restait qu'au jeune Donald les méandres mêmes de ses pensées, habitée par un canard dérangé qu'un idiot avait cru bon d'appeller Phil. Et encore, Phil, qui n'avait jamais été rose, lui, était compatissant, ce qui indiquait vraiment le pire à venir pour le canard. « Merci. » gronda le canard, véxé. Mais d'un autre côté, quand même les mégalomanes haineux et rebelles commencent à être sympathiques et apprécier vos gouts vestimentaires, il y a quand même de quoi s'inquièter. Les doigts du petit Donald glissait doucement sur les cordes de sa guitare sèche. Classique. En bois. Lui qui préférait faire rager les professeurs en faisant hurler du Queen en plein cours, la guitare éléctrique relié à un ampli branché dans une prise improvisé. Mais en ce moment même rien. Pas de professeurs amusé et faché, plus de camarades de cours improvisant des chorégraphie et encore moins de petites yeux noisettes vous regardant avec admiration. Plus rien. Le canard soupira, alors qu'au loin, le soleil levant vint laisser jouer ses rayons dans les yeux bleux du canard. Alors là, si même Apollon et ses chevaux rouges lui en veulent, le simple petit canardeux qu'était Donald ne pouvait plus rien.

    Il rangea la guitare et ouvrit la fenêtre, mettant une patte dehors, puis une aile, et en fin son bec. Se détendre sous la forme de Phil lui ferait du bien après tout, et le canard s'envola avec peine des herbes mouillés par la rosée du matin, un léger ventre rebondit le tirant imperceptiblement vers le bas, alors que ses ailes blanches battait à vive allure. Oui, car, en bon sosie de Donald Duck, Phil était un phénomène rare, au pelage – ou plumage, à vôtre guise – éclatant de blanc, Donald le lavant à l'arielle à froid. Seul tâche à ce faux signe, à part bien sûr son bec et ses pattes d'un orange que l'on verrait même dans la nuit, sur son dos, un léger « P » grisonant faisait office de tâche de naissance, dont le canard se vantait souvent. « Vois-tu, dans une de mes nombreuses vie antérieure ou j'étais toujours aussi jeune et beau, je faisais partie d'une grande famille et, pour que ma mère ne me perde pas, elle m'a fait mettre ceci, qui est maintenant indélébile. » ou encore, comme pour ne pas gonfler son égo. « Encore dans une autre vie antérieure – que veux-tu, j'ai connu Jules César – j'étais un superbe canard de combat... » jusqu'à ce qu'enfin, le jeune homme reprenne ses droits. « Et en ce moment même, tu as une connexion psichique avec Alain Delon ? Fais attention à la guitare veux-tu. » alors que le canard, légèrement outré et flatté (Alain Delon était un bel homme, voyez-vous...) lachait avec légèreté et grâce – son ventre bedonnant rasant l'herbe – une étui couleur charbon sur une petite touffe d'herbe, à l'abri du feuillage d'un arbre. Puis Phil vila aussi vite que possible vers une petite marre qui pronait au milieu du parc – soyons véridique, un petit lac qui essayait de faire concurrence à celui qui se trouvait à seulement un petit kilomètre de l'école – et y plongea la tête la première, manière à la fois de se rafraichîr, se laver, choper un ou deux poissons au passage et d'oublier légèrement ce qui le tracaissait. Déjà petit, les deux plumeux adorait rester la tête sous l'eau, alertant parfois leurs mères, pour simplement être au calme, savourer le silence. Être seul, simplement. Seul. Depuis combien de temps le jeune homme n'avait pas ressenti cette sensation ? Certes, il était dans le corps de Phil, mais, il leur arrivait à penser qu'il n'y avait que sous l'eau qu'il arrivait vraiment à ne pas se chamailler et à vouloir la même chose : la Paix. Sans penser un seul moment qu'il avait besoin d'un minimum d'oxygen pour vivre, le canard blanchâtre s'enfonça jusqu'au fond boueux de la marre, soulevant la terre et traumtisant quelques poissons et crabes avant de remonter à la suface.

    « Couack-couack !! » balança le canard mouillé tout en négociant des petites virages sur l'étendu de l'eau.

    « Couak-couak !! »

    Continua-t-il tout en avisant d'autres animaux – félin, reptile, oiseaux... des élèves quoi – et humains qui se promenaient en le regardant d'une manière bizarre. Un canard blanc et orange fluorescent qui hurle des « couack-couack » au lieu de « coin-coin », cela pouvait en choquer certains. Et en affamer d'autres, d'où la raison pour laquelle préféra s'envoler à tir d'ailes, avant de reprendre une forme humaine, plusieurs mètres après son spectaculaire démarrage, sous la forme d'un jeune homme éssouflé mais étonement sec. Quel idiot, ce canard ! Toujours à revasser et à croire que, du jour au lendemain, il aurai gardé la forme et l'endurance des ces vingts ans ! Mais trêve de blablatrie – et d'insultes rageuses de Phil – le canard récupéra sa guitare et commença à marcher lentement dans le parc. « Et si ce sera ma vie maintenant, marcher sans but ? » « Tais-toi et fabrique toi une meilleure tête ou les gens en profiteront. », et ce fût un véritable duel intérieur qui commença. Le perdant contre le vainqueur, le soumis contre le maître, le gentil contre le méchant. Quoi que, Donald venait légèrement de tourner vers le côté des méchants après ce qu'il avait fait, et, sa tête de détérée après cent ans de repos pouvait en témoigner. Cependant, un petit air de guitare le sortit de ce débat existencielle sur sa vie et attira son regard - et ses oreilles – en direction d'ou semblait venir la mélodie. Et, de suite, il y reconnut une petite silhouette penché sur sa guitare, presque amoureusement. « Alastar ». Rien que le fait de prononcer son prénom serra le coeur du canard. Lui, Alastar O'Brien, saurait montrer de la compassion – pas comme sa grande soeur... - et pourrait sûrement épauler le canard boiteux. Oui, car même s'il y avait déjà quelques jours que le héron esquivait lentement mais sûrement Donald après une engueulade monumentale après une secret qu'il aurait revélé, la question étant lequel. Mais le canard oublia quelque peu ce détail quand il s'arrêta près de son ami, qui mit du temps à lever les yeux, avant d'attendre, comme d'un air inquisiteur, que le canard parle. Soit, il parlerait.

    « Salut Alastar... Genre j'pourrais hum tu sais... Enfin m'asseoir quoi... ? »

    Demanda timidement le jeune homme, la main gratouillant ses cheveux qui se situaient sur le haut de sa petite tête, signe d'une étrange gêne. Et si il disait non? Il allait dire non, à en croire le regard qu'il lui lançait – meurtrier le regard, un peu comme celui d'un loup devant une chèvre. Haineux, ce qui obligea quelques peux le plumeux à relancer la conversation tout en s'asseyant. « Après tout c'est un arbre publique » pensa Phil.

    « Ouais je sais, t'es déçu et tout... M'enfin j'ai toujours pas compris pourquoi tu m'en veux, tu m'escusera moi et ma façon de me perdre dans tout et n'importe quoi... En tout cas j'voulais pas être méchant. » Il hésita. « Qui est méchant n'est pas Donald, malgré les rumeurs. »

    Ajouta-t-il avec un petit rictus qui se voulait dédramatiseur. Un fond de vérité dans tous cela – et même un grand bol.

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MessageSujet: Re: Un Canard fera-t-il entendre résond à un Héron buté ? || Donald   Un Canard fera-t-il entendre résond à un Héron buté ? || Donald EmptyJeu 22 Oct - 21:52


    Alastar écouta attentivement les premières paroles de Donald, il fut fort étonné du gène que lui portait son camarade, son ami ? Il n'en était pas sûr. Il le vit gratouiller très géné ses cheveux. Il ne répondit pas sur le champ et Donald reprit la parole. Il avait une forte envie de l'envoyer balader mais en même temps une folle envie de le serrer dans ses bras. Il ne lui en voulait pas vraiment sur le secret, une petite chose futile sur son enfance qu'il n'avait jamais révélé, mais plutôt car il était buté. Il avait toujours eu du mal à accorder sa confiance à une personne, Donald l'avais et aussi bizarre que cela peut l'être, il l'avait toujours, il l'avait et a trahis cette confiance. Il savait bien qu'il ne l'avait pas fait consciement mais cela ne changeait rien au point de vu de Alastar. Depuis quelque jours, il se demandait pourquoi lui, pourquoi fallait-il que ce soit ce génial canard... Il était catégorique, son ami ne l'avait pas fait exprès mais son caractère avait de nombreux défaults, les bornes d'une route et les butes des plaines en fesainet partie, une partie non négligeable de sa personnalité. Il ne l'était pas non plus totalement, cela était pas trop dur de la faire changer d'avis, avec les arguments qu'il fallait, sa sincèrité et sa gentilesse le fesait arriver à entendre raison et qu'il avait tord. Le canard rajouta qu'il ne comprennait pas pourquoi il lui en voulais et tout le tralala. L'incomprehension dominait la tête de Alastar, Donald devait savoir la raison alors pourquoi fesait-il cette remarque... La question resta en suspent dans sa tête. Puis il entendit le petit dicton du canard, que certe il trouvait fort vrai. Il ne savait trop quoi faire...

      « *Aide-moi Ardea ! Je pourrait partir, mais cela serait un gros manque de respect envers lui ; Ne pas lui répondre, tout autant ; Faire comme si de rien n'était, je ne peux pas... Dis quelque chose !* »

    Ardea ne se manifesta pas et laissa Alastar seule pour résoudre son problème. Il fallait vite qu'il choigisse une solution car sinon donald penserait qu'il l'ignore. Il fixa le paysage devant lui, sans vraiment déchiffrer ce qu'il voyait et d'un geste rapide, fluide et simple, il tourna la tête vers Donald, relever vers le haut pour voir le visage de ce dernier. La tristesse, le gène et le tresse se lissaient dans les yeux du canard, surement avait-il peur de la réponce de Alastar. Tandis que le regard de Alastar était toujours pensif et meurtrier. Mais pourtant il le connaissait bien, Alastar ne ferait pas de mal à une mouche en théorie, même plus que en théorie, il ne s'était vraiment énervé qu'une seule fois dans sa courte vie. Enfin, il répondit à la demande de Donald, d'une voix détendu, monotone quelque peu enthousiasme. Il n'en pouvait s'en empêcher, il était d'un naturelle optimiste, enthousiasme, joyeux parfois satirique et blasant, mais tout de même sympatique dans nombreuses circonstances.

      « Va-si. »

    Il baissa la tête et recommença à regarder devant lui. Il devait avoir éveiller la surprise et l'incomprehension dans la tête de son ami acr avec un regard aussi amer et une voix plutôt sympathique, on pouvait vraiment se demander à quoi pouvait bien penser alastar et surtout ce qu'il voulait vraiment, Donald à côté de lui ou non ? Même Alastar n'en avait pas la réponce. Il revînt sur une des phrase que le canard avait dit : -Qui est méchant n'est pas Donald, malgré les rumeurs-. Il se remémora les derniers évènements qui était arrivé, ceux dont presque tout le monde avait parlé, de bouche à oreille, Sur Donald. Il n'écoutait pas les rumeurs, se ne sont pour lui qu'un moyen pour faire du mal aux gens que l'on n'aime pas, trop souvent faute, tout du moins en partie, les bouches les déforment, les oreilles les interprêtent et cela fini en un magnifique méli-mélo de mensonge. Mais celui-ci, il était aller voir la principale intéressée, pour éclairsir cette histoire, ne parlant plus à Donald. Cette dernière, Daisy, lui avait appris la vérité, que la base de la rumeur était vrai. Il était fort désolé pour Daisy, il avait mal pour lui mais ne pouvait en vouloir à Donald, Seul elle en avait le droit. Personne ne réagit de la même façon avec les évènements et on a tous vécu des épreuves différentes, ce qui font que nous sommes tous différent, ce sont elles qui nous forment, enfin Alastar le voyait comme cela. Mais le plus important, cela ne le regardait pas même si cela lui fesait de la peine pour ses deux amis, qui formaient un si jolie couple. Il aurait juste aimer savoir les raisons de cet acte, même il était au courant des pulsions incontrôlées. Il n'avait cessé de fixer le paysage devant lui, celui-ci était toujours trouble, il était perdu dans le vide, sans voir réellement ce qui se trouvait devant lui. Le silence avait pris place entre Donald et lui, mais Alastar prit l'initiative de briser ce silence. Il rassura Donald sur la phrase qui l'avait choqué.

      « Qu'es-ce qu'on en a à faire des rumeurs. Qui est gentil, généreux et génial ne le sera jamais assez pour être Ducky. Aller le plus important c'est d'assumer ses erreurs et de les réparrer. Personne n'a jamais fait d'erreurs. Et tu le sais Ducky. »

    Il n'avait pu s'empêcher de rassurer son petit canard, mais en même temps, il n'avait pas tourner la page. Cela viendrait assez vite, il ne était certain, personne n'en veut lontemps à Donald. Il l'avait rappellé Ducky, cela voulait dire beaucoup pour lui. Sans s'en rendre compte, cela signifiait qu'il était toujours son ami, comme avant, seul une tâche restait à effacer sur le tableau.
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