bewitching ; la tentation du feu.
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 Léandre Bogé ;; En construction

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Léandre Bogé ;; En construction Vide
MessageSujet: Léandre Bogé ;; En construction   Léandre Bogé ;; En construction EmptyVen 2 Oct - 13:10

    I d e n t i t é ;

      NOM(S) : Bogé. Qu'est-ce qu'un nom quand on y pense bien ? On pourrait croire qu'il a une signification particulière, mais à bien chercher, à bien fouiller on pourrait en apprendre tellement plus. Ce n'est pas vraiment mon nom, j'ai juste eu de la chance, j'aurais très bien pu ne pas en avoir un, ou en avoir un autre. Je n'étais pas là pour cette famille au départ après tout. PRENOM(S) : Léandre Une des seules choses que ma mère m'ait offert. Mon prénom, et neuf mois de paix entre guillemets. J'en suis assez fière, je le trouve originale, j'ai longtemps imaginé être une princesse venant d'une autre planète grâce à ce nom. C'est le début d'une ouverture d'esprit, si je puis dire. Mieux que rien, en quelque sorte. AGE : dix sept ans. Jeune ? Pas totalement, j'ai déjà vécu plus de chose que d'autre. J'ai déjà connu le malheur, j'ai déjà connu le bonheur et également le trahison. Je ne me considérais pas non plus comme dame expérience de la vie, beaucoup on sûrement vécu plus que ce que je n'aurais jamais. Disons simplement que je suis moi, plutôt jeune et plutôt vieille. DATE DE NAISSANCE : Le 03 Septembre. J'y apporte une précision indiscutable, 21.45 du soir. C'est très important, j'aime beaucoup les petits détails j'ai toujours l'impression qu'ils sont plus importants qu'on ne le laisse croire. Et moi j'adore les défis. SIGNE ASTROLOGIQUE : Vierge. C'est quelque chose, pas vrai ? Ça me caractérise assez bien. Je suis ascendant Bélier, ce qui est encore mieux en quelque sorte. Ça me donne un tempérament plus.. Vaste dirais-je. Autant je suis une personne d'un tempérament logique et terre à terre, autant j'aime m'évader de ma petite bulle et essayer d'être plus que ce que je ne suis. SEXE : Féminin. Sur tous les plans ont peut me considérer comme une femme. J'ai passé le cap à la recherche de ce qui pousse encore, j'ai des formes d'une femme adulte. Je parle plus posément que jamais, mais néanmoins je m'évade plus que d'habitude. Je me sens enfermée le plus souvent.. NATIONALITE : Française. On dirait pas au premier regard et pourtant je ne suis pas d'où vous provenez sûrement. C'est assez important pour moi, ça veut dire qu'ailleurs une vie m'attend, une sorte d'issue de secours. J'en ai toujours besoin. LIEU DE NAISSANCE : Paris, rien de très particulier. Mais c'est déjà une capitale ! J'aurais pu tomber plus bas, genre Tokyo. Non pas que je sois du genre raciste, mais là bas ce n'est pas les pauvres qui manquent. SEXUALITE : Hétérosexuelle. Et encore quand j'ai le temps et l'envie de penser à ça. Vous savez, comme je l'ai dis plus haut, j'ai ma petite bulle, mon petit monde parfait. Et dans ma tête j'ai l'idée toute faite de mon prince charmant. AUTRE(S) : Vous l'aurez donc peut-être compris j'ai été adopté. Encore pas mal de chance pour moi. Et je compte ne pas la gâcher. Une de mes principales qualités c'est ma volonté, quand je veux que quelque chose change, je le fais.



    B e w i t c h i n g ;

      TOUR : Terre, celle qu'on caractérise de créative, de sauvage, de logique et ayant une volonté à toute épreuve. ANNEE : 6° Années. Je suis déjà là depuis quelques temps, et je ne me lasse pas. C'est peut-être le moment de réfléchir à l'après féerie mais comme je le dis, j'ai du mal à me détacher de mes rêves. ANIMAL TOTEM : Un renard rouquin, c'est d'ailleurs grâce à cette boule de poil que j'ai les cheveux.. Nettement différent d'antant. NOM DU TOTEM : Lysander AUTRE(S) : J'ai toujours imaginé une parfaite entente entre nos deux esprits. Je ne vois pas comment certaines personnes peuvent réussir à être pratiquement méchantes avec leur totem. Je suis plutôt du genre à être agréablement surprise lorsqu'elle m'adresse la parole, enfin quand il me parle.


    R P ;



      Il fut un temps où j‘aurais conté mon histoire à la manière des dessins animés de mon enfance. La phrase magique, celle qui nous fait rêver dès la première syllabes, Il était une fois. Mais le temps passe, les gens changent, et le vent tourne. Ce n‘est pas toujours le droit chemin qu‘il suit, de plus. Parce que pour une fois j‘ai remarqué que la vie n‘est pas toujours droite et que souvent elle dérape, que rien, au final, n‘est écrit à l‘avance. Est-ce une bonne chose ? Tout dépend du profil de la personne qui écrit cette histoire. Et tout dépendra du résultat et de la fameuse morale de cette histoire, c‘est important d‘apprendre toujours plus qu‘avant, vous ne pensez pas ? Et cette fois-ci l‘auteur ce n‘est pas moi, ou du moins n‘aurais-je pas la chance de terminer cette histoire. Après tout comment pourrais-je la réciter en entier si je ne connais pas le fin mot de l‘histoire ? C‘est pour ça que j‘ai tout recommencé depuis mes débuts, mais après ça vous allez devoir me suivre et apprendre en même temps que moi ce que signifie les étoiles dans le ciel. Ce n‘est pas toujours un bon présage les choses qui brillent comme des étincelles..

      Je suis née aussi simplement qu‘une étoile de mer, je ne devais faire qu‘une chose, et encore j‘étais aidée : respirer. Et après une petite tape sur les fesses j‘avais accompli ma mission pendant qu‘une femme vêtue de blanc me posait sur le corps frêle d‘une mère aimante me chérissant beaucoup plus que sa propre et misérable vie. C‘est triste à dire, et je ne lui en veux pas. Après tout, elle aurait très bien pu ne pas me garder en son sein, m‘oublier aussi facilement que la nouvelle était arrivée. Son choix était donc le meilleur pour moi, et je ne cesserais jamais de la remercier de m‘avoir offert l‘hospitalité ne serais-ce que pour quelques mois. Et j‘avais beau me préparer au détachement tant redouté quand celui-ci se mit en œuvre je pleurais à pleins poumons, tentant de m‘accrocher de toutes mes forces à corps d‘une mère qui semblait peinée. Devais-je lui faciliter la tâche ? Ne pas pleurer ? J‘aurais aimé être forte, assez pour ça, mais mes pleurs n‘ont fait que redoubler de puissance jusqu‘à ce que je sois conduite à une nurseries.

      Et encore une fois j‘ai eu une chance de nouveau né. J‘aurais eu des milliers de possibilités, j‘aurais très bien pu tomber dans un orphelinat, ou encore chez des parents ne recherchant que la paresse, mais par le bonheur de ma naissance et pas le sacrifice de ma mère j’avais eu l’incroyable destinée de tomber chez des parents ne recherchant qu’une chose : une petit être à aimer de tout leur cœur. Et c’était moi, encore une fois j’avais eu la chance d’une nouvelle. Je restais encore pas mal de temps dans cette clinique qui ne sentait pas toujours la rose, la plus part du temps je pleurais et j’attirais l’intention des infirmières. Le reste je dormais à point fermé, faisant la fière devant mes nouveaux parents. Oui, j‘ai eu beaucoup de chance. J‘aurais pu tomber tellement plus bas que ça, j‘aurais pu subir des choses incroyablement horrible, et pourtant j‘ai eu la chance de toute une vie, celle d‘être tombée sur des gens parfaits. Certes ils ne roulaient pas sur l‘or, mais au final qu‘est-ce que des billets auraient pu m‘apporter en plus ? Des défauts, de l‘égoïsme, pire encore ?

      Ainsi j‘ai grandi dans l‘amour d‘un foyer accueillant et dans certaines restrictions qui, franchement, ne fait pas de mal. Chose encore une fois fantastique c‘était mon imagination débordante. J‘étais fille unique, et seule je ne me lassais pas d‘inventer des histoires à dormir debout, ou à dresser les cheveux sur la tête. C‘était mon petit truc rien qu‘à moi, la chose qui me caractérisait le mieux. Et j‘en étais extrêmement fière, comment ne pas l‘être après tout ? Et bien c‘est assez simple. Au moment où l‘on atteint un âge qui se voit rétrécir notre créativité. Le genre d‘âge à affecter les parents quand on raconte qu‘un renard nous parle et nous raconte des histoires, ou qu‘encore il nous aide à choisir entre oui et non, faune et fleur. C‘est ainsi que j‘ai très vite atterrie chez un psychiatre, mes parents s‘inquiétaient trois fois trop, alors je leur faisais ce plaisir. Je leur annonçais que plus rien ne me parlais, que j‘étais enfin seule avec ma tête et rien qu‘elle. Un mensonge ? Je pense que la culpabilité peut monter vers le bonheur les bonnes personnes. Je continuais ainsi mes formidables conversations avec ce petit être avec qui je m‘amusais chaque jour un peu plus, à parler de tout et de rien.

      Ce n’est qu’avec l’âge que j’ai pris peur. Peur de quoi me direz-vous ? D’être mise à l’écart. Pourtant j’étais le genre de fille à aimer les petits moments d’intimités. A aimer respirer son propre oxygène. Mais être seule, ne pas pouvoir offrir sa confiance, pouvoir se confier, quand on est petit c’est un poids en trop, c’Est-ce que je pensais. Ainsi j’essayais le plus possible de me fondre dans la masse, de faire rire les uns et les autres. Ce n’était pas particulièrement difficile, j’étais faites pour offrir des sourires enjoués. J’avais tellement l’esprit créatif que pour moi c’était une partie de plaisir. Seulement tout à un jour une faim et j’y ai goûté amèrement. J’ai compris que la morale de l’histoire n’est pas toujours bonne à savoir. J’aurais préféré ne pas la connaître, ou peut-être qu’au fond je suis heureuse d’avoir compris. De savoir que les gens peuvent être méchants quelquefois. J’ai compris ce fameux jour. Je pensais pouvoir enfin faire confiance à quelqu’un. C’est idiot à dire, mais savoir que j’avais supporté pendant une semaine un secret tel que le mien, que je venais de découvrir, était un poids impensable. Je réservais ce petit secret à une personne en particulier. Ça aurait très bien pu être mes parents, ceux que j’aimais plus que tout, mais ce fut elle. Je la décrivais comme étant ma meilleure amie, celle que je pensais connaître par cœur. Mais jamais, ô grand jamais, je n’avais remarqué les regards envieux qu’elle me lançait, ni cette petite étincelle d’égoïsme dans ses yeux. J’avais cru la connaître, mais je m’étais juste fourvoyée.

      Je venais de quitter les grilles, la sécurité de notre école. Je devais avoir neuf ans et je cherchais Ophélie des yeux, je n’avais pas eu le temps de lui avouer mon secret. J’étais assez fâchée qu’elle ne m’ait pas attendu, mais comme à mon habitude je pardonnais. Alors je courrais en direction de la forêt, là où sa mère et elle rentrait chaque jours chez elle. Je les rattrapais aisément. Et avec un de mes fidèles sourires j’obtenais la permission de parler à mon amie quelques secondes de plus. Peut-être que si j’y avais réfléchi à deux fois je n’aurais jamais fais cette erreur.. Peut-être. Mais je l’ai fais, je lui ai même montré, prouvé ce dont j’étais capable. Et je n’ai pas vu, je n’ai rien vu de son regard. Pensait-elle que j’essayais de la surpasser à chaque fois ? Moi qui au final étais aussi naïve qu’affectueuse avec les autres ?.. Mais je lui ai dis, je n’ai pas saisi son sourire, je suis repartie tout aussi vite. J’ai compris la fin de cette histoire le lendemain alors que je m’avançais vers les grilles, un sourire paisible aux lèvres. Je pensais être heureuse, avoir passé un cap important de la confiance. J’avais tord.

      J’entrais, mon sourire aux lèvres. Je regardais autour de moi, je m’avançais vers mes amis. Je n’ai pas compris leur geste de refus. Je ne pensais pas à mal. J’ai même cru qu’ils jouaient, alors j’ai commencé à leur courir après. C’est juste quand j’ai pris une claque dans mon visage que j’ai compris le malaise de cette situation. Et puis, j’avais tellement confiance en lui, que je l’ai cru immédiatement. J’ai relevé mon visage, des larmes rougeoyants au coin de mes yeux, et je les ai regardé. Surtout elle, d’abord. Jamais je n’avais vu un tel regard provenant d’elle. Je me suis relevée. J’ai commencé à trembler de toutes parts, j’avais une impression bizarre en moi. J’étais atteinte d’une transe dont je n’avais jamais su l’existence. C’était la colère, la sauvagerie qui me portait. Le plus incroyable, ce jour-là, c’est sûrement le fait que mes cheveux ont depuis cette couleur rousse et qu’à présent j’ai une certaine haine pour les gens qui ne peuvent pas me comprendre, juste me persécuter.





    R é a l i t é ;

      AVATAR : Rachel Hurd Wood
      PRENOM : Shirley
      AGE : Quinze ans
      COMMENT AVEZ-VOUS DECOUVERT LE FORUM : A.E
      QU'EN PENSEZ-VOUS : Si j'y suis c'est pour une bonne raison.
      CODE(S) : Métaphrastes Monoblepsie
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Léandre Bogé ;; En construction

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